The Fears

Chapitre 3 :

Elle me dit à demain, puis elle sort des toilettes. Ma santé va mieux, je sors des toilettes. Ma direction ce fait directement que mon frère.

-Tu devrais faire attention avant qu'il ne débarque, ça fait au moins 5 ans qu'il ne t'a pas vu après la fuite.

-Ne t'en fais pas, je m'éloignerais et avec le monde il ne me verra pas.

-Tu savais que demain il y avait un solstice ?

-Oui, j'allais vous en faire part mais tu vient de me devancé !

Je souris, avec mon frère c'est incontrôlable. Il finit par attraper mes épaules de son bras.

-Ta cru que j'étais ton accoudoir ou je rêve ?

-Les gars j'ai trouver le parfait accoudoir venait essayer ! Dit mon frère a voit hautes.

Et sans le temp que je reprennes mon souffle pour répliquer, les 4 derniers hommes ajoutent leurs coudes ou leurs bras sur ma tête et mes épaules.

Je rêve, je suis un accoudoir maintenant..

Je croise les bras sur ma poitrine en boudant pendant que ma mère ce prend à fou rire en prenant une photo.

-Beurk, trop d'hormones d'hommes au même endroit ! Dis-je en me retirant d'eux.

-Quel dommage, j'étais tellement bien ! Dit l'un des hommes appelés Sergio.

Je lui offre mon plus beau doigt d'honneur avec un magnifique sourire. Ils éclatent tous d'un fou rire incontrôlable.

Je boude dans mon coin pendant que ma mère éclate de rire avec eux. En vrai je comprend même pas pourquoi ils rigolent.

-Maman tu ma abandonnée.

-Mais non ma chérie, je t'aime trop pu faire ça.

Je souris pendant qu'ils calmement leurs rires, puis ils discutent. Je décroise mes bras de la poitrine lorsque je revois une notification.

[Je me gare et j'arrive.]

Mon visage ce décompose entièrement. Pendant que les autres discutent, un des hommes a remarquer mon changement d'humeur immédiat.

-Quesqu'il y a ? Me demande l'homme, appelé Rafaël.

-Il est sur le parking, éloignez vous. Vite.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Ils se sont éloignés, tellement que je l'ai est perdus de vus.

L'homme que je déteste le plus au monde marche en notre direction. Je cherche une issue de secours, mais aucune à part fuir. Mais il m'a déjà vu.

Très rapidement il arrive à notre hauteur, un sourire se fond sur son visage quand il voit ma mère. Il l'embrasse au quel je grimace.

Ludo est plutôt un homme châtain, cheveux très court, les yeux marrons. Grand. Légèrement muscler. Et méchant.

Et lorsque il pose son regard sur moi, il s'assombrit directement. Mes muscles se tendes.