Chapitre 99 :

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❃𓆉❃

Il est 22 heures. Nous allons passer au dessert, la table est débarrassé. Et encore une fois, je me suis proposer pour aider ma mère, avec une idée derrière la tête. Pour mon beau-père.

Le repas c'est passée à merveille, revoir ma famille ma fait un bien fou.

On apporte les desserts à table, et lorsque je me rapproche de mon beau-père, je lui chuchote discrètement à l'oreille :

-Ne relève plus jamais la main sur ma mère, aussi non je te la couperais, c'est compris ?

Son visage ce décompose littéralement, face à ma phrase qui c'est à son oreille.

Son visage perd toutes ses couleurs lorsque il sent le canon froid de mon flingue dans son dos.

-Tu va gentiment te lever et me suivre, chuchotais-je en enfonçant un peu plus mon flingue dans son dos.

Je range mon flingue discrètement sur l'accroche flingue sur ma cuisse pour éviter que quelqu'un de ma famille ne voit cette menace.

Il se lève sous ma menace. Une petite lame, que je pince entre mon index et mon pouce pour le garder en menace. C'est simple, si il n'avance pas, il se plantera seul a cause de la lame.

-Où tu va Alisson ? Demande ma petite sœur.

-Je vais chercher un truc que j'ai oublier dans la cuisine, répondais-je.

Puis discrètement, je m'éclipse dans la maison avec lui. Dans le silence. Même si certains nous ont surmener déjà vus partir.

Arriver dans la cuisine, je range la lame.

-Je t'avais dit de ne devait pas parler de ce qui c'était passer, dit-il soudainement.

-Et je t'avais dit de ne pas lever la main.

Il me défie, du regard. Voyant mon regard s'assombrir, meurtrier. Il baisse le regard.

-Et qui te dit que je leurs en est parler ? Peut-être que oui.. peut-être que non ?

-Je voyais le regard de ton mec.

-Mon fiancé, rectifiais-je.

À nouveau, il relève les yeux vers moi. Alors à nouveau je le défie du regard.

-Maintenant que je suis à nouveau à New York, apprête toi à une vengeance froide. Qui te mènera à la mort. Parce que je ne te laisserais pas passer devant mes yeux comme si tu nous avaient jamais rien fait. À moi. À Lorenzo. Et à ma mère. Je me vengerais pour nous 3, et j'espère que tu te l'ai bien enregistré.

-Tu ne va rien faire. Parce que tu sait que ta mère t'en voudra de tuer l'homme qu'elle aime. Tu va rester la petite victime, celle à qui j'ai causer les nombreux traumatismes. Au quel j'en suis fier. C'est pas ton petit flingue en plastique qui me donnera froid dans le dos. Aucune de tes menaces ne m'impact.

« L'homme qu'elle aime », mais bien sûr.

Je me retiens de lui planter un couteau, dans le cœur ou dans le crâne. Le quel des 2 ?

Alors qu'il fait un pas en avant, mon poing par naturellement dans sa mâchoire.

-N'essaie plus jamais de rapprocher de moi, c'est compris ? J'ai dis que je vais me venger, et j'aurais cette vengeance. Alors ne tente pas de te cacher, parce que je te retrouverais toujours.

Mon poing était si violent qu'il a fini allongé au sol, sa main c'est automatiquement placer sur sa mâchoire ne la massant tout en gémissant de douleurs.

-Je te ferais vivre un enfer. Comme l'enfer que j'ai vécu de longues années, ne l'oublie pas, prononçais-je.

Tous les pires souvenirs de mon enfance sont encrés dans ma mémoire, et ne s'effaceront jamais.

-Je pourrais devenir monstrueusement agressive.. comme tu a était monstrueux de nombreuses fois avec moi dans ma vie ?

C'est une si bonne idée, le détruire à petit feu.

-Je te détruirais. Sans laisser échapper un petit morceau. Tu m'entend ? J'espère que c'est bien clair.

Quelqu'un toque à la porte. M'interrompant dans une si belle satisfaction.

-Pend ça pour une grande chance, cette porte qui toque et la famille autour de la table m'empêche de te tuer. Ce qui vient d'arriver, n'est qu'un quart de la bande d'annonce. Alors repars t'asseoir à table avant que je ne décide de te vider de ton sang maintenant.

Il lève les yeux au ciel, croyant que je blague. Mais il a quand même une pointe d'inquiétude pour lui, sûrement la peur de mourir sous les doigts.

Mais trop tard. Du moment où il a poser la main sur moi et mon frère ainsi que ma mère, il avait déjà déposer son arrêt de mort.

Sans perdre le temps, il sors de la cuisine pour repartir s'assoir à table, avec hématome qui commence à ce former sur sa mâchoire.

J'avance jusqu'à la porte, ouvrant la porte a cause des nombreux coups sur la porte.

Je tombe nez à nez avec un homme, qui me dit vachement quelques chose. Mais vaguement. Il dit avoir la quarantaine.

-Bonsoir ? Dis-je.

-Bonsoir mademoiselle, Luna est là ?

-Oui, c'est ma mère. Qui êtes-vous ?

-Je suis un ami à elle, et je devais la voir pour un sujet important..

-Je crois que je vous connais.. murmurais-je.

-Putain.. chuchote-t-il en sortant son flingue.

J'ai sortie mon couteau, sans même attendre. Je sais qui il est maintenant..

C'est un alliés des The Masked. Il s'appelle Christiano.

Je me disais bien qu'il me disais quelque chose.

-Je me suis dit que ça aurait fonctionné si facilement, mais tu as était bien plus rapide que prévue. Si tu m'aurais laisser entrer, j'aurais tuer toute ta famille, et peut-être pas seul, rigole-t-il.

-Peut-être pas seul ?

-Vous êtes entourés de sniper. Ils attendent juste mon signal pour tirer, sourit-il.

Bordel.

Sans même attendre, mon couteau c'est planté dans son cerveau. Envolant directement son âme au ciel. Une chance que j'ai, c'est la rapidité.

Brusquement je claque la porte à clé, son sang à éclabousser sur moi. Ça me répugne tellement d'avoir du sang de mes meurtres sur moi.

Je traverse la maison pour arriver dans le salon, où tout le monde ce trouve.

Voyant du sang sur moi, ils écartent les yeux.

-S'il vous plaît. Pour votre sécurité. Vous allez attentivement l'écouter.

Cette fois tout le monde fronce les sourcils, ne comprenant pas.

-Ne réagissais pas et ne faites pas de bruit à ce que je vais vous dire, le seul faux pas risquerais votre mort d'accord ?

La famille du coter de mon père est habituée au armes alors ils seront serein, mais le coter a ma mère, ils vont tous être paniquer.

-On est entourés de sniper qui sont prêt à tirer, alors discrètement et doucement vous allez tous rentrez à l'intérieur.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant