Chapitre 87 :

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Je continue dans les plusieurs pièce des bureaux, une chance que personne n'est venu à mon étage.

Ça doit faire une vingtaine de minutes qu'on fait cette mission, meurtre et dossier, chacun de notre côtés.

Je sens des regards sur moi. Mais je ne sais pas d'où ça vient et de qui.

-On a un problème.. Alisson regarde à mon étage, dit Chelsea.

Je fronce les sourcils ne comprenant pas. Je sors d'un des bureaux, puis je lève la tête au dernier étage.

Mon cœur rata un battement voyant ce que je vois. Bordel comment ?!

Sans hésiter une seconde, je monte les escaliers pour arriver au dernier étage. Putain..

Lily et Winter sont la ! Elles sont au bord de la rambarde avec Chelsea, menacées par 2 hommes.

Je leurs fait signe de ne rien faire, les hommes sont dos à moi, ils ne savent pas que je suis là.

Je sors mon couteau de ma poche, tenant mon arme blanche et mon arme à feu en main.

Je me rapproche doucement et discrètement vers eux.

-Où ils sont ?! Hurlent l'un d'eux.

Il parle sûrement de nous, moi et ma famille.

Une fois arrivée, derrière eux. Je place brutalement mon couteau sous la gorge d'un homme, et mon flingue sur la tempe de l'autre homme.

-Vous allez gentiment lâchez vos armes, et vous assoir sous mon ordre, lâchais-je.

Ils lèvent les bras, dos à moi. Jetant leurs armes sur le côtés.

-Assis, ordonnais-je.

Ils posent leurs genoux à terre. Bons garçons.

-Pourquoi vous êtes ici ?! Vous étiez sensés être à la maison ! Demandais-je au filles sous le choque.

-Oui.. mais on ne voulaient pas attendre, on avaient peur pour vous.. alors on est entrés dans on a négociée avec Keegan pour venir, il n'étais pas d'accord mais il a finit par accepter, seulement si on restaient dans la voiture, mais ça nous tenter trop. Désolée, dit Lily.

-Ne regardaient aucun cadavre, dis-je.

La colère monte en moi, Keegan ne devait en aucun cas les ramener, et elles ne devaient pas insister pour venir et en plus de ça, sortir de la voiture.

-Vous êtes en danger ici ! Je vous les dit ! La preuve ! Crie Chelsea.

-Keegan. Je vais te tuer, dis-je au talkie-walkie.

Je me place face aux hommes qui criaient sur ma famille.

-Les codes, ordonnais-je aux hommes.

Je range mon flingue et mon couteau, ils ne peuvent rien puisque ils sont agenouiller et désarmés.

Mon regard est si meurtrier et froid, que j'ai l'impression qu'ils pourraient en mourir vu comment ils me regardent.

-980 867 345, dit l'un d'eux.

-Faux, vous me prenez pour une conne ?

Bon point s'abat que l'homme qui a dit le faux code. Je connaissais déjà le code. Et je savais qu'ils ne me donnerais pas le bon.

-Chelsea, sortaient toutes les 3. Comme lorsque nous sommes entrés, par les traction du plafond. D'accord ?

-Alisson, on ne va pas te laisser seule ! Et en danger ! Dit Winter.

Je lance un regard à Chelsea pour faire vite. Elle m'a écoutait, sans attendre. Elle part avec les filles en prenant par force leurs mains pour ne pas me suivre.

Je suis remplis de sang de mes meurtres. Des éclaboussures. Au visage, sur mes vêtement, mes jambes, mes bras. Partout.

-Vous comptez vous alliez avec The Masked. Je ne trompe pas ? Dis-je.

-Et vous comptez les éliminer ? Dit l'homme.

-Vous avez aucune chance conte eux. Parce qu'on ce sera déjà occuper de vous, dit l'autre homme.

Une gêne ce sent violemment 2 fois sur mon poignet droit, aussi sur mon bras gauche et la cuisse gauche. Je comprend rapidement que je viens de me prendre des coups de couteaux en seulement quelques secondes.

Alors que l'homme qui m'a planter le poignet, compter planter mon ventre bien arrondi. Je stop brusque le couteau.

-Vous pouvez me planter, mais ne pensez jamais en aucun cas touchez à mes enfants.

Mon couteau s'enfonce dans le crâne de l'homme qui allait planter mes enfants. Il s'écroula.

Alors que le deuxième homme reste choquée, j'allais le tuer. Mais une balle travers son crâne. Il s'écroula à son tour. Le trajet venait de la droite. Alors je tourne la tête. Apercevant Rafaël, Lorenzo et Sergio. Bordel ils sont là ?!

Rafaël venait de tirer voyant la situation.

Je m'enveloppe dans une bulle avec eux. Mon regard c'est automatiquement adoucit en les voyant.

C'était donc eux, quand je sentais des regards sur moi. Ils m'ont vus tuer, avant je n'osais pas toucher à une arme, maintenant j'arrache des vies.

Mais la bulle éclate lorsque jentend un bruit derrière moi. Je me retourne. Mon regard s'endurcit automatiquement.

Un homme vient tout juste de grimper par l'étage du dessous pour monter.

Sans attendre, mon couteau atterrit entre ses yeux. Il tomba en arrière, passant du dernier au premier étage.

Les personne verront sûrement le cadavre.

Je me retourne, voyant l'ascenseur monter à mon étage. Ça sentait pas bon.

-Euh.. j'ai besoin de renfort au dernier étage. Maintenant, annonçais-je.

Mon cœur s'accélère en voyant une vingtaine d'hommes à mon étage. C'est la merde.

Sans perdre de temps. Je tire sur les hommes qui arrivent. Les balles s'échange. Les 3 autres garçons tirent avec moi.

Je n'ai même pas mal au blessure, ça me lance un peu mais je n'ai pas mal. Habituée à la douleur..

Le cris des gens prend place en découvrant le cadavre de l'homme qui est tombé.

Ma famille arrive. Rapidement nous tirons tous. Heureusement que j'avais assez de balle pour recharger à plusieurs reprise mon flingue.

Tous les hommes menaçant ne sont devenus que des cadavres à présent.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant