Chapitre 94 :

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Ce que je ne voulais pas qui arrive, arriva. Je ne voulais absolument pas qu'on parle de ce sujet.

-Quand tu va le revoir, ça se passera peut-être comme Jayden. Tu peut nous parler-, commence Sergio.

-Stop les gars, si elle ne veut pas en parler. Elle n'en parle pas, dit Rafaël.

-Tout le monde ici connaît mon passer, et j'ai aucune envie de plomber l'ambiance. Alors oui ce connard n'est pas le premier à avoir utiliser mon corps, mais en parler ça changerais quoi ? Vous avez lu ce que j'avais écris, donc je vous en est déjà parler. De octobre à maintenant, c'est espacée 7 mois. Et ça restera gravée en moi toute ma vie, comme le premier viol que j'ai vécu. Oui j'ai eu des idées noirs jusqu'à m'en couper les veines en espérant ne pas me réveiller le lendemain, mais la seule chose qui m'a fait arrêter, c'était penser à vous. Et la seule chose que je pense quand vous parler de ça. C'est la vengeance. Alors je ne raterais aucune personne qui me l'a fait vivre, 2 c'était de trop. J'ai juste faim de vengeance. Avant il suffisait que l'un d'eux soient en face de moi pour que je reste immobile, traumatisée. Mais maintenant, c'est moi qui les traumatiserais, pour être sûr qu'ils ne tentent pas de toucher une autre personne. Maintenant vous êtes content ? Et on peut reprendre des discussions normales ?

Le silence s'impose, mais lorsque ils se rappellent que je veux une ambiance heureuse. Les discussions reprennent de plus belles. Tant mieux.

-Comment va ton cœur ? Demande mon père,

-Mon cœur est devenus à la fois mon ennemis et mon alliés en même temp, haussais-je les épaules.

-À quand remonte ta dernière crise ? Demande Rafaël.

-Il y a 2 semaines, elle était légère, rien d'important.

-Est-ce que vous savez que Rafaël traînée Léane par les pieds quand elle ne faisais pas quelque chose qu'il lui demandais pour la mettre dans les toilette, fermée la porte en mettant tout son pois sur la porte pour être sûr qu'elle n'ouvre pas. Et dès qu'elle disais qu'elle allait le faire. Alors il ouvrait, rigole Elena.

Nous rigolons avec elle, une bonne anecdote, et je suis qu'il y en a des meilleurs.

-Et une fois, il dessiner sur le visage de sa sœur pendant qu'elle dormait. Parce que monsieur n'avais plus de papier, rigole-t-elle.

-Dès petit il imposer ses ordres ! Rigole mon frère.

-Ne rigole pas trop, quand je parlais trop tu osais m'enfermer à l'extérieur dans le jardin pour que tu regarde la télé tranquillement pour ne pas que tu m'entende parler, répliquais-je.

-C'est vrai. Ta mère me l'avais dit. Et j'avais bien rigoler, rigole mon père.

Tout en continuant de manger, nous discutons et rigolons. Je préfère largement ça, que de parler de mes viols.

Nous passons au dessert, il fait si chaud dehors.

Rafaël est encore plus heureux que je l'aurais imaginé, mon cœur bat si vite pour lui.

Sa main sur ma cuisse m'enveloppe dans une sécurité extrême. Je le regarde, avec une tel passion.

Le dîner est dernier, nous devons de terminer de manger. Alors rapidement, nous débarrassons la table. Puis nous marchons dans le jardin pour aller dans le salon de jardin.

Des bras s'enroule autour de moi, me soulevant. Lorenzo.

-Lo' ! Lâche moi ! Hurlais-je quand il me rapproche dangereusement de la piscine.

-Ça c'est parce que tu n'avais pas le droit de partir en nous laissant un manque, dit mon frère en me jetant dans la piscine.

Mon cœur dit un bond, un manque.. nous l'avons tous eu..

Je remonte à la surface de l'eau, je suis trempée.

-Une chance pour toi que j'ai mis du mascara qui ne coule pas !

Il rigole en me tendant sa main que j'attrape pour remonter sur le sol du jardin.

Mais je le tire en avant, pour le faire tomber. Maintenant c'est tout les 2 qu'on est dans la piscine.

Sergio et Rafaël viennes vers nous, alors que mon homme allez me tendre la main. Sergio le pousse dans la piscine.

Puis Sergio arrive en courant pour prendre de l'élan, en faisant une bombe.

Non mais je rêve.

Les rires de nos proches dans le salon de jardin, alors que nous sommes dans la piscine trempés.

Rafaël remonte à la surface en secouant ses cheveux. L'eau me fouette.

-Rafaël ! Rigolais-je en protégeant mon visage de l'eau agressive.

Malgré ça, l'eau est assez bonne. Ils rigolent en comprenant que je reçois toute l'eau qui le fouette.

Le corps de Rafaël était proche mien, et mes jambes ce sont naturellement enroulés autour de sa taille. Mes bras autour de sa nuque, pendant un de ses bras m'est enroulé les hanches.

Sergio et Lorenzo se rapprochent de nous, alors je dis à mon frère :

-Lorenzo tu soule ! J'étais sec et maintenant je suis mouillée !

-Mouillée pour moi ? Murmure Rafaël d'une voix rauque à mon oreille.

Dieu merci, personne n'a entendu sauf moi puisque il me l'a chuchoté.

Je le regarde en souriant, pendant qu'un grand sourire trône ses lèvres.

Une fois tout les 4 réunit dans la piscine, une question me vient en tête.

-Il c'est passée quoi avec Noah et Maël ? Demandais-je.

-Ils nous ont trahis, quand tu es partis. Ils ont pris la décision de devenir des taupes pour travailler avec un autre gang, avec une raison qu'on connaît pas, dit Sergio.

-Je l'ai aimée bien, mais quelques chose me disais que on n'avait pas les même délires, ils étaient plutôt réservés, dit Lorenzo.

-C'est vrais qu'ils étaient sympa, mais si c'était des taupes c'est que les apparences sont trompeuses, dis-je.

-Il faut toujours ce méfier des gens comme eux, dit Rafaël.

Je lance un regard à mon grand frère, pensant à la même chose.

Et en une seconde, on les attaques. Je noie Sergio pendant que Lorenzo noie Rafaël.

Quand ils sont au fond de l'eau, mon frère et moi nous tapant dans les mains par fierté. Ils remontent à la surface, furieux pour une vengeance.

Rafaël se jette sur moi. Et Sergio se jette sur Lorenzo.

Alors que mon fiancé m'enfonce dans l'eau. Son corps au dessus du miens nous fait toucher le fond de la piscine.

Je n'ai presque plus d'oxygène, lui faisant signe que j'en est plus est que je dois remonter à la surface.

Son visage s'approcha du miens, faisant frôler nos nez et nos lèvres alors que le manque d'oxygène augmente pour pas ma part.

Ses lèvres se déposent sur la mienne, ma bouche s'ouvre légèrement sous la demande de ses lèvres. Sa langue dansent avec la mienne, me soufflant de l'oxygène.

Puis nos lèvres se séparent, nous faisant remontés à la surface tout les 2.

Tout le monde est remonter à la surface, nos proche discutent toujours au soleil dans le salon de jardin.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant