Chapitre 76 :

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Point de vue de Rafaël :

Je me réveille. J'ai rêver d'elle. Même si je n'ai que très peu dormis. Je dormais mieux avec elle, et grâce à elle.

Mais elle nous a promis qu'elle reviendra. Et je lui fais confiance, je sais que tu va revenir. Je dois juste être patient.

Et rien que pour toi, je serais patient. Autant que tu le voudra.

Parce que je suis à tes pied, mi amor.

Je me demande comment elle va ? Ou elle est ? Elle a fait des connaissances ?

En tout cas, je sais qu'elle pense à moi. À nous. Je la connais par cœur.

Nous aussi on pense à toi.

Quand je suis rentré de mes recherches dans la nuit. Pour la première fois, je me suis excusé envers mon père de cœur. Et il a accepté mes excuse sans l'ombre d'une hésitation. Il a dû trouver ça étonnant de moi, parce que c'est rare que je m'excuse.

Alors que pour Alisson, je pourrais le faire des millards de fois. Je pourrais tout faire pour elle.

Je frotte mes yeux fatigués, j'aurais aimer avoir son corps sur le miens en me réveillant. Ou à coter de moi. Mais, bientôt.

Je descends les escaliers, les garçons sont réveillés. Son père à décidé de rester avec nous à la maison.

Hier elle aurait dû voir sa mère, mais les inattendus en fait que non. Donc on a annulé en lui expliquant.

Nous avons hâte de te revoir Alisson. Et je suis le excité de tous à l'idée de te revoir dans l'année.

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Point de vue de Alisson :

La matinée est passée très vite. Je suis partie faire du shopping avec mes cousines et ma sœur, histoire d'avoir des vêtements.

Il est 14 heures, et nous sommes dans la salle d'entraînement de la maison. Tout les adultes qui sont les oncle sont chez eux avec leurs femmes qui sont mes tantes.

Et nous sommes tous entre cousins et cousine. Lily et Winter à l'étage, étant donner qu'elles ne sont pas encore majeur et que l'exercice ne serviront qu'à la majorité.

Stand de tire, boxe, musculation, ma totale pour être sûr d'avoir un bon entraînement.

C'est Elias qui m'entraîne, pour le stand de tire. Même si je lui est dit que je n'arriverais pas à tenir une arme. Il a insisté en disant que je dois battre ce problème.

-Ferme les yeux, dit-il.

Alors je ferme les yeux sous sa demande. Il ouvre mes mains et un poids lourd prend place.

J'ouvre les yeux à sa nouvel demande. Faisant face à un flingue dans mes mains.

-Ne le lâche pas.

J'essaye de rester concentrée pour ne pas le lâcher.

-Tu voir la cible ? Pense, à quelqu'un que tu déteste. Que tu serais prête à tirer pour te sauver, car lui aussi à une arme qui est prêt à tirer.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant