Chapitre 129 :

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-Tu avait tout prévu ? Rigolais-je.

-Peut-être.. j'étais organisé. Un si belle endroit pour une si belle demande, n'est-ce pas magnifique ?

-Évidemment, c'est bien pour ça ! Rigolais-je.

Il sourie, nous nous asseyons sur l'herbe magnifique. Alors que je tends mon index. Un papillon s'y dépose.

Rafaël arrache une fleur de l'herbe pour la déposer derrière mon oreille. Il en profita pour déposer un baiser que ma tempe. Il est si doux.

-J'espère que tu es prête à vivre toute ta vie avec moi, sourit-il.

-Je suis prête depuis le jour où on a scellés nos lèvres. Parce que c'est exactement ce que je veux faire avec toi. Vivre toute ma vie avec toi.

Je sourie, je l'adore. Et bordel qu'est-ce qu'il est sexy..

Je prends délicatement sa main entre mes doigts, déposant le papillon sur le dos de sa main.

Un autre papillon se dépose sur mon nez, ce qui nous fait rigoler. Puis cette fois, ses lèvres fondent sur les miennes.

-Ti amo Rafaël, murmurais-je contre ses lèvres.

-Te quiero Alisson.

Alors qu'il nous fait basculer pendant notre baiser, je suis allongée contre l'herbe, et lui au dessus de moi.

-Tu es magnifique, murmure-t-il contre mon cou.

Ma main s'agrippe à son cou lorsque il embrasse ma mâchoire.

-Et t'es aussi ma magnifique femme. Ma Valasco.

Alors que sa tête était plongé dans mon cou, il me soulève soudainement. Mes jambes autour de sa taille et mes bras autour de son cou pendant que ses mains me tiennent par les fesses.

Ses lèvres frôlent sur les miennes. Dangereux..

Il nous fait rentrer dans la voiture. J'arrive pas à y croire il m'a demander en mariage.

Ses pupilles se dilatent autant que les miennes, alors que mon doigt passer sur ses lèvres pour retirer le rouge à lèvres pendant qu'il baisse la banquette arrière.

Lorsque il ferme la porte arrière, il nous place sur la banquette. Heureusement les vitres sont teintées et que personne ne peut ce voir ce qui se passe à l'intérieur.

Je suis à califourchon sur lui, ses mains sont sur mes côtes. Alors qu'il voulait capturer mes lèvres avec les siennes, je l'interdit en tournant ma tête avec un sourire, le faisant agacé de cette interdiction, il n'attend que l'autorisation.

Puis je retire ses mains de mes hanches, les mettant à côtés de lui. Le faisant attendre.

Je lui arrache un soupire de plaisir lorsque mes mains partent de sa taille à ses pectoraux pour commencer à dégrafer les boutons de sa chemise.

Lorsque je retire petit à petit les boutons de sa chemise, je laisse mes lèvres traînées sur lui, le laissant soupirer de plaisir.

Je retire sa ceinture, et son pantalon déjà bien trop étroit pour lui.

Mes lèvres se dépose sur sa pomme d'Adam, lui arrachant un lourd soupire. Laissant sa gorge vibrée contre ma bouche.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant