Chapitre 110 :

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Arès, Loukas, Enzo, Bianca et Lou à quelques serviettes de nous. Ils sont si proche que je me demande comment c'est possible que je ne l'ai est pas vus depuis tout ce temps. Ma mâchoire se contracte violemment et mon regard s'assombrit alors que depuis le début de cette matinée mon regard était doux.

Le pire de tout ça, ce que quand je l'ai est vus, ils me regardaient déjà. Ils sont si proche que je me demande si ils ont entendus les conversations.

Et juste à quelques serviettes d'eux ce trouve Maël, Noah et 2 garçons de la fac qui sont sûrement amis avec eux. Ils nous regardent aussi.

Nous sommes espionner ?

-C'est quoi ce délire ? Murmure Rafaël.

Levant le regard vers lui, il a le regard noir vers eux et la mâchoire prête à éclater.

-Si je les regardes encore, l'un d'eux. Je risquerais d'en défigurer un, marmonnais-je entre mes dents.

-Il faut regarder si il y avait pas quelque chose d'organiser sur cette plage. Parce que c'est vraiment bizarre qu'il est autant de monde et surtout eux, le même jour que nous.

En me penchant légèrement, je prend mon téléphone pour entrer dans les actualités du jour. Pour savoir si quelque chose se déroule sur la plage pour qu'il y est autant de monde.

-Il y a pas cours à la fac dû à l'attenta d'hier qu'on a fait. Soit disant les élèves auraient eu un manque de concentration et cette journée est faite pour qu'ils aillent mieux avant de reprendre les cours demain.

-Ils ont l'air d'avoir eu une frayeur vu leurs têtes la ?

-Absolument pas, et en plus on les épargnez du sang et des cadavres, donc ils n'ont aucun motif. Mais c'est comme ça d'après ce que je vois. En tout cas, aucun de nos noms n'a étaient affichés il y a juste marquée qu'il y a eu un attenta mais rien de plus.

Mon téléphone ce met à sonner d'un numéro masqué. Je réponds, mettant haut parleur pour que Rafaël entends aussi la conversation.

-Allô ? Bonjour, dit une d'homme voix inconnue.

-Bonjour, répondons en même temps.

-Vous avez pris l'un de mes hommes ?

-Qui êtes-vous ? Dit Rafaël.

-Sûrement l'un de vos ennemis qui a embauché celui que vous détenez.

-The Masked ? Demandais-je.

-Probablement l'un des plus hauts placer, peut-être.. qu'on me surnomme.. double M.

-Makarov Miller, murmurais-je en ouvrant grand les yeux.

Il raccroche sans même prononcer une phrase de plus. C'est bien la confirmation que c'est lui.

Mes yeux s'écarquillent, Rafaël a la même réaction que moi. Ça risque de partir en couilles.

Sauf que nous ne pourrons pas rappeler, il était en numéro masqué. Et il n'y a que très de chance qu'on peut trouver son numéro, parce que le logiciel n'est pas sur à 100%.

Brusquement nous nous levons, je prend directement mon flingue qui était cachée sous mon short sur le sable, Rafaël avait fait pareil mais avec son t-shirt. Alors directement j'enfile mon t-shirt et mon short, et lui enfile son t-shirt.

Nous chargeons directement nos flingues, le click nous préviens qu'il est maintenant chargé. Puis nous rangeons nos flingues à l'arrière de la poche de nos shorts.

-Vous allez où ? Demande nos sœurs.

-On doit rentrer en urgence. Prévenez les autres que nous sommes partis, prononce Rafaël.

Elles hochent la tête, puis nous partons en marchant. Ma main est dans la sienne pour ne pas que nous nous perdons dans la foule de la plage. Je le suis de près puisque c'est lui qui est devant.

Je tourne ma tête une dernière fois pour regarder ma sœur et sa sœur qui sont entrain de jouer à celle qui aura le moins de pépin dans leurs pastèque.

Mais pour retourner la tête, je tombe sur le regard de ceux à qui je me promet une vengeance, et pour le plus vite possible. Mais aussi sur le regard des 2 hommes qui nous ont trahis pour un autre réseau.

Les voir nous observer ne me met pas de bonne humeur. Et ce qui est entrain ce passer pour nous me rend nerveuse.

Comment Makarov a eu mon numéro pour m'appeler en masqué ?!

Très rapidement nous atteignons le parking et la voiture de Rafaël. Les filles repartirons dans les voitures de nos proches.

La seule caméra dans la maison et celle de la cellule pour garder l'œil sur les prisonnier qui n'est que rarement utiliser car nous n'avons pas que ça à faire de regarder ce qu'ils font. La plupart du temps ils sont ligoter alors rien n'arrivera.

À peine la ceinture de mise que il démarre rapidement. Malgré l'urgence, Rafaël à toujours sa main sur ma cuisse à notre habitude.

Il faut récolter le plus d'information possible sur l'homme que nous avons kidnappé hier.

À grande vitesse nous arrivons à la maison en moins de 10 minutes, nous devons perdre le moins de temps possible.

Nous sortons rapidement de la voiture. Cette histoire de gang s'empire toujours plus chaque jours. Et ça devient inquiétant, si il a eu mon numéro c'est qu'il a eu c'est qu'il a sûrement d'autre information. Cela signifie que notre sécurité va être encore une fois de plus renforcer sous leurs menace.

Nous qui étaient dans le déni en espérant qu'ils ne connaissent pas notre existence, c'était totalement faux. Au contraire, ils nous traquent et nous sommes probablement leurs cibles.

Nous entrons directement dans la maison, puis nous descendons à la cave afin de rencontrer l'inconnue que nous avons kidnappés hier à l'attenta.

Avant d'entrer, je désactive la caméra en la retirant pour que aucune vidéo ne soit prise.

Rafaël prend le trousseau de clé, inséré la clé dans la serrure, pousse la porte et nous entrons.

Voyant l'homme ligoté à la chaise, ses yeux se dirigent vers nous pour qu'il voit à qui il fait face.

-Vous savez que ça ne vous amènera à rien, dit-il.

-Peut-être que si. Une petite coopération ne ferait de mal à personne, dit Rafaël.

Je ferme la porte derrière moi, que la partie commence.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant