Chapitre 105 :

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On vient de nous rater, heureusement. Notre manque d'inattention aurait pu nous le faire coûter.

La balle c'est logée juste au mur derrière moi. À nouveau, nous visons et tirons sur de nouveaux ennemis.

Nous avançons toujours un peu en tirant sur eux, puis tout à coup. Rafaël tire mon bras, m'emmenant dans un petit coin protéger.

Par réflexe mes mains se place sur son torse, et ses mes mains sur mes côtes.

Et même pas quelques secondes après, une explosif explose, elles ne sont pas agressives, elles sont là pour nous expulser mais pas pour nous blesser. Il faut quand même faire attention.

Je comprends mieux pourquoi il m'a tirer ici. Je le remercie de nous avoir éviter de nous faire expulser dans les airs.

L'alarme ne s'arrête toujours pas, c'est très fort. Mais le plus fort c'est le bruits des balles et des explosifs.

-Vous avez le dossier ? Demande Nickolas au talkie-walkie.

-Pas encore, ils l'ont bien planquer les bâtards, dit Chelsea.

-Essayer de bien restez en groupe, ne restez jamais seul c'est beaucoup trop dangereux, dit mon père.

Nous sortons discrètement de notre cachette, pour continuer à tuer.

-J'ai plus de balles ! Préviens-je Rafaël.

-Fait chier ! Prends mes balles.

-Non ! Garde les. Je vais continuer au flingue et au couteau ! Il faudra retournez dans la salle de math, c'est là où il y a les réserve de balle. C'est dans le sac.

-On y va, fait attention sur le passage. Reste près de moi.

Mon couteau en main, je le suis de près. J'utiliserai mon flingue que en cas d'urgence, je n'aurais pas assez de balle pour les tuer alors vaut mieux utiliser le couteau.

Nous n'hésitons pas à tuer les ennemis, la différence qu'ils ont avec nous, c'est que la couleur de leurs protections sont dans le style de l'armée alors que nous c'est tout noir.

Mon cœur bat si vite.

Mon couteau est rempli de sang, le sang de nos ennemis.

Très vite, nous rejoignons la caisse de math par la fenêtre briser.

Il y a encore un peu de monde. Il reste encore 7 personnes a évacué. Dont Arès, Loukas, Enzo, Bianca et Lou ainsi que 2 filles. J'aimerais tellement tuer mes anciens amis, mais ma vengeance sera bien meilleure.

C'est la seule classe qui se met dans le gymnase car c'est la seule classe où la vitre est brisée. Ce sont des innocents, ils ne méritent pas la mort.

Le bandage autour de mon avant-bras et de ma cuisse était blanc, ils sont maintenant rouges.

Mon père est dans la salle de cours avec nous. Enfin il vient d'arriver.

-Où sont les autres ? Demande mon fiancé à mon père.

-Ils terminent le combat, répond mon père.

-Les blessés ? Demandais-je en ouvrant le sac où se trouve les munitions.

Je retire ma cagoule à cause de la chaleur, je suis accroupie alors je la dépose sur mon genoux. Je prend ma recharge en la remplissant de munitions.

-Toi, Michael et Giulia, dit mon père.

Le click de mon AK47 affirme que ma recharge est bien poser. Puis je me lève pour rejoindre mon père et mon fiancé qui sont un peu plus loin.

Ils n'entendrons pas notre discussion.

-Il en reste encore beaucoup ? Demandais-je.

-Encore un peu. Il doit en restez une vingtaine qui joue à cache cache avec nous mais c'est bientôt. Pendant que Rafe et Moi allons aider les autres, tu peut emmener les derniers au gymnase avec les autres élèves ?

-Pourquoi pas Lorenzo ou Sergio, ils devaient le faire, répondais-je à mon père.

-Oui, mais les garçons ont étaient appelés pour venir en aide. Tu les emmènes et tu reste dans le gymnase pour les surveiller.

Je tourne la tête vers les anciens amis qui sont assis tous ensembles.

Il n'y a plus les 2 personnes, elles ont étaient récupérées par mon frère je pense.

Donc il reste que mes 5 anciens amis.

-Tu comptes vraiment la laisser seule avec eux ? Dit mon copain.

-Oui, j'ai confiance en elle. Si quelque chose arrive, elle se défendra.

-Hors de question, je pars avec elle, ajoute mon fiancé.

-Non, tu vient avec nous. On a la communication par talkie-walkie. Perdons pas de temps, plus vite c'est fait mieux c'est, dit mon père.

-Je te promet que si, ils leurs arrivent quelque chose je vais vraiment devenir fou.

-Tout va bien ce passer. Ne t'en fait pas. Et si quelque chose m'arrive je vous préviens, les rassurais-je.

Difficilement mon copain hoche la tête, c'est à contrecœur mais il a confiance en moi.

Je me retourne vers les 5 personnes assise plus loin.

-Levez vous, ordonnais-je.

-Tu n'a pas besoin de te cagouler par le couloir que vous allez emprunter, les caméras on étaient coupés et il n'y a aucun corps ni d'ennemis, dit mon père.

J'hoche la tête, puis ils partent. Même si mon homme c'est retourner à de nombreuse reprise pour me regarder avant de disparaître dans notre champs de vision.

Quand je regarde les 5 personnes, j'aperçois qu'ils sont debout.

Je n'ai clairement aucune envie de les « sauver », les mettre en sécurité.

-Suivez moi.

Sans un mot ils me suivent, de près. Dans le silence, nous sortons de la salle de cours pour entrer dans le couloir propre.

-Alisson, tu-, commence Enzo.

Le son de sa voix m'a fait bouillir de rage. En le coupant et en me retournant je prononce :

-Vous fermez vos gueules ! Je ne veux pas vous entendre et encore moins parler avec vous.

Je me retourne pour marcher à nouveau, je les sens marcher derrière moi.

-Tu es blessée, insiste Bianca.

-Mais ferme là ! Chuchote Lou.

-Écoutez VOTRE copines, car certains apprennes mieux que d'autres. Il suffit que vous montez un peu trop mes nerfs pour que l'un de vous se prend une balle. Avec grand mérite, ajoutais-je.

J'ai une rage envers eux et ce qu'ils m'ont fait vivre.

Nous marchons dans le couloirs, je reste sur les gardes. Le danger peut arriver n'importe quand.

Ils n'ont pas pu ajouter un mots de plus que nous sommes déjà arrivée, j'ouvre la porte.

J'entre dans le gymnase avec mes anciens amis, c'est calme. Juste quelque chuchotements de discussion à cause de ce qui ce passe.

L'alarme ne c'est pas arrêter depuis le début, les couleurs rouges sont toujours de cette couleurs et les bruits de balles sont toujours présentes.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant