Chapitre 88 :

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Ma mâchoire se contracta violemment, je sens ma veine sur mon cou et ma tempe. Par rage, je jette mon couteau, derrière le mur où se tient juste à coter Keegan.

-Puoi spiegarmi perché Lily e Winter erano qui? Perché da quello che mi hanno detto, hanno negoziato con te e tu gli hai detto di restare in macchina! Pensavi davvero che sarebbero rimaste lì mentre eravamo a pochi metri da loro?! Criais-je un point accusateur sur Keegan.(=Est-ce que tu peut m'expliquer pourquoi il y avait Lily et Winter ici ?! Parce que d'après ce qu'elles m'ont dit, avec négociation tu les a emmené avec toi en leur disant de rester dans la voiture ! Tu pensais vraiment qu'elles allaient restés la bas assise alors qu'on étaient à quelques mètres d'elles ?!)

Le regard de ma famille se focalise sur mes blessures.

-È complicato, ve lo spiegherò a casa. Sei ferita, répond-t-il. (=C'est compliquer, je vous expliquerais à la maison. Tu es blessée.)

Mes mains se serrent automatiquement. Il suffit que je contrôle mes émotions..

-Farai meglio ad avere delle buone spiegazioni, le hai messe in pericolo, répondais-je. (=Tu as intérêt d'avoir de bonne explications, tu les as mise en danger.)

Je desserre mes mains, décontracte ma mâchoire, et adoucit mon regard. Calme.

-Où es Chelsea ? Demande Michael.

-Partie dans la voiture avec Lily et Winter sous ma demande, rétorquais-je.

-4 de nous ont étaient blessés. Alisson, Elias, Jacob, Giulia, à cause du nombre important d'ennemis, on doit rentrés maintenant avant que ça ne s'aggrave, intervient Antonio.

Remarquant, l'avant bras de Giulia a était poignarder. La côte de Jacob a était transpercé d'une balle. Ainsi que Elias qui a le ventre et la et la cuisse poignarder. Puis moi, la main droite transpercé à 2 reprise, la cuisse gauche transpercé et mon bras gauche également transpercé d'un couteau. Nos sangs coulent à flots. J'en avais oublier mes blessures.

Je crois que tout le monde est habitué au douleurs, parce que on ne se plaint pas forcément de blessure.

Ils étaient beaucoup trop nombreux pour nous.

-Si on ressors par le toit, ça mettra plus de temps vu le nombre de blessés. On devrait descendre par les escaliers, dit Nickolas.

Au moins, nous avons gagner contre eux. Un peu plus performant que ce qu'on penser.

-Chelsea est sûrement déjà partie avec les 2 filles, et avant que vos blessures s'infecte, je veux qu'on rentre, intervient Michael.

La lumière blanche ébloui mes yeux clairs.

Je récupère mon couteau qui était planter violemment dans le mur.

-On y va, ne perdant pas de temp, dit Jacob.

En un clin d'œil, nous sommes dans nos voitures. J'aurais voulu parlais avec les 3 garçons, mais les temps ce sont aggravés ne nous permettons pas ça. On les verra demain.

La vitesse que j'ai mis dans ma voiture en doublant plusieurs personne m'a permis d'arrivée avant tout le monde que le parking de l'immeuble.

Rapidement je sors de la voiture, monte les escaliers, débrouille la porte est entre.

Le regard des 5 filles sur moi, les yeux écarquillés.

-Les autres arrivent, ils sont sur la route, annonçais-je.

Finalement, les pas derrière moi annonce qu'ils sont derrière moi.

On s'installe dans le canapé, tous ensembles, tout le monde est sur le canapé. Winter est partie chercher les trousses de soin pour nous.

Revenant en nous donnant tout ce dont nous avons besoin. Les 4 blessés, dont moi. Prenons des compresses et tout ce dont nous avons besoin pour les soins.

Alors que j'étouffe un léger gémissement entre mes lèvres à cause de l'alcool qui entre dans la plaie de ma cuisse pour bien nettoyer. J'ai encore 3 blessures à faire comme ça ! Alors j'enchaîne.

Keegan décida de s'élancer :

-Bon.. du coup les explications sont que les filles crier pour que je l'ai prenne avec moi, par peur de nous perdre. Je n'avais plus de temps pour vous rejoindre, alors j'ai désespérément accepté avec la seule condition c'est qu'elles restent dans la voiture, la chose qu'elles n'ont pas faites étant donnée qu'elles sont entrés dans la propriété.

-Les seules raison pour les quels je veux qu'elles ne vienne plus comme ça sans l'accord d'un adulte, c'est parce que je ne veux pas qu'elles voient des cadavres, et j'en passe, je veux les préserver le plus longtemps possible. Même si dès leur majorité elles feront comme nous. Je ne veux en aucun cas qu'elles font des cauchemars, être traumatisées et j'en passe, dis-je.

-Dans quelques mois, on verra ce que vous verrez. Alors pourquoi pas maintenant ? Demande ma sœur en fronçant les sourcils.

-Dans quelques mois nous avons 17 ans. C'est la majorité en Amérique ! C'est pas grave si-, commence Lily.

Ma mâchoire se contracta et mes yeux s'assombrissent à nouveau, puis ma voix la coupe :

-D'accord. Vous avez raison. Vous avez la majorité dans quelques mois et vous voulez voir des morts, des cadavres ? Et bien, la prochaine vous viendrez, et vous verrez la réalité. La raison pour la quel on vous préserve pour le moment, c'est parce que ça risque de vous traumatiser. Même si vous avez bientôt la majorité. Nous ne sommes pas traumatisés parce qu'on c'est habitués, mais les premières nuits étaient traumatisantes. C'est mieux de dormir paisiblement au lieu de faire des cauchemars, non ? Alors oui, un jour vous allez faire des cauchemars à cause de ça, mais après tout ira mieux. Comme nous. Ça me tient à cœur, mais si c'est ce que vous voulez, faites vous plaisir.

Je décide de couper cette conversation, je ne veux plus entendre de connerie de ce genre. Je prends mes compresses utilisés avec les quelles je me suis soignés pour les jeter à la poubelle.

Sans un mot, j'entre dans ma chambre que je partage avec ma sœur. J'entre directement dans notre salle de bain.

Le regardant dans le miroir, j'ai les éclaboussures de sang de mes ennemis. Ça me répugne.

Rapidement je me déshabille, et entre dans la douche. L'eau chaude coula sur moi, ce qui détends pour âme entière.

Rapidement le sang s'écoule. Je me lave cheveux et corps, me sentant déjà un peu mieux.

Une fois complètement propre. Je sors de la douche, enroulant serviette autour de mon corps et mes cheveux.

Dans la glace j'aperçois un hématome sur ma mâchoire, ma plaie au cou, celle de cette après-midi au lycée, ma blessure à la cuisse gauche, mes blessures à la main, ma blessure au bras gauche. Mais aussi l'arcade et la pommette ouverte. Mais ce n'est que des plaies ouvertes mais le sang sec.

Décidément aujourd'hui, j'ai eu le droit au blessure. Ce qui se faisais de plus en plus rare.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant