Chapitre 116 :

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❃𓆉❃

Nous marchons jusqu'à la tombe. Mon corps se crispe légèrement, je prends une grande inspiration.

-Je peux y aller si tu veut ?

-Non, c'est bon. On peut y aller..

Il resserre sa main dans la mienne lorsque nous arrivons devant sa tombe.

-Mon téléphone est cassée, dis-je en fronçant les sourcils.

-Il l'était déjà avant ?

-Non.. je l'ai peut-être fait tomber et il s'est cassée. Tant pis je le ferais réparé.

Il fait nuit, plus aucune lumière, il pleut, il y a des orages et de la foudre.

-Rafaël..

-Oui, mi amor ?

-Pourquoi.. pourquoi y a quelqu'un là bas qui nous fixe..

Nos regards se pose exactement sur la mienne silhouette. Un frisson parcours mon corps.

Une balle se pose juste à coter de mon pied. Et un rien de temps, une foule apparaît derrière l'homme.

-Écoute moi attentivement, on va courir, jusqu'à la forêt pour leurs faire perdre la tête, et on les éliminera. On doit s'avoir dans nos champs de visions, d'accord ? Murmure-t-il.

J'hoche la tête, et à son top, nous partons en sprint alors que nous échappons au balle qui nous sont attribuées.

Mon cœur bat si fort contre ma cage thoracique. Alors si mon téléphone est cassé, c'est qu'ils ont sûrement voulus le verrouiller mais que ça a était un échec.

Lorsque nous entrons dans la forêt, en courant main dans la main, les feuilles et les branches nous fouettes. Ils auront plus de difficultés à tenter de nous tirés dessus, déjà qu'il fait nuit.

-Appel les autres. Ils ont l'air beaucoup trop nombreux, dis-je complètement essoufflée.

Tout en courant, il sort son téléphone de sa poche.

-Ils ont coupés toutes les lignes, fait chier ! Cris-t-il.

Il fallait que ça arrive à nous. On est dans la merde.

Une explosion nous fait tourner la tête vers le bruits énorme.

La voiture de Rafaël vient d'exploser.

Heureusement que nous avons pas pris la fuite en prenant la voiture, parce que on auraient exploser avec la voiture.

Mais maintenant nous n'avons plus de moyens de transport.. et on a aucun moyens de contact.

Une balle frôle l'épaule de mon fiancé. C'est la merde. Ils sont trop nombreux par rapport à nous.

Le mur face a nous annonce la fin de cette course, et maintenant nous devons survivre.

Ma respiration est courte à cause du manque d'oxygène. Et rapidement nous nous armons de nos flingues.

Et voilà que les balles s'échange déjà, et les corps tombent. Pendant que nous faisons tout pour ne pas s'en prendre.

Ils ce rapprochent encore plus de nous, pendant que chacun joue avec sa vie. Surtout pour rester en vie.

Malgré si on en tue beaucoup, il y en à toujours autant.

La pluie avec la foudre nous ajoute beaucoup trop de difficulté. Je ranges mes cheveux qui sont collés sur mon visage pour les placer derrières mes oreilles.

Un homme arriver de nul part, m'attrape violemment en m'emmenant par l'arrière. Je saisis mon couteau en plantant sa cuisse alors que ses ongles griffer mon visage. Puis son corps se proprio se en arrière par la balle qu'il vient de recevoir de la part de mon homme.

Les balles s'échangent encore et encore.

Le bruits sourd d'une balle retentit à mes côtés. Et un gémissement de douleurs parvient à mes oreilles aussitôt.

Rafaël vient de se prendre une balle.

-Appuie fort ! Hurlais-je en tentant de nous couvrir.

Puis un deuxième bruits sourd parvient à mes oreilles. Et un troisième. Mes oreilles se mettent à siffler.

J'ai reçu des balles.

Dans la cuisse et dans le bras.

Nous avons tuer que la moitié, c'est super dangereux maintenant. Parce que nous sommes blessés.

Ils se regroupent facilement en nous entourant, presque aucune sortie n'est possible.

Rafaël se prend un couteau en plein dans l'épaule pendant que je me prend un autre couteau dans le bras. On ne doit abandonner.

Les corps de nos ennemis tombent sous nos couteaux et nos balles.

-J'ai plus de balles, hurle mon fiancé.

-Prend mon flingue ! Répondais-je.

Je lui lance mon flingue qu'il rattrape, je vais la jouer au couteau maintenant.

Ne voyant plus Rafaël dans mon champs de vision, je panique.

Malgré les balles que j'évite, je cherche mon fiancé. Mais même pas quelques secondes après je le retrouve.

Sous l'emprise d'un ennemis qui passe la lame sous sa gorge. Lui faisant une entaille. Mais Rafaël se défend en plantant son couteau un grand nombre de fois dans son ventre jusqu'à ce qu'il perde la vie.

Mon manque d'inattention me rattrape rapidement lorsque un poing s'abat violemment sur ma mâchoire. Mais je reste debout.

J'envoie rapidement une dizaine de coups de couteau dans son cœur jusqu'à ce qu'il s'écoule.

Les blessures qu'on reçoit, on ne peut même plus les compter. Ce que je sais, c'est que mon ventre n'a pas était toucher grâce à la protection que je lui apporte. Mais nous sommes quand même remplis de sang, pas du sang d'ennemis. Notre sang, on est blessés. Beaucoup.

Et la douleur que nous avons n'est plus supportable.

-On doit partir, si on reste ici on ne pourra pas survivre ! Hurlais-je.

-On continue sur le trajet, prends ma main ! Hurle-t-il à son tour.

La foudre tape juste à coter de nous, la pluie et de plus en plus forte.

J'attrape sa main avec difficulté, toutes les blessures que nous avons nous ralentis.

-La douleur c'est dans la tête pour l'instant, notre vie et en jeu. Alors cours sans t'arrêter en leurs tirant dessus.

Il a raison, on va souffrir pour l'instant, mais après ça ira mieux.

On court dans la forêt, les branches qui nous plantent ajoutent de la difficulté dans la notre course.

La douleur reste dans la tête juste pour la course, quand on rentre on pourra relâcher notre douleurs.

Cours.
Vite.
Cours.
Vite.
Cours.
Vite.

Notre vie est en jeu.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant