Chapitre 102 :

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Mais bientôt elle sera libérer, demain.

-Dit moi, ma fille ?

-Imaginons que l'histoire avec Ludo est intérieurement terminée, entre toi et maman ?..

-Détails ?

-Tu voit ? Tu as très bien compris papa !

-Non, finit la phrase pour que je comprend.

Je lève les yeux en souriant, comme si il n'avait pas compris, je le sais mais il veut juste l'entendre le dire.

-Entre toi et maman ? Est-ce que il y aurait peut-être une nouvelle étincelle ?

Il fronce les sourcils, avant de répondre :

-Sincèrement, je ne pourrais pas dire oui, mais je ne pourrais pas dire non. J'ai toujours aimer ta mère et malgré tout ce qui c'est passer depuis c'est longue années, mon amour pour elle ne fait que augmenter, même si ce n'est pas réciproque. Mais c'est le choix que nous avons fait, de refaire une vie, donc mes sentiments étaient de coter pour elle. Et puis si l'étincelle doit être rallumée, c'est par les 2, et si je ne suis que le seul, allez n'y aurait aucun intérêt. C'est encore une décision à prendre à 2 si ça devrait arriver.

-Et si.. c'était réciproque ?

-Alors en parlera pour prendre une décision.

Un sourire se dessine sur mes lèvres. Ça pourrait fonctionner ! Je n'ai jamais réellement vu mes parents ensembles, en couple. Sauf que des photos lorsque je n'étais encore que minuscule.

-Ne te fait pas d'idée. Alors file monter et te préparer, dit mon père.

-À vos ordres chef ! Rigolais-je.

Je monte directement les escaliers, entendant mon père ricaner. Puis directement j'entre dans la chambre de mon fiancé.

J'entre dans notre salle de bain, tombant sur mon homme, une serviette autour de la taille, le torse, les bras et les cheveux mouillés.

Mon corps glisse jusqu'au sien, son parfum d'homme remonte jusqu'à mes narines. C'est si agréable.

Son visage ce rapproche dangereusement du miens.

Nos lèvres ce frôlent, nos nez ce touchent. Et nos respirations ce mélange.

Mon dos est contre le lavabo, ses avant-bras frôlement mes hanches car ses mains sont posés derrière moi.

Nous sommes si proches, mais aucun de nous 2 de cède à ce jeu de regard et à ce moment de tension.

Ses yeux dans les miens. Nos corps ce frôlent, il fait bien trop chaud ici.

C'est comme si nous jouons à un jeu au quel aucun de nous ne veut perdre.

Pour lui ajouter de la difficulté, je dépose ma main sur son torse.

Il mord sa lèvre inférieur en tentant de résister.

-Tu me résiste ? À moi ? Ta femme.

-Et tu me met de la difficulté ? À moi ? Ton homme.

Un sourire ce dessine sur mes lèvres. Ses iris sont planté dans les miennes. Son corps est si coller au miens. Il n'est habiller que d'une serviette autour de sa taille. Nos lèvres ce frôlent et se touchent.

Je ne peux m'empêche de chuchotais :

-Embrasse moi..

Un sourire apparaît sur ses lèvres.

-Est-ce que tu veut que je t'embrasse ? Murmure-t-il.

-J'ai besoin de tes lèvres, c'est de la torture ce que tu nous fait..

Ma main ce balade tout le long de son torse, puis tout à coup ses lèvres affamés dévore les miennes, me coupant le souffle.

Puis sans attendre, nos langues se caressent. La chaleur ne fait que augmenter. Le baiser langoureux est si bon..

Ses mains ce baladent sur mon corps, retirant mes vêtements doucement.

En un claquement de doigt, nous nous retrouvons dans la douche sous l'eau, tout les 2.

Soudainement, il me retourne. Collant son torse à mon dos. 

Une de ses mains ce place sur une de mes hanches, et son autre main ce place sur la vitre de la douche. Alors que mes mains sont plaquer contre la vitre de douche.

Ses lèvres prennes possession de mon cou, me faisant frissonner. Puis il m'embrase jusqu'à mon lobe d'oreille, pour chuchoter :

-Tu sait, j'ai appris que les hormones d'une femme étaient multipliés lorsqu'elles étaient enceinte..

C'est vrai, je l'avais appris en lisant un livre que la grossesse.

Quand il emprisonne mon lobe d'oreille entre ses dents et que sa main descend dangereusement jusqu'à partie intime, je ferme les yeux en jetant ma tête en arrière contre son épaule tout en laissant échapper un long soupir.

-Regarde moi.

J'ouvre les yeux, rencontrant son regard à travers le miroir de la vitre de douche.

Ses lèvres profite de mon cou, il ne quitte pas une seule seconde mon regard.

-Ne me lâche pas du regard.

Sans avoir eu le temps de réagir, répondre ou autre. 2 de ses doigts entre en doigts me faisant gémir.

I lose control.

Je soutiens son regard, comme demander. Mais c'est compliqué quand il commence les va-et-vient. Ma tête ce jette sur son épaule, tout en gardant le contact visuel pendant qu'il embrasse mon épaule en me fixant.

Quand après plusieurs va-et-vient, l'orgasme s'offre à moi. Je l'entend grogner lorsque le son d'un de mes premiers orgasme à chantonner dans ses oreilles.

Sa partie intime se durcit toujours un peu plus à chacun de mes gémissement, et surtout à mon orgasme.

                          ❃𓆉❃

Nous nous sommes tellement manqués, que nous pourrions faire l'amour un nombre incalculable dans la journée pour rattraper les 3 mois perdu où nous nous ne sommes pas vu.

Actuellement il est 14h05, les garçons vont pas tarder à partir pour aller a la fac pour le plan.

Rapidement nous sortons de la maison, nous dirigeant vers Lorenzo, Sergio et Rafaël qui sont sur leurs motos.

-Faites attention à vous.

Je câline Sergio, puis Lorenzo. Et j'embrasse Rafael à travers son casque de moto.

Tout le monde leurs dit de rester prudent et essayer de ne pas ce faire cramer.

En espérant que tout ce passe bien.

Nous discutons un peu tous ensemble. Il y a le vrais liens tous ensembles, tout le monde sentant avec tout en monde. C'est parfait.

Pour ne pas être en retard ils doivent partir, ils nous font un signe de la main avant de partir.

Leurs motos partent à allure folle sur la route, comme chaque jour, ils sont armés car le danger peut arriver à n'importe quel moment. Comme nous, tout le monde est armés.

Après que les garçons soient partis, nous rentrons à la maison. Nous allons déjà commencer le hack en ligne, nous allons avoir accès au vidéo de surveillance de toute la fac et tout les dossiers numériques, au cas où quelque chose nous intéresserait.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant