Chapitre 150 :

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Des ennemis nous tirent dessus. Alors Rafaël tire en retour, j'allais faire de même. Mais ça ne fonctionne plus.

-J'ai plus de balles ! Dis-je.

Ni AK47 ni flingue, plus de balles. Et j'ai pas de recharge sur moi.

Et même quand j'essaye de tirer, l'arme annonce la réserve vide.

-Click, click, click. Allez Alisson, tu n'a plus de balles sort de ta cachette. Tu ne peut plus rien faire, alors viens et tour se passera bien. Ou au contraire. On vient te chercher et ça ne sera pas la même manière, dit un ennemis.

Bordel, nous arrêtons tout mouvement. Nous sommes assis, cachée derrière une pierre.

-Passe de l'autre coter, et je vais les divertir et leurs faisant penser que j'ai n'ai plus rien, dis-je.

-T'es sûr ? Dit-il.

-Sur de moi. Je vais faire croire que je n'ai aucune défense. Et qu'ils vont pouvoir me prendre. Va de l'autre coter, ne t'en fait pas.

Il dépose un baiser sur ma tempe, il ne veut pas me laisser et encore moins avec des ennemis. Mais je vais gérer. J'ai un plan.

Il commence à partir discrètement.

-Jette tes armes Alisson, dit l'un d'eux.

Je jette mon flingue et mon AK47. Pour l'instant ils ne voient pas et je ne les voit pas, car je suis toujours derrière ce cailloux.

-Rien d'autres ? Dit un ennemis.

Je jette un couteau aux cotés des armes.

-Bien. Jette ta cagoule maintenant.

Mais ce qu'ils ne savent pas, c'est que j'ai un autre couteau sur moi.

Je jette ma cagoule a cotés de mes armes.

-Maintenant montre toi.

Je me lève, et sort de ma cachette. Je ne suis plus derrière la pierre à présent.

Ils sont 5.

J'ai un sourire aux lèvres qui les font froncer les sourcils, je le vois même à travers leurs cagoules.

-Où est ton coéquipier ?

-Je ne sais pas, souriais-je en haussant les épaules.

-Va vérifier derrière le cailloux, ordre l'un d'eux à ses collègues.

L'un d'eux attrapent mes épaules afin de m'avoir entre leurs mains. Mais ça ne va pas tarder.

Et surtout nos proches qui nous regardent à la télé doivent vraiment ce demander ce que je fais. Mais moi j'ai déjà mon idée derrière la tête.

Alors que l'un d'eux marche pour aller derrière le cailloux. Je sors directement mon couteau derrière la poche en attaquant l'homme qui me détient.

Les 3 autres hommes tentent de s'approcher de moi. Ce qui fit un échec lorsque je les attaques de coups de poings et de coups de couteaux.

J'abats un grand nombre de poings sur le dernier homme, celui qui est partis derrière le cailloux. En terminant en l'assassinant avec mon couteau.

Une fois tout les hommes à terre. J'enfile ma cagoule, Rafaël revient au loins.

-J'ai pris des réserves, dit-il.

Je le remercie, puis je recharge mes armes pendant qu'il couvre mes arrières.

Je me redresse une fois que c'est fini.

Et à nouveau nous reprenons, meurtre sur meurtre. Cadavre sur cadavre.

Pour éviter d'utiliser toutes les nouvelles balles comme j'ai fait il y a quelques minutes, je tire avec l'AK47, le flingue. Mais j'utilise aussi les bombes et les couteaux. J'ai aussi trouvée un pieds de biche en fer, un coup dans la tête suffit à tuer quelqu'un.

J'abat violemment un pieds de biche sur le crâne d'un ennemis qui se fond en 2, mort.

Une explosion juste à coter de nous, nous fait expulser violemment dans les airs. Et nos corps atterrissent sur le sol, comme plusieurs autres personnes.

Un ennemi à terre à coter de moi, n'a pas le temps de réagir que mon couteau se plante dans son cœur.

Le sang des blessures que j'ai reçu s'écoule. Rafaël aussi.

Un hurlements de douleur retentit, on connaît cette voix, on la connaît beaucoup trop bien.

Rafaël a écarquiller les yeux, comme moi. Et nous nous sommes regardés.

Et nous avons courus dans la direction du cris.

Sergio.

-Sergio tout va bien ? Demandais-je en courant au côtés de Rafaël.

-Les gars ! Il réponds plus ! Hurle Lorenzo au talkie-walkie.

-Où vous êtes ?! Hurle Rafaël.

-Au pieds du bâtiment abandonné. Faites vite il est blessé ! Il bouge plus ! Hurle mon frère.

Bordel.

Sur notre passage, nous sommes obligés de tuer tout en courant dans la rapidité jusqu'à ce bâtiment.

Nous trouvons Lorenzo et Sergio. Tout les 2 au sol. Lorenzo assis au coter de Sergio qui est allongé les yeux fermés, il est inconscient sur le sol.

Automatiquement on cours en les rejoignant.

On s'accroupit au cotés des garçons, Lorenzo est complètement paniquer. Et je comprends mieux lorsque le t-shirt de Sergio est remonter laissant apercevoir le torse de Sergio nus mais recouvert de sang avec des blessures.

-J'arrive pas à prendre son pou ! Hurle Lorenzo.

Je décale la main de mon frère pour mettre la mienne. Je cherche son pou.

-C'est faible, appuie sur ses blessures pour éviter que trop de sang s'écoule, dis-je.

-On a besoin d'un médecin en urgence pour Sergio au pied du bâtiment abandonné, dit Rafaël au talkie-walkie.

Si il n'a pas de médecin, son état va s'aggraver. Et il perdrait trop de sang. Et il ne pourrait pas continuer la guerre jusqu'à la fin.

Il c'est surtout pris des balles dans le ventre, et c'est trop important.

-Je perds son pou, dis-je.

J'ai beau appuyer, je ne ressens plus rien. Alors je prends son poignet, rien..

Les battements de mon cœur accélère, et mes yeux commencent à briller. Non, pas ça..

Une larme coule, très vite caché par ma cagoule, mais mes yeux rouges de larme ne cache rien.

-S'il te plaît.. ne nous fait pas ça Sergio.., murmurais-je en prenant sa tête dans mes bras pour le câliner.

-Alisson, il se passe quoi ?! Pourquoi tu dit ça bordel ?! Dit mon frère.

Quand mon regard se dépose sur les 2 garçons à coter. Il se rendes compte que quelque chose ne va pas.

C'est pas possible.. c'est un cauchemar..

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant