The Fears

Chapitre 97 :

En seulement quelques secondes, la porte s'ouvre brusquement, et des bras s'enroule autour de moi.

Maman.

Mes bras l'entoure aussi. Sa tête dans mon cou me fait légèrement mal. La blessure d'hier soir est bien trop fraîche.

Enfin, ma blessure dans le cou, à la cuisse, au bras et 2 fois sur ma main, sont bien trop fraîches. Elles viennent seulement d'hier soir. J'aurais bien trop peur qu'elles se mettent à saigner parce que elle auraient mal sécher.

-Tu ma tellement manquée.. chuchote-t-elle dans mon cou.

-Tu ma aussi beaucoup manquée, maman.

Ça fait 7 mois qu'on ne s'étaient pas vus..

Je prend son visage en coupe, l'examinant. Elle m'examine aussi.

Je vais le tuer. Même si ce n'est pas maintenant, je le ferais tôt ou tard. C'est ma promesse.

-Tu as était blessée, ma chérie..

Et oui maman.. je vivais, je vie, et je vivrais avec des blessures. Sois de traumatisme dans le passée, sois de blessure qu'on va me faire sur des missions. Ce qui est rare.

Toi maman, je vois ton hématome que ta mâchoire. Cacher grâce a du maquillage, je suis la seule à pouvoir le voir. Parce que moi aussi je cacher mes hématomes avec du maquillage. Je sais à quoi ça ressemble.

Personne ne va le remarquer, mais moi, oui.

-Ce n'est rien, prononçais-je.

Je l'ai laisse passer, elle fait la bise au reste derrière moi.

Ma mère cache si bien son jeu, mais moi je connais ce jeu. Parce que j'ai moi-même jouer à ce jeu. Le jeu où tu met ton masque pour montrer au monde que tu va bien. Oui, je reconnais très bien ce jeu.

Ma mère nous fait tous entrés dans la maison.

-Tout le monde est dans le salon, on vous attendez, sourit ma mère.

J'hoche la tête puis nous la suivons, rien n'a changer ici. Nous sommes déjà une vingtaine à suivre la mère pour voir le reste de la famille.

Une fois arrivés dans le salon, nous tombons face au reste de ma famille, le coter de ma mère. Ça fait longtemps que je ne l'ai avais pas vu. Je dirais que ça fait environ 1 ans.

Tantes, oncles, cousins, cousines, grand-mère, et mon beau-père, ils sont tous là.

On fait tous la bise à ma famille sauf à mon beau-père.

-Tu as si grandi Alisson ! Dit ma grand-mère.

-Lorenzo aussi a beaucoup grandis ! Dit ma tante.

-Maman vous a déjà tout raconter de l'histoire avec Winter ? Demande mon frère.

-Oui, elle a tout raconter histoire aujourd'hui, à tout le monde, dit mon oncle.

-Au passage on a appris ta grossesse par ton père, dit mon cousin.

Rafaël avait l'une de ses mains poser sur une de mes hanches. Ils nous félicitent pour la grossesse des jumeaux.

-Alors, filles ou garçons ? Ou les deux ? Demande ma grand-mère.

-On ne sait pas encore, ça sera la semaine prochaine, répond mon fiancé.

-D'accord. Tu est à combien de mois ? Demande ma tante.

-De 4 mois et 1 semaine, plus précisément, 18 semaine, répondis-je.

Ils hochent la tête, et rapidement les discussions s'enclenchent. Mon beau-père parle avec l'un de mes oncles.

-Winter à de si jolies yeux, ceux de son père et ceux de sa mère, dit ma tante.

Ma mère et mon père ce lance un regard timide, c'est vrai, ma sœur a des yeux magnifiques. Elle a des yeux avec une sectoral heterochromia 50% de bleu, et 50% de vert dans le même œil, pareil pour l'autre œil. C'est très rare.

Mon beau-père jette un regard noir à ma mère qui a regarder mon père. Il est jaloux. C'est bien fait pour lui.

Je suis même sûr que mes parents ont toujours des sentiments l'un envers l'autre, mais mon beau-père casse tout en restant avec ma mère.

J'espère que cette histoire sera bientôt terminée pour que ma mère se sépare de mon beau-père, et en espérant qu'elle se remette avec mon père.

Parce que au final, entre mes parents ça c'est seulement terminé parce que mon père a cru qu'il laisserais sa vie sur le terrain.

Je suis sûr qu'ils s'aiment toujours.

-Quand on a appris que tu était parties il y a 3 mois de ça, on étaient tous en panique pour toi. Mais quand on a appris que était rentrée, on est directement venus ici chez ta mère pour qu'on ce revoit tous, dit l'une de mes cousines.

Je sens le regard de mon beau-père sur moi, j'aimerais tellement lui arracher les yeux pour lui bouffer.

-On va rester discuter ici en attendant que le repas termine de cuire dans une vingtaine de minutes environ, dit ma mère.

Un petit poids fonce dans mes jambes, quand je baisse la tête, j'aperçois un de mes tout petits cousins. Il doit avoir 4 ans. Il a enveloppé ses bras de mes jambes.

Je sourie en le prenant dans mes bras, son petit corps est installé sur mon ventre arrondie.

Mon petit cousin enroule ses jambes et ses bras autour de moi, comme un petit singe. Il m'attaque de bisous au visage. Je me rappelle qu'il adorait le faire ça, c'est un ange.

-Attention, ne me vole pas ma femme, petit.

Nous rigolons face à la réaction de Rafaël qui est évidemment fausse.

Winter et Léane, les meilleures amies, et belles-sœurs à la fois. Discutent toutes les deux. Elles sont inséparables, c'est magnifique à voir.

-On va mangez dehors ? Demande Elias.

-Oui, il fait chaud dehors alors vaut mieux profiter, dit ma mère.

Alors directement, tout le monde est partis dehors, on s'installe tous à table en discutant en attendant que le repas termine de cuire.

Je suis assise avec mon frère à la droite, et mon fiancé à la gauche. Qui a sa main sur mon genoux.

Puis les minutes et les minutes passent, nous discutons tous ensembles. Enfin « tous », pas vraiment. On est au moins cinquante ici.

L'alarme sur le téléphone de ma mère attire mon attention.

-Je vais chercher le repas, c'est cuit, dit-elle.

-Je viens avec toi, dis-je en me levant.

Elle hoche la tête, puis nous entrons dans la maison. Laissant tout le monde derrière nous.