The Fears

Chapitre 147 :

❃𓆉❃

3 jours plus tard.

-Ta rien oublier de prendre mi amor ? Demande Rafaël.

-Non, j'ai tout pris et toi ?

-Non plus, je n'ai rien oublié.

Rafaël prend les 2 cosys avec Ryan et Rayan à l'intérieur. Un cosy de chaque main. Et moi j'ai les valises du séjour.

Il est tout juste 11h45. On est à l'heure, alors nous sortons de la chambre, laissant les clés sur la poignée.

Puis nous marchons, et descendons les escaliers afin d'accéder à la sortie.

Vivre notre nouvelle vie. À 4. Ma petite famille. Je suis si heureuse. Nous sommes heureux. Très.

Une fois dehors, nous allons directement vers notre voiture. La Lamborghini Urus, noir. C'est notre voiture familiale à 5 places. Même si nous en avons d'autres, celle-ci est la principale.

Pendant que mon mari installe les jumeaux dans la voitures en clipsant leurs cosy, moi je range les valises dans le coffre.

Une fois terminé, nous entrons dans la voiture. Puis directement nous roulons afin de rejoindre nos proches à la fac pour faire une surprise au 3 filles qui viennent d'intégrer leurs première mâtiné à la fac.

La main de Rafaël est sur ma cuisse, comme à notre habitude.

Sur le trajet de la route, jentend l'un des jumeaux pleurer, je tourne la tête. C'est Ryan qui pleure.

-Qu'est-ce qu'il y a petit cœur ? Dis-je en lui tendant mon petit doigt.

Il prend mon doigt dans sa petite main. Quand je regarde son visage je comprends mieux ce qui ne va pas.

Il n'a plus sa tétine dans sa bouche et ça la retirer de son sommeil.

Alors je reprend la tétine et lui met dans sa bouche en lui posant son doudou à ses côtés pour l'aider à s'endormir.

Et en quelques secondes les pleures s'arrêtent. Puis la route continue, nous allons bientôt arrivés.

Une fois arrivés, nous avons la chance de trouver une place, juste à coter de celle de nos proches.

Sans perdre de temps, nous sortons de la voiture et sortons la poussette cosy double. Une fois dépliée, il ne reste plus qu'à installer les cosys.

Nous terminons par clipser les cosys sur la poussette cosy double. Les jumeaux dorment paisiblement pendant ce temps.

Nous marchons sur le trottoir afin de rejoindre nos proches devant la fac.

Pour l'instant ils nous voient pas car ils sont dos à nous. Mon père a les mains dans ses poches. Ma mère a simplement poser sa main sur l'avant-bras de mon père.

J'aurais tellement aimer les voir comme ça pendant mon enfance..

Je préviens Rafaël du geste de ma mère en souriant. Et nous en sourions tout les 2. Ça nous fait plaisir de les voir comme ça, et heureux.

Je le savais qu'il y avait toujours de l'amour entre eux. Ils se sont toujours aimer, ils n'ont jamais cesser de s'aimer au fond.

Je savais depuis quelques temps que ils devenaient bien plus tactile l'un envers l'autre, surtout depuis qu'ils habitent ensembles avec ma petite sœur.

Peut-être même que leur relation est en cours. Enfin c'est sûr, parce que il y a quelques mois de ça j'ai quand même aperçu le suçon dans le cou de ma mère qu'elle avait tenter de cacher avec du maquillage.