Une lame de couteau frôle mon cou, découpant ma peau. Et une seconde lame frôle ma joue.
Nous tirons sur nos ennemis sans même nous arrêter, je suis essoufflée. Pendant que nos courrons, nous continuons à recevoir des blessures. Nous sommes remplis de notre sang. De la tête au pieds.
Mon couteau en main est aussi remplis de sang, mais celui de nos ennemis.
Courir.
Pendant la plusieurs et longues minutes nous courrons malgré nos blessures. Nous tirons, et les ennemis tombent à terre.
Il reste moins d'une dizaine d'ennemis. Nos sang coule beaucoup, beaucoup trop. Ma respiration est si courte que je me demande si elle est encore là.
La main de Rafaël dans la mienne m'aide garder le rythme de la course, même si la seule envie que j'ai c'est de m'effondrer.
Arriver devant la maison, il ne reste qu'un ennemis qui jette un couteau en ma direction et une balle de flingue dans la direction de Rafaël. À cause de notre fatigue, nous encaissons nos nouvelles blessures. Pour part c'est dans la cheville et lui dans la cuisse.
Rafaël fait un jeter de couteau entre les yeux de l'ennemis. C'est finis. Enfin.
En tapant un sprint, nous entrons dans la maison. À bout de souffle. Je n'ai plus de respiration, ou que très peu et très court.
Je prend appuie sur ma cuisse pour ne pas tomber par terre, pendant que Rafaël appuie sur son ventre pour perdre le moins de sang.
-Pourquoi vous avez mis autant de temps ? Ça fait 1 heure que vous êtes partis, vous avez-, commence Keegan.
Il se stop directement lorsque il nous voit dans l'état dans le quel nous sommes. Et automatiquement la tête des autres ce tourne, ouvrant grand les yeux.
Nous sommes trempés à cause de la pluie, et nous sommes remplis de notre sang. Automatiquement, je lâche mon couteau au quel j'ai pu retirer la vie de mes victimes.
Mon haut qui était à la base blanc ressors rouge, mon bas qui était bleu est rouge. Le haut blanc de Rafaël est rouge, et son bas noir et gorgée de rouge. Et nos peaux sont remplis de sang et de blessures.
-Oh putain il c'est passé quoi ? Hurle mon frère en courant vers nous.
Aucun de nous n'arrive à parler à cause de notre manque d'air.
Nos proches portes leurs main à leurs bouches voyant nos états catastrophiques en 1 heure alors qu'on devaient juste récupéré mon téléphone.
Alors que nos jambes allez fléchir pour ce poser au sol. Sergio et Lorenzo nous rattrapes à temps.
À nouveau, je reprend une respiration régulière et plus calme.
-On.. on étaient partis.. récupérés mon téléphone. Et je l'ai retrouvée cassée..
Je sors mon téléphone de ma poche le tendant à mon frère.
-Le voyant dans cette état.. on c'étaient dit que c'était une coïncidence et qu'elle l'avait juste tomber. Et quelques secondes après on voit quelqu'un au loin nous fixer.
Nos respirations sont courtes pendant que nous expliquons tout. Les garçons nous déposent sur le canapé.
-On a dû taper un sprint, dans la forêt en voyant qu'ils étaient plus nombreux que prévu. Heureusement qu'on a pas pris la fuite en voiture parce que quelque seconde après elle a explosé.
-Dans la forêt, ils devaient être 60 contre nous, puis après avoir éliminés plus de la moitié on a dû ce taper un sprint pour pas laisser nos vies. Et nous voilà, terminais-je l'histoire.
-Pourquoi vous nous avez pas contacter ? Demande Sergio pendant qu'ils inspectent nos blessures.
-Ils avaient tout coupés, aucun moyens, répond Rafaël.
Nous reprenons une respiration normal, mais nos blessures sont bien trop douloureuses. Mon père observe mes blessures, et mon oncle Michael examine les blessures de mon fiancé.
Rien que nos visages, les blessures sont présentes et saignantes.
Rafaël retire son t-shirt avec l'aide de mon oncle pour inspecter ses blessures de plus près. Moi je mon ventre et mon torse n'a pas était toucher, donc mon père remonte simplement les manches de mon t-shirt manches courtes pour avoir accès à mes blessures au bras.
-Appel, Don Angelo, dit mon oncle.
Mon frère ne perd aucune seconde et le contact en s'éloignant. Don Angelo est notre médecin, attitré seulement à nous.
Quand mon père appuie sur ma blessure pour laisser écouler le sang afin de voir la gravité de la blessure de ma cuisse, je plaque mes mains sur mon visage avec une respiration accélérée.
Tout le monde voulait dormir, mais je crois que leurs sommeil ne serra pas présent pour maintenant.
-Il est en route. Il sera là dans moins de 2 minutes, annonce mon frère.
-Il t'a donner des instructions ? Demande mon père.
-Les mettre dans la salle de soin et les allonger, mais surtout les gardez éveillés. Comme ça dès qu'il arrive, il n'a qu'à s'occuper d'eux.
Mon père mon bras autour de ses épaules pendant qu'il pose sa main sur ma coter en longeant mon dos pour que je prenne appuie sur lui.
Mon oncle fait de même pour Rafaël. C'est si calme, fin ce ne sont que des voix qui parle à voix basse. Je crois que nous avoir vu comme ça a était un choc. Nous voir aussi blessés.
J'avais carrément oublier qu'il y avait une salle de soin ici.
Nous finissons allongés, dans un lit coller à l'un à l'autre dans cette fameuse salle de soin.
À peine installés, que la porte s'ouvre directement faisant apparaître le médecin.
Nous nous saluons, puis le médecin demande à ce que mon père et mon oncle sortent de la salle.
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The Fears
Novela JuvenilAlisson Rossi, une jeune femme de 17 ans. Avec une vie plutôt simple mais aussi difficile. Une vie et un passer douloureux et difficile. Elle passera par plusieurs épreuves. Dont, une qu'elle ne va pas en croire ces yeux. Sa petite vie d'étudiante v...