The Fears

Chapitre 127 :

-Mi cabrón favorito, tu sait que je vous suivrez quoi qu'il arrive. Et je serrais le premier alliés à vous joindre, dit Matteo.

-Je sais, et c'est pour ça que tu compte beaucoup pour moi cabrón.

On voit que c'est une vrai belle amitié. Les 2 garçons ne se laisseraient jamais tombé, ils s'aideront toujours mutuellement.

-Vous avez pensez à toutes les dépenses et tout les risques dans la guerre ? Demande Ayden.

-Oui, c'est pour ça qu'on y a beaucoup réfléchis pour cette guerre qui sera sûrement mémorial. Si on gagne cette guerre, ils ne pourront plus nous attaquer, et nous serons les The Fears en première place. Et votre gang sera sûrement également dans le top, répond mon père.

-Ça sera sûrement du gagnant pour tout le monde, ajoute mon oncle Antonio.

-Marché conclut. Dans tout les cas je vous aurez suivis, dit Matteo en serrant la main de mon père.

-On refera une réunion lorsque on aura réunis tout nos alliés pour parler de la guerre, ça sera dans les mois prochains, dit mon oncle Michael.

❃𓆉❃

Il est 13h10. Rosalia, Ayden et Matteo sont encore à la maison. On leurs a proposé de manger à la maison.

Actuellement nous sommes dans le salon de jardin. Il fait si chaud en ce fin de mois d'avril, dans quelques jours nous sommes en mai.

Certains sont dans l'eau, d'autres jouent au foot sur l'herbe fraiche, d'autres bronze à coter de la piscine, et d'autres sont dans le salon de jardin à coter.

Nous sommes tous en maillot de bain. On en a prêter à Ayden, Rosalia et Matteo. C'étaient pas prévu qu'ils restent, mais sous notre demande ils sont restés.

Je suis en haut de maillot de bain, mais avec un short en jean. Beaucoup de filles ont fait de même.

J'ai fait connaissance avec Matteo, Ayden et Rosalia. Ce sont de très gentilles personnes, qui sont dans le même milieu que nous.

Pour l'instant, il n'y a que Rosalia et moi dans le salon de jardin extérieur, il n'y a personne d'autres. La plupart sont dans la piscine.

-Ça signifie quoi cette mèche blonde polaire dans vos cheveux à toi, ton frère et ton père ? Et à ta sœur qui a les cheveux complètement polaire ? Demande-t-elle.

-C'est génétique, il n'y a que mon père qui l'a eu et nous la héritier à moi et Lorenzo, c'est un manque de mélanine dans l'une de nos mèches de cheveux. Et surtout à Winter qui en a complètement héritier pour tout ses cheveux.

-D'accord ! Et d'où vient ta cicatrice au visage ?

Cette cicatrice. Fine, blanche et de taille moyenne. Qui part de mon sourcil droit, qui traverse mon nez jusqu'à ma joue gauche.

Je lui raconte tout, les mensonges sur la mort de mon père toute ma vie, le déni de grossesse de ma mère que Winter, la cachoterie sur la vie de Winter, la violence que mon beau-père m'a infligée à moi et mon frère, les attouchements que j'ai eu de la part d'inconnu, les 2 viols que j'ai eu, et la cicatrice dont elle me parle. Et aussi ma péricardite aiguë.

-Wow.. je suis sincèrement désolée pour tout ce que tu as vécue.. t'es vraiment très forte.

-Merci, ne t'en fait pas. Je vais mieux ! Comme je te l'ai dit, c'est depuis que j'ai connus les garçons que tout va mieux pour moi maintenant ! Ils m'ont sauvés. Et la peur de mon beau-père à était effacé depuis les quelques jours en arrière où je l'ai tuer. Il ne pourra plus jamais revenir.

-Tu as déjà tuer ? Toi ? Mais en dirait ange tomber du ciel..

-J'ai tuer bien plus de fois que tu ne le crois. Il y a moins d'1 ans. Je n'arriverais pas à tenir un flingue entre mes mains, j'en faisais des crises d'angoisses. Et maintenant j'ai réussi à régler ce problème, parce que je tue. Tu as déjà tuer ?

-Euh.. oui.. c'était un réflexe, c'était un homme qui avait des intentions malsaine. Matteo m'avait prévenu que si il devenait trop bizarre, je t'avais le tuer sans hésiter. Et quand il a poser une maison sur moi, j'ai eu peur et j'ai appuyer sur la gâchette par réflexe..

-Tu t'es sentie comment après ton geste ?

-Très mal, j'ai vomie, j'ai fait des cauchemars, je ne voulais même plus parler. Et depuis ce jour là. Je n'ai plus jamais retoucher à une arme.

-J'étais comme toi à ce moment, c'est toujours comme ça au début, et pour tout le monde. Mais après tu t'y habitue. Comme ça, ça a l'air très psychopathe mais je t'assure que tu ira mieux la prochaine fois.

Elle hoche la tête timidement.

-C'était sur que je finisse par tuer et entrée dans une mafia. Toutes la famille du coter de mon père et dedans. Mon père, mon frère, et mon fiancé sont dedans aussi, sans m'en rendre compte. J'y était entourée. C'était sur que le jour où j'enlèverais la vie arriverais, ça ne pouvait pas me passer sous le nez. Mais finalement c'est une bonne chose. Dans ce monde, c'est sois on t'écrase, sois tu écrase. Et nous sommes du monde où nous écrasons. Parce que c'est le meilleure moyens de gagner. Tu m'aurait dit que je serais devenue une meurtrière et une mafieuse il y a quelque années ou même quelques mois de ça, je serais partie en fou rire extrême.

Elle rigole face à ma dernière phrase.

-Dit moi ? Demandais-je.

-Oui ?

-Tu l'aimes bien, pas vrai ?

-Qui ça ?

-Lui, dis-je en faisant un mouvement de tête.

-Ayden ? Non ! C'est juste un très bon ami !

-Mais non ! Pas lui.. son frère.

-Matteo ?! Murmure-t-elle les yeux écarquillés.

-Ne me le cache pas, rigolais-je.

-Quoi ? Non ! Pas du tout ! Loin de là ! Dit-elle en mimant le dégoût.

-Même pas un peu ? Souriais-je pour l'amadouer.

-Ton sourire ne me fera pas dire de chose fausse.

-Est-ce tu pourrais arrêter de te mentir à toi même s'il te plaît ?

-Ma parole que t'es complètement malade.. tu es fatiguée ?

-Ne me prends pas pour imbécile. Dit moi, s'il te plaît ! Tentais-je.

-Il n'y a rien à dire, à part que c'est un con et un enfoiré de première.

-Tu sait, au début je ne pouvais pas me voir Rafaël même si il était craquant et sexy je l'avoue. Mais j'avais une haine envers lui du fait qu'il es pris mon grand frère avec lui, sans se rendre compte que je me retrouver seule face à mon cauchemar. Je lui en avait voulu.. mais regarde aujourd'hui.

-Ce qui c'est passer pour vous ne se passera pas pour nous. Il n'y a que de la haine l'un envers l'autre. Je travaille pour lui seulement pour obtenir de l'argent, son frère est mon ami. Mais Matteo ne sera jamais mon ami.

-Alors je dis qu'il se mélange amour et haine entre vous, dis-je en lui donnant un léger coup de coude.

-Crois en tes rêves..

-Arrête ! Je sais que tu essaye de te convaincre !

Elle rigole en me voyant d'essayer de la faire changer d'avis. Je sens une tension entre eux. Qui est amour et haine. Ils ne le savent peut-être pas, mais nous on le voit. Ils se taquinent mutuellement sans même s'en rendre compte.