Chapitre 62 :

375 7 11
                                    

❃𓆉❃

Point de vue de Alisson :

Je me réveille, je crois que j'ai bien dormi. Ce sont des petits rires qui m'ont réveillés.

Je reste allonger sur Rafaël, mais en gardant les yeux ouverts. Le réveil à coter affiche 13h45.

Au final je m'assois sur le lit, j'ai était allongée beaucoup trop de temps et ça m'agace.

Toute les têtes ce tourne vers moi quand ils aperçoivent que je suis réveillée.

Quand ils parlent tous ensembles en s'adressant à moi, j'avoue que je ne sais pas où donner de la tête. Je comprends plus rien.

-J'ai rien compris, dis-je simplement encore endormis.

Ils se regardent ensembles et éclatent de rire face à ma réaction. Un petit sourire apparaît sur mes lèvres quand je les entends rires.

Même si je saigne encore. Intérieurement.

Mais tout ira mieux. Oui tout ira mieux.

Je crois qu'avoir pleurer tout la nuit m'a fait sentir déjà mieux. Mais pas au point de sauter partout.

-Comment tu va ? Demande mon copain.

-Mieux, je crois.

-Tu as rendez-vous chez le médecin dans 1 heure pour ton bilan, n'oublie pas, dit mon frère.

J'avais oublier ! Heureusement qu'il me la rappeler !

-Tu veut en parler ? Demande Maël.

J'hausse les épaules.

-On a regardés les caméras de surveillance, annonce mon père.

Donc ils ont tout vus et entendu..

-Et on te soutient dans ça. Parce que tu ne mérite absolument pas ce qui t'es arrivée. Les garçons n'ont rien voulu nous dire, mais d'après eux c'est un traumatisme qui a empêcher de te débattre ou t'enfuir, mais on respect ton choix. Aucun de nous t'en veut, on te soutient, dit Sergio.

J'ai eu peur.. j'ai cru qu'ils allaient me crier dessus pour le fait que je ne l'ai pas repoussée..

-Je vais me préparer, annonçais-je.

-Rafe t'accompagne, nous on va avancer sur le gang, annonce mon père.

J'hoche la tête. Rafaël dépose un baiser que ma tempe puis je me lève, les garçons sortent de la chambre en même temp que moi.

J'entre dans ma chambre, en prenant mes vêtements au passage. Un pull et un jean, tous 2 noirs.

J'entre dans ma salle de bain, je dépose mes vêtements sur le lavabo. Je ferme la porte, allume l'eau et me déshabille.

J'entre dans la douche, l'eau chaude coule déjà sur mon corps. Mais soudainement ça toque à ma porte.

Alors j'autorise l'entrée. Et la tête de mon copain dépasse de la porte. Sans me contrôle, un sourire se dessine sur mes lèvres, ça tête d'ange me fait sourire. Mon sourire se contamine, il sourie.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant