Chapitre 120 :

240 5 0
                                    

Il a reçu plusieurs coups, lui laissant ses marques de griffes, de poings et j'en passe.

Ils l'ont pas rater. Et je pense que Rafaël n'a pas était le seul à ce défouler sur lui. Ludo le mérite.

-Aujourd'hui sera ton dernier jour, annonçais-je.

Il me fixe, sans réponse.

-Enfin, je veux dire. Cette heure sera la dernière pour toi, souriais-je.

Bizarrement, ils ne rigolent plus et ne sourit plus pour me narguer. Je crois qu'il a compris la leçon.

-Mais avant, signe les papiers du divorce avec ma mère.

-Tu n'est vraiment qu'une-, comme Ludo.

Un violent coup de poing atterrit sur sa mâchoire, de la part de mon fiancé.

-Tu veut terminer ta phrase ? Demande Rafaël.

Ne pouvant pas nous regardez dans les yeux, il baisse les yeux. Bon toutou.

Après un silence, il lance :

-Détachez moi et je signerai votre papier de merde.

Rafaël dégrafe seulement une de ses mains pour qu'il signe et que ma mère soit libérer de ce monstre.

-Tu croyais vraiment qu'on allaient te détacher entièrement, rigolais-je.

En ordonnant, il signe le papier de divorce. La mâchoire de Rafaël est si contracter qu'elle serait prête à exploser. Il veut voir Ludo mourir, ça c'est sûr. Comme moi.

Alors qu'il me rend le papier signée. Je le prends dans mes mains en vérifiant. C'est bon.

Sa main libre de lèvre rapidement, sûrement pour tenter de me blesser.

Mais très rapidement, le craquement de son poignet suivis d'un cris de douleurs retentit. Rafaël vient de lui casser le poignet.

-Attention à ce que tu fait, murmurais-je avec un sourire au lèvres en m'adressant à mon ancien beau-père.

Ludo se plaint de douleurs avec son poignet casser, il la mériter. D'ailleurs il fait hyper froid dans cette chambre froide dit donc !

En quelques secondes, il a était ruer de coups, de ma part et de la part de Rafaël. Pendant une bonne vingtaine de minutes à le faire souffrir, en cassant des os, en faisant des entailles dans sa
peau, des coups et j'en passe.

L'avantage, c'est que puisque il est dans la chambre froide, il ressens la douleurs encore plus fortes.

-Même si tu me tue, tout les traumatismes que je t'ai créer te resterons gravé à vie. À toi, ton frère et ta mère. Mais toi plus particulièrement, murmure-t-il en gémissant de douleurs.

-Va en enfer, fils de pute.

Si je le plante dans le cou, pendant 30 secondes il va souffrir comme il n'a jamais souffert dans sa vie, pour terminer en mourant étouffer de son sang.

Alors sans attendre, je fais exactement ça. Je le plante dans le cou.

Le regardant s'étouffer et souffrir devant mes yeux.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant