Chapitre 38 :

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Ils maronnent encore tous ensembles me provoquant un sourire.

-Regarde là ! Cette démone ! Cris Sergio.

Je rigole. Mais c'est pas ma faute aussi. Ils avaient qu'à ce réveiller !

-Je vais faire à manger, alors allez vous préparer.

❃𓆉❃

Nous venons d'arriver au QG. Cette fois je n'ai pas pris la voiture. Je suis monter avec mon frère que sa moto, accompagnée des garçons en moto.

Nous descendons des motos et marchons jusqu'au QG. Puis nous déverrouillons la porte pour entrer.

Mon père nous accueils. J'ai d'ailleurs, pour la première fois de ma vie. La veste du gang sur mon dos.

-Fier que cette merveille te va ! Dit mon père.

Je souris en le remerciant.

-Alors pour commencer, dans 2 jours vous irez en mission, tous. Le jet privé sera sur la piste d'atterrissage, vous irez en Guadeloupe récupérer la marchandise de bijoux. Deuxièmement, demain vous devez garder les deux enfants de Marion, la femme de ménage parce qu'elle sera occupée toute la journée pour une mission, et son mari travail, ils n'avaient personne pour les gardez. Son fils il a 2 semaines et sa fille a 4 ans. Je compte sur vous pour s'occuper d'eux. Elle les déposera chez vous à 8 heures et viendra les chercher le lendemain matin à 9 heures, juste avant que vous partez en mission. Puis pour finir, Alisson va passer au stand de tire pour qu'elle se protège du danger. Rafaël tu t'occupes de ses tirs au stand pendant que je leurs explique le plan, nous dit mon père.

-Stand de tire ? Demandais-je complètement stresser.

-Oui, ça sera mieux pour ta sécurité même si les garçons seront avec toi. Vaut mieux que tu arrives à te défendre seule.

-Gardez des gosses ?! Demande Lorenzo complètement choqué.

-Vous avez parfaitement entendu.

Moi je suis choquée que le fait que je vais tirer avec un flingue, mais eux sont choquée sur le fait qu'on va gardez des enfants.

-Allez au boulot ! Dit mon père.

Sous son ordre, nous nous répartissons. Les garçons avec le chef, et moi je marche à coter Rafaël pour allez à ce stand.

Nous descendons des escaliers. Il ouvre une porte, nous faisons entrer. Puis il ferme la porte.

Nous trouvons dans une salle, des cibles avec des cercle comme des fléchettes mais pour les balles de flingue. Un placard avec des flingues, des balles.

-Il ne faut pas que tu stresse. Je t'aiderais.

Bien sûr que si que je stresse !

Du placard vitreux il prend un flingue et des balles. Il se place, à mes côtés.

Il pose le pistolet dans les mains, alors que je suis prête à trembler de peur de toucher à ça.

-Regarde la différence.

Il reprend le flingue, cette fois il le charge et le osé dans les mains, c'est bien plus lourd !

Mon visage de surprise lui fait ressortir un sourire. En ayant toujours le flingue dans mes mains, il m'explique tout. La gâchette, la charge, et j'en passe.

J'écoute tout. Alors qu'au fond je suis en stresse totale.

-Allez tu va te mettre en place pour commencer à tirer.

-Où esque je me place ?

Il souris en essayant de le dissimuler en pinçants ses lèvres, je souris automatiquement. Parce que je suis perdue.

-Je peux ?

J'hoche la tête positivement. Rien que demander mon consentement, ça m'en donne des papillons au ventre.

Il pose ses mains sur mes épaules en le mettant sur le coter. Pose son autre main sur mon genou pour changer de place ma jambe.

Une fois que je suis parfaitement placer, il prend la même position que moi. Son torse est coller à mon dos.

-Vu que c'est la première fois, le premier coup de feu te poussera légèrement en arrière, mais ça ne t'arrivera plus. C'est toujours comme ça la première fois, dit-il en prenant mes bras et les siens en même temps.

Ses mains sont sur les miennes, et nos index sont tout les 2 sur la gâchettes. Nos doigts tiennent tout les 2 l'arme.

-Concentre toi, et dès que tu as la cible. Tu tire, n'hésite pas. Parce que si un jour quelqu'un est armé en face de toi, mais que tu l'es aussi. Ça sera chacun pour sois, il n'hésitera pas à tirer, alors tu ne devra pas hésiter. Ta vie contre la sienne. Pense-y.

Je l'écoute. Je voudrais me dégonfler, mais j'en est pas le choix, et un jour ou l'autre. Je vais devoir le faire.

Alors je me concentre sur la cible. Nos 2 corps sentent sûrement la chaleur et les hormones. Parce que je pense que le fait qu'on sois coller, n'aide rien.

Surtout lorsque je sens son souffle sur mon cou. Je sais qu'il regarde dans le viseurs, avec moi.

-Tire, maintenant.

-C'est un ordre ?

-S'en est un. Allez minimoys, tire.

Parce que en plus il est possessif..

Alors cette fois je tire. L'action me propulse légèrement en arrière, me faisant reculer. Mais ses bras me bloque, heureusement.

De loin nous regardons l'implant de la balle. Juste à coter du centre. Je suis encore un peu choquée, je viens de tirer avec un flingue. Pour la première fois.

-Bravo minimoys, retire une fois sans moi. Et on les rejoins.

Il se sépare de moi. Mon corps redemande le sien, je ressens le froid dans mon dos, alors que c'était tout chaud. Je le re veux. Mais je dois le faire seule.

Alors je lève le flingue. Me concentre. Et tire, sans hésiter. Mon corps recule légèrement, mais déjà moins qu'avant.

Je regarde l'impact. Juste en a coter de l'autre impact.

-Pour une première fois, tu t'en sors très bien minimoys, allez viens on va voir ce qu'il se passe en haut.

-Et le flingue ?

-Garde le sur toi. C'est le tiens maintenant, dit-il en me faisant un clin d'œil.

Tout à coup je bug. Un flingue ? À moi ? Sur moi ? Un flingue qui m'appartient et qui sera sur moi ?

Quand je vois qu'il sort de la pièce, je me dépêche de mettre ce foutu flingue dans la poche de mon jean.

Je le rejoins rapidement. Nous montons les escaliers pour sortir du sous-sol. Puis arriver dans la propriété, nous montons encore des escaliers.

On marches jusqu'à une porte. Toutes les portes de cette propriété m'intrigue.

Rafaël ouvre la porte, me faisant passer puis lorsque nous sommes a l'intérieur il ferme la porte.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant