Chapitre 71 :

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Point de vue de Rafaël :

Cela fait 2 heures que nous avons pas vu Alisson, elle nous a dit qu'on pouvaient intervenir dans sa chambre si le délais donnée était dépassé.

Je m'en veux tellement, jamais je n'aurais voulu lui cacher ça. Mais comme elle a dit, le problème c'est pas qu'elle a su la vérité sur le métier au quel on travail tout les 7. Le problème, c'est de lui avoir encore menti.. et son père ne nous aurait obligés à garder le silence, elle ne serait pas dans cette état.

Avant qu'elle ne parte dans sa chambre, ses yeux ne me décrivez absolument pas la haine. Mais la triste et la trahison qu'elle a ressenti à ce moment.

Je pourrais tout faire pour qu'elle retrouve le sourire, pour qu'elle rigole, pour tout, sauf les larmes.

Les 2 heures qui ont suivis après ça, était du silence, du regret. J'ai jamais était d'accord pour qu'on garde le secret, du moment où elle nous a offert notre deuxième chance, les mensonges étaient interdits, mais les autres gars en ont décidés autrement. Et puisque il y avait plus de mains lever pour garder le secret, alors j'ai du le faire.

Je le jure maintenant, devant mon dieu, devant Jésus, que plus jamais je ne mentirais à Alisson, même si on me l'ordonne. Même si je désobéirai à mon patron, au moins, Alisson n'aura aucun mensonge.

-Ça fait 2 heures, je vais monter, annonçais-je en coupant le silence.

Les garçons décident de venir avec moi. Alors en silence, nous montons les escaliers, jusqu'à la porte de sa chambre.

Nous toquons à la porte, étant donner qu'elle nous avait prévenu qu'on pouvaient entrer si le délais était dépassée. Alors je baisse la poignée de sa porte, et nous entrons tous.

Elle n'est pas dans sa chambre. C'est vide, et il fait froid. Mon cœur bat anormalement.

-Je vous en supplie.. ne me dites pas que c'est ce que je pense.. chuchotais-je.

-Je ne sais pas.. mais les gars. Regardez les murs.. intervient Sergio.

Il y a des traces de sang, les traces de ses mains. Sur les murs, et sur son bureau. Bordel de merde !

Son grand frère s'approche de son bureau. Et il prononce :

-Une lame..

Je m'en veux beaucoup.. j'aurais du désobéir au ordres. Elle c'est causée du mal à cause de nous..

Ma gorge se serre petit à petit.

-Et il y a.. un journal intime et des lettres, annonce Maël.

On se réunit tous devant le bout de son lit. Où est déposée, 6 lettres au total et un journal intime. Avec une feuille, avec marquée « OUVREZ D'ABORD LA LETTRE DU GROUPE ».
« The Fears »
« Papa »
« Lorenzo »
« Rafaël »
« Sergio »
« Maël »
« Noah »

J'ai peur, de ce que contient ses lettres. On récupère d'abord nos lettres individuelles qu'on met chacun dans nos poches.

Puis je prend le journal intime entre mes mains en le gardant fermer pendant que Tony ouvre la lettre du groupe. Nous sommes tous autour de cette lettre pour la lire.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant