Chapitre 118 :

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Il ferme la porte, ne retrouvons plus que Rafaël, Moi et le médecin.

-Nous commençons par qui ? Demande Don Angelo.

-Par Alisson, murmure Rafaël.

-T'es blessures sont plus importantes, répondais-je.

-Et toi tu portes nos enfants.

Le médecin s'approche de moi, s'asseyant sur le bord du lit au quel je suis allongée. Je l'avais déjà vu quelques fois auparavant quand les garçons se blesser, il intervenait. Et il s'était déjà occupé de moi quand j'étais en crise.

-Esque les zone de ton t-shirt et de ton short on étaient touchés ? Demande le médecin.

-Non, que celle qui sont voyantes.

Il inspecte chacune de mes blessures avec précision, et lorsque il en touche certaine. Je ne peux m'empêcher de mordre ma lèvre ou laisser un soupire de douleurs m'échapper.

Les doigts de Rafaël qui s'emmêlent au miens m'apaisent.

-Il n'y a pas d'infection. Elles sont toutes profondes, je vais devoir te recoudre tout, sauf les griffures sur ton visages, ça se refermera seul avec ta crème en moins de 5 jours.

Il prend plusieurs coton qu'il imbibe d'alcool.

-Ça te fait en tout 26 blessures, toutes aussi profondes que les autres. Mais tu n'aura aucune cicatrice.

Ouf, c'est ce dont j'avais peur.

-Je vais poser les cotons imbibés sur tes blessures pendant que je m'occuperai de Rafe.

Le temps que ça nous soigne, je suis d'accord.

Les cotons bien imbibés d'alcool brûle ma chair ouverte, me forçant à resserrer ma main dans celle de mon conjoint.

Une fois que les 26 blessures sont recouvertes de coton, il s'occupe de Rafaël.

Rafaël ne bouge pas d'un poil lorsque le médecin appuie délicatement sur ses blessures en les inspectant toutes.

Il annonça, 22 blessures au total. Elles aussi sont profondes mais il n'y aura pas de cicatrice

Alors pendant une bonne dizaine de minutes il nous a soigner, désinfecter et recousu.

-Vous voilà comme neuf ! Mais avant de partir je dois vous faire passer des examens.

Alors il nous a fait tout les examens, cardiaque, tension, oxygène et j'en passe. D'après ce qu'il dit, mon rythme cardiaque est augmenter.

Alors il nous a donner des médicament, pour atténuer la douleur, et une dose en plus pour moi, pour calmer les pulsions de mon cœur.

-Cette fois, c'est bon. Je vous libère !

On le remercie, je me sens déjà mieux, mais fatiguée.

Je crois que nous avons besoin d'une bonne douche. On prends nos médicaments pendant que le médecin est partis donner des nouvelles à nos proches.

-Ils vont être shooter au médicaments, surtout Alisson j'ai du lui mettre une dose plus forte à cause de son cœur qui battez trop fort. Ils ont une chance, parce que malgré que Alisson est 26 blessures et que Rafe en a 22 au total, elles sont toutes profondes mais il n'y aura aucune cicatrice. Si il y a un problème, appelez moi.

Pendant leurs discussions nous avons réussis à nous faufiler discrètement sans que personne ne nous aperçoit pour monter à l'étage et rapidement ce laver. Parce que je ne supporte pas le sang sur moi.

Une fois arrivée dans la chambre, nous entrons directement dans la salle de bain.

Sans perdre une seconde, nous retirons nos vêtement remplis de nos sang. Et directement nous nous glissons sous l'eau qui coule sur nous.

Tout le sang sécher, coule grâce à l'eau. Je me sens déjà mieux.

-Comment tu te sens, mi amor ?

-Je vais bien, et toi, mio cuore ?

-Je vais bien, et comment les bébés vont ? Murmure-t-il dans mon dos en plaçant ses mains sur mon ventre.

-Très bien aussi apparement, rigolais-je.

Il me tourne, afin de me trouver face à lui. Mes bras s'enroulent autour de lui, l'un de ses mains se pose dans mon dos et son autre main sur mon crâne, me plaquant contre son cœur.

La mélodie si douce de son corps est adorable.

Lorsque il dépose ses lèvres à la naissance de mes cheveux trempés, je ferme les yeux en profitant de ce moment.

Relevant la tête vers lui, il vient déposer ses lèvres sur les miennes pendant que l'eau coule à flot sur nous.

Puis nous reprenons notre douche paisiblement. Puis une fois laver, nous sortons de la douche, enfin propre.

J'enfile mon pyjama, qui consiste un petit short et un grand t-shirt de Rafaël. Et Rafaël a comme d'habitude, qu'un short.

On se brosse les dents et coiffe nos cheveux humides. Puis j'étale la crème sur ses blessures. Une fois terminé, je remonte en déposant un baiser sur sa cuisse.

Mon action lui a provoquer un sourire. Puis je termine d'étaler la crème sur son visage. À part son corps, il a une entaille dans le cou, sur la tempe, la lèvre et la mâchoire.

Puis à mon tour, lorsque j'ai terminer de lui appliquer la crème. Il me porte afin de me déposer sur le lavabo pour m'appliquer la crème sur mes blessures.

À son tour il décide de jouer avec une tension en déposant ses lèvres le long de mes jambes, m'arrachant un léger soupire. Lorsque il a terminé d'appliquer la crème sur mon corps, il soulève légèrement mon haut afin d'embrasser mon ventre 2 fois, pour nos 2 enfants.

Puis pour terminer il étale la crème sur mon visage en profitant pour déposer des lèvres sur mon nez.

Mon cou a une légère entaille, ma joue est griffer 3 fois, ma mâchoire a un bleu, et ma tempe est légèrement ouverte ainsi que ma lèvre.

À présent nous sommes mieux, et soigner. Il prend mes cuisses afin de me remettre à terre. Nous pouvons redescendre.

On descends les escaliers, rejoignant nos proches dans le canapé.

Je suis super fatiguée. J'ai juste envie de dormir.

-Vous allez mieux ? Demanda timidement ma mère.

-Toujours vivants, confirma Rafaël.

Le médicament à bien fait effet car je n'ai pas très mal.

-Demain, un ami viendra réparé ton téléphone, ajoute Sergio.

Je lève mon pouce en l'air comme réponse.

-La seule avec des chaussettes, murmure Keegan complètement désespérer.

-Ce cousin est décidément né pour me faire chier, marmonnais-je.

-Dit-elle alors qu'elle est la seule à porter des chaussettes pour dormir, répond Keegan.

Discrètement je prend la bouteille d'eau à ma disposition et lui jette sans attendre.

-Dans ta gueule, trou du cul.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant