The Fears

Chapitre 115 :

Il ouvre la baie vitrée, puis nous entrons à l'intérieur. Directement je me dirige dans la salle de recharge.

-Alisson et Moi on va partir. Quelqu'un peut déplacer le connard dans la chambre froide ? Dit mon fiancé.

-Ouais, vous allez où ? Demanda Sergio.

-Au cimetière, elle a besoin de revoir son grand-père.

-Tu l'accompagne ? Demande mon frère.

-Elle m'a proposée de l'accompagner.

-Elle tient beaucoup à toi, et tu comptes beaucoup pour elle. Habituellement elle refuse tout le monde, elle veut jamais personne à ses côtés. Même quand elle était petite elle nous obliger à la laisser y aller seule jusqu'à très tard le soir sans personne, et c'est son frère qui aller la récupérer par obligation. Parce que il faisais trop nuit et la laisser seule comme ça, n'étais pas prudent. Elle pleurait mais en la séparant dans la tombe ça empirer toujours, elle croyait qu'elle allait l'abandonner pour toujours, alors que non. C'est comme si elle laisser une partie d'elle auprès de lui puis qu'elle le récupérer par obligation. Elle était très proche de son papy. Elle nous a jamais proposé de l'accompagner, mais je suis très heureuse que tu soit le premier à qui elle demande de l'accompagner.

Malgré la distance, du fait que je sois dans la salle de recharge, et que soient dans le salon. J'entends tout. J'avoue, que ce me touche.

Je prends les nouvelles balles pour mon flingue dans ma main. Puis je ferme la porte à clés derrière moi. C'est verrouillé pour éviter que n'importe qui n'entre à l'intérieur.

En marchant pour les rejoindre dans le salon, je ne place les recharges dans mon flingue. Le click résonne jusqu'à mes oreilles me prévenant que tout est bon.

-Tu as une raison particulière de vouloir le foutre dans la chambre froide, même si ça m'arrange, me demande Lorenzo.

-Il aura froid, et il ressentira encore mieux les blessures que je vais lui provoquer. Malheureusement pour lui, je vais être bien plus monstrueuse que lui. Vous regarderez les vidéos de surveillance si vous voulez.

Je range mon flingue dans ma poche.

-On va y aller, on fera vite, les préviens-je.

On leurs dit au revoir, puis nous allons dans le garage. On met nos casques, puis il enjambe sa moto et démarre sa moto pendant que je monte derrière lui. Collant mon corps au sien, entourant mes bras autour de son torse.

Puis directement il démarre sa moto, nous faisons sortir de la maison.

❃𓆉❃

Nous nous arrêtons devant un magasin pour fleur, sous ma demande. À chaque fois que je vais le voir, je prends des fleurs avec moi.

Lorsque nous ouvrons la porte du magasin, la petite cloche au dessus préviens notre venus. Une femme âgées nous dit bonsoir et nous faisons de même.

Ma main est toujours enlacée dans la sienne. Nous regardons les fleurs.

Après longue recherche. Je prends le bouquet de fleurs qui est remplis de tournesol dans mes mains. C'est elles que nous choisissons, ensembles.

-Elles sont belles elles ! Dis-je en pointant mon doigt vers un bouquet.

-Je suis d'accord avec toi, dit-il.

Ce sont de magnifiques Rose, rouge, d'un mate magnifique.

Nous passons à la caisse, toujours ma main dans la sienne. La vieille femme nous fait un grands sourire, elle es chou.

-Vous faites un beau couple, dit-elle en nous encaissant.