The Fears

Chapitre 15 :

Je me cajole dans ses bras. Par surprise il se tend. Mais fini par enrouler ces bras autour de moi.

-Ma mère était tactile avec moi. Elle me câlinait toujours. Elle faisais toujours à manger avec moi, et les pâtisseries ce finissait toujours en bataille de farine entre elle et moi. Elle adorait me remplir de bisous. J'avais les même yeux qu'elle. Elle a toujours était fière de moi. Elle était toujours dans la bonne humeur même si ça parfois elle n'allait pas bien. Elle m'admirait toujours. Elle a toujours tout fait pour moi.. en grandissant j'ai voulu allez voir ma mère. Sauf que mon connard de père avait penser à tout. Il l'avait brûlée et jeter à l'eau pour que je n'aille pas à sa tombe et lui parler. Alors je n'ai jamais pu lui reparler.

Il me parle pendant qu'on regarde les étoiles.

-Je me suis éloigné de mon père. Je voulais le tuer pour venger ma mère, mais mon chef m'a dit de mettre mon géniteur en prison. Alors c'est ce qu'on a fait. Il se fait torturer plusieurs fois par mois pour ce qu'il a fait. J'espèrerais toujours que ma mère rentrerais à la maison. Mais ce jour n'est jamais arrivé.

Il prend une grande inspiration en gardant une pose.

-Ne m'en veut pas si je ne sais pas m'y prendre en relation.. je vais sûrement merdé.

-Je t'attendrais le temps qu'il faudra, mais tu c'est que dans une relation des disputes éclaterons. Mais on reviendra toujours vers l'autre, même si ça doit durer 1 jours, ou 1 semaine.

Son pouce caresse la cuisse nu par mon short. Mon cœur chauffe.

-Pourquoi esque vous avez tous une veste avec écrit dans le dos « The Fears » avec 2 flingues qui se croisent ?

-C'est notre gang. C'est pour ce reconnaître entre gang. Mais la je ne l'ai pas pris, je l'ai laisser dans mon armoire, j'ai pris un gilet noir.

-Et. Donc.. tu..

-Je ?

-Tu serais prêt à entrer dans une relation sérieuse avec moi ?..

-Esque je fais le connard de te laisse te disputer avec ton cerveau ou esque je te répond sincèrement ?

-Répond moi ! Dis-je en rigolant.

Il rigole avant de prononcer :

-Du sérieux, Alisson.

-Avoue que tu me kiffais déjà de plus longtemps.

-Avouée quoi ? Dit-il en rigolant.

-Tu m'a très bien entendu !

-J'avoue que quand ton frère me parler de toi tu m'intéressé mais je t'ai vu je me suis dit « mais c'est qui cette pauvre petite blonde ?».

-T'es sérieux là ?! Dis-je en me retournant pendant qu'il éclate de rire.

-Bien sûr non j'suis pas sérieux, je t'ai trouver canon quand j'tai vu la première fois.

-Pourtant on aurait dit que tu était le mec le plus aigris.

-Parfois il ne fait pas montrer ces émotions.

Je sourie pendant qu'il se pince les lèvres pour éviter de rigoler.

Je commence à refroidir à cause léger courant d'air. Il le remarque. Et tout à coup il me présente son gilet noir.

-Prend le.

-Mais tu va avoir froid.

-J'ai presque jamais froid, je te l'assure.

Je décide de prendre sa veste et de l'enfiler, même si elle m'a 2 fois plus grandes.

Et ça fait bizarre de dire qu'on est un.. couple.

Ça fait 1 mois qu'on se connaît, mais je ressens que mon âme a besoin de la sienne. Lui avait déjà entendu parler de moi de mon frère. Moi non. Mais maintenant je le connais.

-Tu va en parler au garçon ?

-Oui, quand je ne sais pas. Mais ils finiront par le savoir. Parce que on finit par deviner ce qui se passe dans nos têtes. Et toi ?

-Je leurs en parlerai sûrement.

Alors en discutant on regardes les étoiles.

❃𓆉❃

Il est 2h04. On vient d'atterrir devant chez moi.

-Tu va en cours demain ?

-Oui. Je viendrais te chercher. À quelle heure tu commences ?

-9h30 et toi ?

-Moi aussi. À demain mi amorcito.

Ses lèvres ce plaquent au miennes. C'est doux comme bisous.

-A demain mio oscuro.

Je rentre chez moi par la fenêtre de ma chambre en grimpant.

Une fois dans ma chambre je me déshabille pour le remettre en pyjama. Je dépose sa veste sur la chaise de mon bureau.

Je me place au dessus de mes draps et dépose une légère couverture au dessus.

Rapidement je trouve le sommeil. Avoir parler. Ecouter et regarder m'ont apaiser.

Je peux maintenant dormir paisiblement.

❃𓆉❃

Je me réveille à cause de mon téléphone qui me donne le réveil. Je maronne en l'éteignant.

Je me frotte les yeux et finit par me lever. J'entre dans ma salle de bain. Je me déshabille et entre dans la douche.

Une fois laver je me sèche. Je met un short noir et un top blanc. Cette fois je me fais un plaquage au cheveux. Une queue de cheval mi-haute.

Je met mon mascara et mon gloss. Je me parfume, et toujours les mêmes bijoux qui m'accompagnent. Puis j'enfile mes chaussures.

J'ouvre le fenêtre de ma chambre. Je fait les draps de mon lits. Je range vite fait ma chambre. Puis j'enfile mon sac en mettant mes cours dedans.

Rapidement je me rend compte qu'il fait frais, alors j'en profite pour enfiler le gilet de Rafaël. En plus elle sent son parfum.

Une fois prête je met mon sac sur mon dos et je prend mon téléphone.

Je descends les escaliers lorsque Rafaël me préviens qu'il est là. Je ne veux pas déjeuner alors je dévale les escaliers.

J'avoue que je ne sais même pas si il y avait ma mère et mon beau-père à la maison. Parce que je suis directement partie sans aucun regard.

Il m'attend à quelque maison d'ici, comme hier soir. mon téléphone sonne. C'est le groupe de discussion de mon groupe d'amis.

[On ce rejoint tous au même endroit ? Comme dab ?]

[Oui !]

[Moi non, je me fait emmener.]

Je range mon téléphone dans ma poche, puis j'arrive au côté de Rafaël. Il s'est levé pour m'accueillir. Mes bras s'enveloppe autour de son cou. Surpris par le contact il met quelques secondes à répondre au contact, ces bras autour de ma taille.

-Ta remis ma veste, dit-il un sourire de fierté.

-Quoi ? Ta veste ? Je crois que tu t'est trompé ! Tu as vu comme "ma" veste est belle !

Il sourit en déposant le casque de moto sur ma tête. Il l'accroche. Puis on montes sur sa moto.

Je m'accroche à lui et on roules sur la route.