Chapitre 53 :

393 8 0
                                    

❃𓆉❃

Je ne sais pas combien de temps ça fait que je suis ici. Mais j'ai fini par déposer ma tempe sur sa tombe de Pierre murale avec les inscriptions dessus.

Je regarde en boucle dans ma mains, les photos de mon papy. Ainsi que celle de moi et mon papy ensembles. De ma naissance jusqu'à ce qu'il nous quittes.

Quand j'ai rapidement regarder le ciel, j'ai vu qu'il faisais nuit. Mon téléphone sonner, alors j'ai fini par l'éteindre.

Je reçois une goutte d'eau sur mon nez en trompette, mais sans m'y attendre. L'eau commence à empirer. Il pleut beaucoup à présent.

Je tremble parce que j'ai besoin de sentir mon grand-père. Je ne tremble pas de froid à cause de mon simple t-shirt manche longue.

Je n'ai pas arrêter de pleurer. Au contraire, ça ne fait que empirer. Je n'arrive même plus à parler, et respirer c'est exceptionnel.

Une chance que les photos soient imperméable.

Être assise sur les graviers m'a endormie tout le bas de mon corps. Mais ce n'est pas grave, au moins je suis au coter de mon grand-père.

Mes cheveux détachés sont trempés. Au final, je suis complètement trempée. J'en suis bouleversée.

C'est difficile. Beaucoup trop difficile pour moi..

Au long de cette journée, j'ai fini par lui parler du monde. Tout ce qui ce passer dedans. Mais que le positif.

-Je t'aime papy.

C'est incroyable que je puisse sortir des mots de ma bouche..

-Tu.. avait était ma figure paternel.. pendant de longue année.. pourquoi c'était à toi de partir ?..

Son visage est imprimer dans ma mémoire. La dernière fois que je l'ai sentie.. c'est quand..

J'ai embrasser son froid glacial dans son cercueil..

Mes pleures s'accumulent. Mes membres trembles. La pluie est forte.

Je ne sais pas combien de temps s'écoule, mais beaucoup. Je dirais 1 bonne heure. J'ai dû passer déjà 7 heures au total avec mon papy.

Des pas sur les cailloux et des flashs de téléphones attirent mon attention. 5 garçons que je reconnais automatiquement, le gang. Parce que ils sont juste devant moi à présent.

-Alisson, ça fait 8 heures que t'es partie, on a essayer de te joindre à plusieurs reprise mais tu répondais pas, alors on a décider de venir. Tu doit le laisser, tu pourra revenir, dit mon grand frère.

Je secoue négativement la tête, je ne peux pas partir et je ne veux pas partir..

-Je.. je ne veux pas.. le laisser seul.. chuchotais-je.

-Il n'est pas seul. Et tu sais pourquoi ? Parce il sais que tu reviendra, même si ce n'est qu'une fois dans l'année. Ton papy veille sur toi, Alisson, dit mon copain.

Une main ce pose sur ma joue.

-Elle est congelée, annonce Sergio.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant