The Fears

Chapitre 68 :

❃𓆉❃

Point de vue de Rafaël :

Je me réveille, après avoir passer une merveilleuse nuit au côté de la femme que j'aime. Et le round de sexe que nous avons eu ensembles. Lui avoir annoncé mes sentiments, à était un très très grand pas pour moi.

Parce que je le dernier « je t'aime », à était pour ma mère et ma petite sœur avant je n'aille à l'école. Avant le drame.

Mais mon beau sommeil profond, ce fait retirer lorsque, des gros coups dans ma porte retentit.

Je dépose ma copine qui est allongé sur moi, pour la placer sur le matelas. Soulé, je me lève alors que je suis encore endormi.

J'ouvre la porte. En étant face à mon chef. Moi, je suis en simple jogging. Ce qui est mon pyjama. Et les yeux à moitié ouvert. Alors que lui il est déjà prêt et bien réveillé.

-Rafe ! J'ai reçu ton message sur le fait que le gang des « Borbos » arrivent. Mais on étaient en retard, et si on allaient au QG on auraient tous étaient en retard. Donc je leurs est de venir ici, et ils sont là ! Ils sont dans le salon. Bordel. Et tu n'est même pas prêt !

Je comprends pas vraiment où il veut en venir. Mais en tout cas, j'ai compris que le gang alliés était là. Dans la maison. Sans que je n'ai le temps de réagir, sa main se pose dans ma nuque pour m'inciter à avancer.

Plus vite c'est fini, plus vite je retournerai dormir !

On descends les escaliers, j'ai faillit tombé ! Bordel, j'aimerai me rendormir là !

Nous nous retrouvons, dans la salle à manger. Il y a les gars du gang, et les gars de l'autre gang. Nous sommes environ 12 dans la pièce.

On ce dit bonjour, tous. Puis je me trouve devant les papiers que je dois signer puisque je suis le bras droit de Tony, et Tony doit signer car c'est le chef. Pour affirmer la marchandise.

Je signe les papiers. Puis j'écoute un peu les conversations, avant d'aller me rendormir.

-Aïe ! Dit une voix que je reconnais trop bien.

Elle ne dort plus ? Je décide alors de partir en direction que sa voix en m'éloignant de la salle à manger.

J'explose de rire quand j'aperçois Alisson, assise par terre, face à un mur. Tout en se frottant le front.

-S'il te plaît, ne me dit pas que tu vient de te prendre le mur ?

-Si. En pleine face..

Bordel.. quesqu'elle sexy ! Son chignon haut décoiffer et mon long t-shirt manche longue qui lui arrive à la moitié des cuisses. C'est fait pour me mettre à genoux, rien que pour elle.

-Tu n'arrives plus à marcher ? Rigolais-je.

-Après hier soir, non. Je marche bancale.

-Ah mais sérieusement ?! Éclatais-je de rire.

-Mais oui sérieusement ! Dit-elle en pinçant des lèvres pour ne pas rigoler.

Pour la relever. Je place mes mains sous ses aisselles.

-Tu veut un conseil ?

Elle me regarde en attendant la suite.

-Évite de croiser du monde. Parce que..

-Parce que ?

-Je t'ai fait, beaucoup de marque dans le cou. Même si je pense qu'il n'y en a pas que dans ton cou..

-Ce n'est pas la première fois que les garçons me voient avec des suçons. Et toi tu veut un conseil ?

Alors, à mon tour j'attend la suite.

-Tu devrait mettre un t-shirt pour cacher les traces de griffures sur tes épaules et ton dos.

-Trop tard. Ils m'ont déjà vus.

Je met la minimoys sur mon épaule, comme un sac à patate. Je ne la sens même pas.

-J'ai la tête à l'envers Rafaël !

-Oups. Tu devra attendre jusqu'à ce que je te dépose !

Je rigole pendant qu'elle tape dans mon dos pour se délivrer. Mais ça ne marchera certainement pas.

-Tu veut un truc à manger ou boire ?

-Oui. Du jus de pomme, s'il te plaît. Et dépose moi !

-À votre ordre, señora.

Alors, je la dépose sur le canapé. J'entre dans la cuisine pour lui prendre son verre de jus de pomme.

Puis je reviens dans le salon avec son verre. Je m'installe sur le canapé, juste derrière elle. Son dos est sur mon torse, mes bras l'entoure et jambes l'encadrent.

-Merci, mio cuore ! (=mon cœur)

Wow.. un surnom. Mio cuore. Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais en tout cas, c'est italien.

-Derien, mi amor.

Pendant qu'elle boit son verre de jus de pomme, je regarde la télé.

Elle fait une petite pause avant de re boire, mais avant qu'elle ne le porte à ses lèvres. Je dépose mes lèvres sur le verre pour boire aussi.

-Mais ! Dit-elle.

Je sourie en lui rendant le verre, qu'elle termine de boire.

Je prend délicatement son poignet, en regardant le bijou familial que je lui es offert hier. Il lui va à merveille.

-Imaginons dans quelque mois, ou année, on décide d'avoir des enfants. Et le jour où je tomberai enceinte de toi. Tu réagirais comment ?

J'avoue que je ne m'attendais absolument pas à une question comme ça.

-Sincèrement. Je serais très heureux, avoir des enfants c'est comme une réussite. Une fierté d'avoir construit quelque chose à 2, qu'on garde à vie. Et toi ?

-C'est exactement pareille. Je serais sûrement très heureuse.

Les pas derrière nous, m'affirme que les garçons vont venir s'asseoir.

-Vous venez de vous réveillés ? Nous taquine Lorenzo.

-Tu me rendras mon chargeur, hein cabrón ?

Alisson me donne un coup de coude dans la côte. Et rien que pour l'emmerder, je simule en tenant ma côte. Mais son regard noir face à ma simulation me fait exploser de rire.

Les garçons s'assoient, sur le canapé. Ils sont tous éparpillés. Ils nous disent que le gang alliés est partis.

-Je veux, que après manger. Vous allez tous vous entraîner, vous allez rester groupés tous ensembles, premièrement dans la salle de sport. Puis au tir, sauf Alisson. Et tout le monde en entraînement de course de voiture, dit le chef.

On hoche tous la tête positivement. Aujourd'hui, c'est séance entraînement !

Puis pendant que nous discutons tout les 7. Je regarde ma copine qui a son dos contre mon torse, avec une tel attention que je pourrais en choquer plus d'un.

Je dépose un baiser dans ses cheveux. Je regarde ses magnifiques cheveux blonds, puis j'enroule son unique mèche de cheveux blond polaire autour de mon index. Nous sommes réellement fait l'un pour l'autre.

Car. Elle es le jour, et je suis la nuit. Elle es le soleil, et je suis la lune. Elle es la lumière, et je suis le sombre. Elle es le dorée, et je suis l'argenté. Elle es ma moitié, et je suis sa moitié.