Chapitre 140 :

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❃𓆉❃

On vient d'arriver à la maternité, on nous installes dans une salle d'examen. C'est une maternité privé.

Je connais déjà l'équipe car on avait déjà plusieurs rendez-vous avec eux sur la grossesse pour l'accouchement.

Sur la route j'ai eu quelques contractions, mais pour l'instant tout va bien, je les gère.

Les 2 sages femmes qui s'occuperont de moi s'appellent Fanny et Laure.

-Dites nous ce qui vous emmènes ? Me demande Laure.

Nous entrons dans la pièce.

-J'ai des contractions d'une trentaine de secondes toutes les 8 minutes. Et j'ai perdu les eaux, répondais-je.

-Oh oui je vois, si vous n'accoucher pas ce soir, ça sera demain, me répond Laure.

-Retirez vos vêtements, vos bracelet d'hôpital son sur les tenus, vous avez 2 tenus, monsieur retire juste son t-shirt et met la tenu, et madame vous ne devez rien n'avoir. Juste la tenue, puis vous vous allongerai, on va vérifiez votre col. Puis on fera un monitoring pour voir vos contractions et les battements de cœurs des bébés, dit Fanny.

-En attendant que vous vous changez, nous sortirons de la pièce pour validez votre dossier à l'accueil, me prévient Laure.

Nous les remercions. Puis elles sortent de la pièce. Je retire entièrement les vêtements avec l'aide de Rafaël, puis j'enfile leur blouse qui nous ont donné. Rafaël retire son t-shirt et enfile la blouse bleu, j'éclate en fou rire.

-Non désolée mais c'est vraiment trop drôle de te voir dans cette tenue !

Alors que je me taper un fou rire pendant que Rafaël dévisager en évitant de rigoler, une contraction coupe net mon fou rire.

-Ta vue ? Le karma.

-T'es vraiment pas crédible je te le jure, éclatais-je encore de rire malgré la contraction.

Un léger sourire se dessine sur ses lèvres qu'il tente de dissimuler en pinçant ses lèvres.

-Une bonne ambiance ici, rigola Fanny en voyant mon fou rire.

Doucement je me calme. Puis la sage femme s'installe à mes côtés, plaçant un fin draps blanc sur mes cuisses afin de cacher le bas de mon corps. Elle remonte la blouse jusqu'au haut de mon ventre pour y avoir accès, elle y dépose 2 sangles pour le monitoring. Et directement on entends les cœurs des bébés.

Je regarde chaque geste qu'elle fait. Elle prends délicatement mon poignet droit en insérant une aiguille, et plaçant un pansement transparents dessus pour que l'aiguille tien seul.

Puis elle pose des patch sur mon torse.

-Je vais vous examiner pour voir où on est votre col, dit-elle.

J'hoche la tête, Rafaël est à mes côtés. Laissant faire la femme faire son travail.

Sa main passe sous le draps de mes jambes, m'examinant.

-Votre col est ouvert à 2. Pour aller en salle de naissance il faut être à 3. Le temps de votre col s'ouvre ça mettra environ 1 heures. Je vois sur le monitoring que vos contractions sont bien régulières, je reviens dans 1 heures. Appuyez sur le bouton rouge si besoin de nous.

Je la remercie de ses informations puis elle sort de la salle.

-Bon bah on va attendre ici 1 heures ! Dit-il en s'asseyant sur le lit à mes côtés.

J'écoute les battements de cœur de nos bébés, j'aime trop.

-Tu veut que je te raconte quelque chose ?

-Dit moi ? Répondais-je.

-J'étais avec ton frère et Sergio, j'avais 17 ans, ton frère 16, et Sergio en avait 18. Ce jour là, il faisais nuit et on marcher ensembles tout les 3. Et on étaient tombée dans la bousse de vache. Imagine juste l'odeur, beurk ! On étaient prêts à vomir à cause de l'odeur sur nous. On a marcher jusqu'à la maison et on a dû appelés ton père à 3 heures du matin, il nous a interdit d'entrée à la maison, il nous a tous laver avec du Karcher puis après on a enfin pu rentrer à la maison. On a du se laver presque toutes la nuit pour être sûr qu'il n'y avait plus aucune odeur de merde de vache sur nous..

À nouveau je me tape un fou rire, j'imagine tellement leurs visages dégoûter et qu'ils soient remplis de la tête au pieds de merde. C'est hilarant.

Mon rire lui est transmis, il finit par éclater de rire dû à ses souvenirs.

-Mais comment vous avez pu tomber dans ça ? Éclatais-je de rire.

-Il faisait nuit, de base on marchait sur la route, et on a cru que c'était du béton, une route quoi. Et la nuit n'arrêtait rien, il faisais noir complets. On est tomber en plein dedans, pour le coup, on peut bien dire qu'on étaient dans la merde.

Je sers mes mains d'éventail à cause de la chaleur et pour calmer mon fou rire.

-Continue je t'en supplie. C'est hilarant !

-Encore une fois, j'étais avec les 2 imbéciles. On étaient allez en boîte, et ce jour là on s'était déchirés à un point inimaginable.. on faisais vraiment bordel. Ton père savait qu'on étaient en boîte. On étaient tellement bourrés ce soir là qu'on ne savait même pas qui nous appelez, il a fini par débarquer. Il a même fini par filmer ce qu'on faisait..

-Vous faisiez quoi ? Dis-je dans un autre fou rire.

-Sergio s'embrouiller contre un mur parce qu'il couper sa route. Ton frère était entrain de baiser avec une fille autant défoncée que nous, juste à coter de nous, on étaient tellement déchirés qu'on savait même pas de ce qu'on faisait. Heureusement ton père était venus. Et moi pendant ce temps j'étais entrain de faire des acrobaties super bizarre. Il était 4 heures du matin. Après la vidéo, ton père nous a fait décuvés et nous a défoncé en nous montrant la vidéo. Ton père en a vraiment baver avec nous.

-Mais non ! Je t'en supplie montre moi la vidéo, ça va être encore plus hilarant !

Nous rigolons ensembles, les anecdotes sont vraiment mémorables. Rafaël cherche dans la discussion avec mon père en accédant au photos, puis une fois la vidéo trouvé, il me la montre.

-Oh putain Toto, ta vue ça ! J'ai réussi là.. à bah je sais pas comment on appelles ça ! Mhh, ta acheter des lunettes ou quoi ? Dit Rafaël.

On le voit faire une figure bizarre qu'il a sûrement inventer en disant ça, puis son visage se rapproche du flash du téléphone, faisant un gros plan sur et ses yeux. Il fixe mon père, cherchant des lunettes inexistantes.

-Bordel ça me brûle les yeux ! Hurle-t-il.

-Ta mère la pute ! Dégage de mon chemin ! Tu comprends pas quoi ton hein ?! Hurle Sergio contre le mur.

Je me tape un fou rire lorsque je vois Sergio faire un tête à tête avec le mur.

Juste à coter on voit mon frère et une brune faire leurs affaires contre le mur, entrain de se dévorer mutuellement.

Puis Sergio lâche le mur en courant vers le flash de la caméra, sa course se fait vite arrêter car il tombe. Il s'étale au sol plus tôt.

-Rafe ! Ta vu bah je suis tombé, dit Sergio.

-Je dois faire quoi de cette information ? Regarde moi je fais des figures hyper bien, personne ne fait mieux que moi !

Cette fois c'est Rafaël qui s'étale au sol à coter de Sergio. Puis quelque seconde après, Lorenzo apparaît, sa braguette ouverte et cours, mais se prend vite les pieds sur le corps de Sergio et Rafaël.

-Putain ! Hurle Lorenzo.

Les garçons finissent par se relever et parler de choses complètement aléatoire et qui ont rien à voir.

Puis la vidéo ce coupe. On se tape un fou rire devant la vidéo, c'était vraiment du n'importe quoi !

Je confirme qu'ils étaient belles et bien déchirés. Très même.

Malgré les gros fou rire que je me tape, j'ai dû faire une petite pause à cause d'une contraction.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant