The Fears

Chapitre 96 :

Je pars en courant de la salle de bain, descends les escaliers. Poursuivis par Rafaël.

-Alisson !

-Rafaël ! Répondis-je en rigolant.

Courant de partout dans la maison, j'ouvre rapidement la baie vitrée pour accéder au jardin. Il aura encore moins de chance de m'attraper.

Un fort sifflement de la part de Rafaël retentit, et d'un coup Lorenzo et Sergio se lève courant vers moi. Ok, ils vont me bloquer.

Quand ils rapprochent à vite allure, il faut que je trouve une solution.

Alors que je recule d'un pas. Je sens le corps de Rafaël juste derrière le miens.

-Attention où tu marche, mi amor.

Je me retourne, face à lui. N'ayant pas le temps de réagir, Lorenzo et Sergio ont attrapés mes bras pour ne pas que prenne la fuite.

Quand Rafaël prend mes poignets pour avoir accès à ses bagues. J'envoie mes coudes dans le ventre de mon frère de sang et de mon frère de cœur pour prendre à nouveau la fuite.

Je cours, encore. Je ne lâcherais pas jusqu'à ce qu'il n'attrape pas de lui-même.

Je l'arrête au salon de jardin pour m'adresser à la famille :

-Je vais vous do-, commençais-je.

Je fut couper lorsque je suis emportée dans une course qui n'est pas la mienne. Un bras sous ma poitrine, qui m'emporte. Rafaël.

Même pas 1 mètre savart avec le salon de jardin, la course c'est arrêter.

À présent face à lui, il me tient par les poignets. Je ne peux plus m'enfuir.

-Señora, je vous prie de me rendre ce que vous avez dans la main, dit-il.

Je sourie, ne pouvant pas nier, son regard me fait succomber. Je lui rend ses bagues qu'il installe à ses doigts.

Rafaël et Sergio s'installe avec tout le monde dans le salon de jardin.

Mon frère rigole, le regardant. Il me fixe. Il a quoi encore ?

-Il a quoi lui avec son rire d'antagoniste ? Demandais-je.

-Moi ? Un rire d'antagoniste ? Je vais te pendre par les pieds tu va voir.

-Il s'agirait d'assumer son rire.. mais essaye pour voir ?

En un claquement de doigt, une bagarre en jeu ce déclenche avec mon grand frère.

Il m'étrangle, mais je ne rate pas de me défendre. Et bien plus techniquement que lui. Grâce au entraînement.

Il finit au sol, déclarant la fin de cette bagarre.

-Je suis la gagnante et tu es le perdant, souriais-je avec un sourire narquois.

-Ouais c'est ça, marmonne-t-il.

On s'installe dans le salon de jardin, avec tout le monde. Enfin assis. Assise à coter de Rafaël.

-Ta beaucoup de tatouages ! Dit sa petite sœur.