The Fears

Chapitre 151 :

-Continue d'appuyer.. on sait jamais.., murmurais-je d'une voix cassée.

Les cadavres s'accumulent, entre coups de feu, bombes, coups de couteaux et autres, ça ne s'arrête pas.

La cagoule de Sergio est retirer pour tenter de lui emmener plus d'air. Et quand je vois qu'il ne réponds à rien, ni pou, ni réaction. Mes larmes dévalent mes joues pendant que les garçons regardent au alentours pour voir si le médecin arrive.

Soudainement, alors que mes larmes couler sur le cou de Sergio, sa main se dépose sur mon dos et se serre.

Mon regard se dépose sur sa main, puis sur son visage. Ses yeux s'ouvrent difficilement.

-Bordel tu ma fait peur !

-Putain.., murmure-t-il d'un gémissement de douleur.

Il avait fait un malaise à cause de la douleur.

Le sang n'arrête pas de s'écouler de son ventre et pourtant mon frère appuie sur la blessure pour arrêter le saignement.

Le médecin arrive en courant, s'accroupissant à nos côtés pour soigner Sergio.

Tout va mieux pour l'instant, il est en vie !

Mais la guerre continue. Alors on souhaite bonne chance à mon frère et à mon frère de cœur. Et Rafaël et moi partons à nouveau.

Je ravale mes émotions, maintenant tout va bien.

Grâce a mon AK47, les balles s'incruste dans les peaux de mes ennemis.

Un grand nombre de cadavres sont au sol.

On dirait que c'est la fin du monde. Alors que nous, c'est juste 2 gangs qui combattent.

-Le chef a dit qu'on devaient les ramenés tout les 4 vivants, mais personne n'a dit qu'on devaient ne pas les blessés. Alors le temps qu'ils sont debout et vivant, vous pouvez les blessés comme j'ai blessé le Sergio, dit un ennemis.

Je me stop net dans ma course. Il n'a pas eu le temps de réagir, que je suis venue par surprise. Cette fois, j'utilise que mes poings. C'est celui qui a failli tuer Sergio.

Pendant que je me défoule violemment sur cette homme qui est soumis à présent, Rafaël assassines les autres avec son couteau.

J'ai tuer l'homme qui a attaquer Sergio, avec mes mains, avec des coups. Oh moins je me suis bien défoulée.

Un flingue se dépose sur ma tempe. Sans que je n'ai le temps de réagir, un bras se serre autour de mon pour m'étrangler. Et une seringue se plante dans mon bras.

Je plante brusquement mon couteau dans la cuisse de l'ennemis, il finit au sol lorsque Rafaël le bat violemment.

Ma vue se brouille soudainement. Je perds l'équilibre, je m'accroche à un cailloux pour me soutenir, et je masse ma tête.

Maintenant, une bombe à fumer vient de prendre place. Je suis enveloppée d'un nuage.

À cause de ce nuage, tout est brouillé, alors que ma vue et ma stabilité n'est pas ouf, ça l'est encore moins. Je me sens faible là.

Je commence à perdre de l'air lorsque je me rends compte que le nuage est intoxiqué, je reconnais. C'est une bombe pour les personnes avec problèmes de cœur, pendant une course de voiture ça m'est arrivée. Si je ne sors pas d'ici et vite, je risque d'avoir des problèmes.

Mais j'arrive à peine à marcher, j'ai l'impression d'être défoncée.

Je me fais étrangler par surprise avec une corde sûrement. Des hurlements de douleurs sortent de ma bouche lorsque je reçois un grand nombre de coups de couteau.

Mes mains, mon ventre, mes cuisses, mes épaules, je me fais attaquer de partout avec un couteau. Et je ne peux même pas me défendre.

Déjà, mon air est coupé par l'étranglement, mais le peu d'air que je prends est intoxiqué.

Les coups de couteau ne s'arrête pas, et mes hurlements de douleurs n'ont plus.

Mon corps se fait sauvagement éjectée.

Je n'ai tellement de force que je bouge plus, je ferme juste les yeux.

J'entends le monde courir, hurler. Des tirs et autres.

Ma respiration est irrégulière. L'avantage c'est que j'ai était éjectée de ce nuage toxique et de cette étranglement et de ces coups de couteau.

Je sens le sang couler partout sur moi, mais je n'ai pas la force de regarder. Mes yeux sont juste clos.

-Alisson ?! Hurle la voix de mon frère.

J'entends des pas en courant qui se rapproche de moi. Et qui s'accroupissent à mes côtés.

-Alisson ?! Hurle mon mari.

-Bordel de merde ! Hurle Sergio.

-On a besoin d'un médecin en urgence pour Alisson ! À coter du bâtiment abandonné ! Hurle Lorenzo au talkie-walkie.

-Ouvre les yeux mi amor, je t'en supplie.., murmure Rafaël.

Les voix deviennent vagues, et j'ai extrêmement du mal à respirer.

-Elle a était planter partout, et vers le cœur aussi, le couteau est encore planter à l'intérieur, hurle mon frère au talkie-walkie.

-Elle a aussi était droguer. La seringue était encore planter, et les ingrédients c'est de la coke, dit Sergio.

Des doigts ce place dans mon cou.

-Le pou est trop faible, dit Lorenzo.

-Le nuage de fumée était une bombe fait pour les problèmes cardiaques, c'était fait exprès pour qu'elle arrête de respirer dedans, et son cou est marquée. Elle a du être étranglée avec une sangle pendant qu'ils la plantés, dit Sergio en inspectant tout.

Ma cagoule se fait retirer, mais l'air que j'attrape n'est que très faible.

Je comprends tout mieux. J'ai était droguer à cause de cette seringue, j'arrive pas à respirer à cause du couteau dans ma protéine.

-Serre ma main si tu nous entends, dit Rafaël.

Difficilement je serre sa main. J'ouvre délicatement les yeux, c'est bien plus dur que ce que je pensais.

Ma vision est toujours flou.

-Le médecin arrive. On va continuer, appelez nous si il y a un problème on est à côtés, dit mon frère.

Rafaël réponds positivement et les 2 garçons repartent à la guerre.

Le médecin s'accroupit à nos côtés directement. Une main de Rafaël est dans la mienne et son autre main est sur mon ventre, pour éviter que le sang ne s'écoule trop.

Ma tête tourne super fort.

-La drogue ne dura que 5 minutes grâce à cette seringue et ça apaisera sa douleur, dit le médecin.

Je ne sais ce qu'il fait, mais il fait des soins.

-Je ne peux pas te recoudre, ça serait trop dangereux de le faire ici. C'est ton médecin privé qui te le fera. Je vais enrouler toutes tes blessures de bandages. Et je retirerai ton couteau, ça va sûrement te faire mal, dit le médecin.

Ma main droite, mon poignet gauche, ma cuisse gauche, mon genou droit, mon mollet droit, ma cheville gauche, mon avant-bras droit et mon coude gauche ce sont enveloppés de bandage.