Chapitre 61 :

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Point de vue de Rafaël :

Alisson vient tout juste de s'endormir dans mes bras, et à mes yeux c'est un soulagement de savoir qu'elle dort paisiblement et pleures plus de souffrances. Au moins elle ce sent plus apaisée dans son sommeil.

Je n'ai pas fermer les yeux de la nuit, pour veiller sur elle. Pendant que j'écoutais toutes ses larmes de souffrance. J'étais impuissant face à elle.

Mon cœur se déchirer toujours un peu plus quand je l'entendais pleurer, et lâcher des cris de souffrance.

Je dépose un baiser sur la naissance de ses cheveux. Mon index s'enroule sur sa mèche de cheveux blanche, la mèche familiale des Rossi.

J'aime ses cheveux blonds et lisses, j'aime aussi ses yeux verts. J'aime tout ce qui vient d'elle.

Je ne vais pas dormir, parce que je veux veiller sur elle. Son torse collé au mien ce lève et ce baisse face à sa respiration apaiser.

Plusieurs minutes passe pendant que je la regarde en faisant tourner sa seule mèche blanche autour de mon index. Cette fille est si douce, elle ne mérite pas le malheur.

Elle est belle. Elle..

Elle est.. magnifique.

C'est une perle rare. C'est MA perle rare.

Une personne toc à la porte, alors doucement j'autorise l'entrée.

C'est son père. Mon patron. Le chef du gang. C'est Tony Rossi.

Son regard ce pose directement sur sa fille, j'aperçois les garçons juste derrière lui.

Ils marchent. Pendant que je suis allongée dans mon lit avec mon dos appuyer contre la tête du pour. Avec Alisson sur moi.

-Elle vient de s'endormir. Ne la réveillée pas, chuchotais-je.

-On sais. On l'a un peu entendu cette nuit.. dit Maël.

-Combien ? Demande Lorenzo.

-11 crises cette nuit, répondis-je en grimaçant.

-Bordel.. elle a rendez-vous quand pour son bilan déjà ? Dit Sergio.

-Aujourd'hui à 15h, répond le chef.

-Elle a du souffrir.. dit Noah.

-11 crises. 11 putain de crises, chuchote Lorenzo dans son poing.

-Cette nuit, j'ai essayé d'accéder au caméra de surveillance, et je viens tout juste d'y accéder. Puisque aucun de nous ne sait ce qui c'est passer, je me suis dit qu'on ce réunis pour savoir, intervient Tony.

Il dépose l'ordinateur sur le lit. Les garçons sont tous accroupis à coter du lit pour voir.

-À quel heure tout c'est déroulée ? Demande son père.

-À 23h10 environ, répondis-je.

Alors grâce au caméra, il met l'heure, exactement à l'emplacement où nous l'avons trouver. Le son est à 8, pour qu'on étend, mais aussi pour pas la réveiller.

Il met la vidéo en route, et nous regardons attentivement. Tout à coup, Alisson apparaît que la vidéo. En l'entend dire « maman » à plusieurs reprises, mais aucune réponse de sa mère.

Lorsque elle s'arrête. Elle l'appelle une nouvelle fois, mais sans réponse. Alors qu'elle aller partir, elle le voit.

Elle se décompose en le voyant, lui et pas sa mère. On entend et voit tout. On l'entend lui parler, sans aucune réponse de la part de ma copine.

On entend absolument tout ce qu'il lui dit. Et rien que le commencement de sa voix me rend fou de rage.

Ma mâchoire se contracte, mais je reste focalisée sur cette vidéo. Il lui parle et agit comme un putain de pervers, à près tout s'en est un.

Il pose ses mains sur elle. Je pourrais absolument tout casser dans ma chambre par rage, la seule chose qui me retient. C'est ma copine qui dort sur moi dans un sommeil profond.

On voit ses larmes, on voit la douleur dans ses yeux.

-Pourquoi elle ne bouge pas ? Demande Tony.

-Elle n'a pas parler sur la vidéo, elle pleure seulement. Pourquoi elle ne se défend pas ? Dit Noah.

-Elle a un traumatisme, qui fait qu'elle n'a plus pu bouger, annonçais-je.

-Quel traumatisme ? Intervient Sergio.

Je jette un coup d'œil à son grand frère. Qui a l'air d'avoir la même réponse que moi.

-C'est elle qui devra vous en parlez, pas nous, dit Lorenzo.

-Donc vous savez son traumatisme ? Dit Maël.

Silencieusement je replace une mèche derrière son oreille. Son souffle chaud sur mon torse, me prouve que cette fois, elle est libérée de son malheur dans son sommeil.

Ils arrêtent la vidéo au moment où nous apparaissons puisque nous connaissons la suite, où nous le tapant avant qu'il ne prenne la suite.

-Pourquoi esque tu ma arrêter ? M'adressais-je à mon meilleur ami.

-Alisson veut se venger elle même de lui, si un de nous le tue, elle n'aura pas sa vengeance, dit-il.

Les autres garçons sont dans l'incompréhension, mais nous ne pouvons rien leur dire.

-Noël c'est dans 5 jours, j'espère pour vous que presque tout est organisé ? Dit Tony.

-Nous sommes les The Fears, quand même!

-C'est bien ça le problème. Vous ne faites que les choses à la dernière minute, souffle le chef.

Nous rigolons, j'avoue que ce n'est pas faux. Mais cette année, tout est vraiment en place. Tout est prêt.

On avaient fait le sapin de Noël tous ensembles, à 7 c'était du carnage. Mais Alisson a réussi à tout bien régler.

Mon torse qui trembler sous la rigolade. Alisson grimace, ça l'a sûrement secouer. Alors j'arrête de rigoler.

Mon pouce ce place sur son visage d'ange en retraçant ses formes du visage.

-Depuis hier soir, elle a parler ? Demande mon frère de cœur.

-Non, pas depuis la soirée d'hier, répondais-je.

-Tu as dormi ? Me demande Maël.

-Bien sûr que non, et je ne dormirai pas.

Après ça, nous avons discuter. Ils ont même fini par s'installer un peu partout dans ma chambre. Pendant que ma perle dort profondément sur moi.

Je sens ses mains sur mon torse, qui se réchauffe un peu plus à chaque minutes.

Eres muy guapa, Alisson.
Calientas mi corazón cuando te veo, mi amor. Siempre lo haces latir un poco más rápido..

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant