Chapitre 152 :

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Il soulève mon débardeur, afin de seulement avoir vu que mon ventre, qui est couvert de sang et de blessures, je serre fort la main de Rafaël en mordant ma lèvre inférieur pour éviter de faire du bruit et d'attirer l'attention de nos ennemis.

Une fois que mon ventre entier a était bandé de bandage, mon débardeur se replace correctement.

-Pour tes blessures au visages, je ne peux rien faire ça serait aussi à avoir avec ton médecin, parce que si je te recoud tu risques d'avoir une infection. Parce que ici ce n'est pas hyper propre. Attention, tu risques d'avoir très mal, dit le médecin.

Je n'ai pas eu le temps de réagir que le couteau se retire brusquement, et une compresse remplace le couteau me faisant respirer brusquement.

C'est un soulagement de pouvoir respirer mais les blessure me font mal.

La compresse se remplir rapidement de sang. Il finit par mettre une autre compresse. Me voilà « soignée ».

-Voilà guerrière. Vous allez réussir, dit le médecin.

Son talkie-walkie se met un sonner, ayant un autre appel à l'aide.

Le médecin part, puis ma main se dépose dans la nuque de Rafaël, pendant que je prends une grande inspiration.

-T'es sûr de pouvoir continuer ? Demande-t-il.

-Oui, ça va aller. Il faut juste que je me lève, répondis-je.

Ma vue n'est plus flou, j'arrive à respirer, j'ai juste un peu mal. Grâce à la seringue du médecin qui a retirée la drogue et qui m'a injecter du produits pour ne plus avoir trop mal à mes blessures. Et ça fonctionne.

J'enfile ma cagoule. Rafaël se relève, tendant ses mains vers les miennes, il m'aide à me relever.

-C'est bon ça va mieux, dis-je.

-T'es sûr ?

J'hoche la tête. Regardant un peu partout.

-Il n'y a plus beaucoup d'ennemis, dis-je en regardant les environs.

Il y a plus de personnes en couleurs noir que en couleurs armées.

Ça veut donc dire que c'est bientôt la fin. Je masse mon cou une dernière fois. C'est bon, je peux reprendre.

Alors difficilement j'ai couru au côté de Rafaël, et nous avons tirer, encore et encore.

Avant la guerre, nous avons reçus un message du bras droit des The Masked qui nous disait que une fois la guerre terminée, si nous gagnons, nous devons nous placer devant une grande résidence, car quelque chose nous attendra apparemment.

Et cette résidence, on la voit au fond.

Les balles s'enfoncent dans le corps de nos ennemis. Les faisant tomber.

Puis après quelques minutes, le dernier ennemis tombe à terre sous l'une de mes balles.

Plus aucun ennemis.

Depuis tout le temps passée à assassiner, il doit être 18 heures.

-Il n'y a plus personnes, on ce retrouve tous devant les avions. Rester quand même attentif au cas où il en reste, dis-je au talkie-walkie.

Je me demande combien nous sommes.

Malgré la douleurs, pour éviter de grimper sur le toit des bâtiments, je grimpe sur les lampadaires à grande hauteur en me balançant pour accéder à un nouveau lampadaire, ça me permettra d'aller plus vite pendant que les garçons grimperont au toit.

Heureusement que dans le passer j'ai fait de la gymnastique, ça a beaucoup d'avantage.

Très rapidement, nous nous retrouvons tous devant les avions.

On remercie tout nos alliés survivants, on faisant aussi un honneur à nos alliés décédés dans cette guerre.

On étaient 1500 au début, et nous terminons à 350.

Beaucoup en repartes avec blessures, d'autres importantes d'autres moins. Enfaite tout le monde a était blessé.

À la fin de cette guerre, ils auront une sommes d'argent versés dans leurs comptes en banques, pour leurs aides.

Ils montent dans leurs avions attitré. Bientôt nous les prendrons aussi.

Une fois que tout les avions ont décoller. Nous repartons sur le terrain. Pour aller à cette fameuse maison. Les drones sont toujours présent entrain de filmer et écouter chaque instant pour le diffuseur à la télé.

Malgré mes bandages, le sang s'écoule. Ils sont passés de blanc à rouge.

Et la douleur est parfaitement présente, car le médicament ne fait plus effets.

Mais c'est bientôt la fin. La guerre est fini, il faut juste aller voir notre « surprise » qui sortira de cette résidence blanche.

J'ai bien peur que ce sois quelque chose qui nous tuerait. Parce que un « cadeau surprise » de la part d'ennemis c'est très louche.

Mais on ne peut pas partir sans savoir ça.

Notre avion nous attendra au dessus de la résidence, pour que nous partons directement.

Nous nous decagoulons à cause de la chaleur dedans. Je sens le sens couler de ma tempe et ma lèvres, qui a sûrement séchée.

Je pense que je ne veut même pas voir toutes les blessures que j'ai eu.

Les garçons aussi sont bien blessés, au visage comme au corps.

Nous venons d'arriver devant cette résidence blanche et grande. Mais nous restons sur nos gardes.

La porte d'entrée s'ouvre. Laissant apparaître 2 hommes cagouler.

Automatiquement nos armes se lèvent vers eux.

-Baissez vos armes, dit l'un d'eux.

-En quel raison ? Demande Rafaël.

Ils ne répondent pas, mais l'un des 2 enlève sa cagoule.

C'est le bras droit des The Masked.

-Retire ta cagoule, dit Sergio à l'autre homme.

Mon AK47 est toujours viser contre le bras droit. Les 3 autres garçons ont toujours les armes lever vers eux.

-Et lui c'est qui ? Demandais-je en pointant l'arme vers l'homme masqué.

-Le chef des The Masked, répond l'homme masqué.

Ma tête se tourne vers Rafaël qui fronce les sourcils.

-J'ai l'impression d'avoir déjà entendu cette voix, murmure Rafaël.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant