Chapitre 44 :

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Une bonne entaille de 1 cm de profondeur mais de 5 ou 6 cl de grandeur environ. C'est vrai que les poubelles en fer c'est violent. Mais là ça a du être un gros choc.

J'imbibe le coton d'alcool 90.

-Ils ne t'ont pas poser de question ?

-Pas encore. Parce que tu n'étais pas là, mais je suis sûr qu'à table ils ne vont pas nous louper. Allez 1..

Je n'ai pas continuer que j'ai déjà poser le coton imbiber. Un grognement de douleurs sort de sa bouche. Par réflexe, je me suis assise en califourchon sur lui et j'ai poser les lèvres sur les siennes pour éviter qu'il ne réveille les enfants avec son léger cri.

Il répond à mon baisé, dépose ses mains sur les hanches. Par dessus mon pull de pyjama. Puis je décolle les lèvres des siennes.

-Ne crie pas comme ça ! Ils dorment, dis-je en les montrant de la tête.

-À vos ordres, chef.

Je sourie. Puis cette fois je me rend compte que je suis assise sur lui. Par honte j'allais partir, même si ce n'est pas la première fois que je m'assois sur lui en califourchon, mais nous ne sommes pas seuls, à tout moment les garçons arrivent, et ça serait gênant. Il renforce sa poigne sur les hanches pour ne plus que je bouge.

-Ne pars pas. Reste.

À nouveau, je sourie. Je termine de désinfecter sa plaie. Il ne faut pas mettre de pansement pour laisser aérer la blessure.

Cette fois, ses mains ce pose sur mes hanches, sous mon pull.

-Je réchauffe un peu mes mains, il faisais froid dehors !

Je rigole puis je bâcle mon travail sur sa blessure.

-Merci, minimoys.

Il dépose un baisé sur le coin de la bouche. Me créant des papillons dans tout mon corps.

On se lève. Il montre les escaliers, sûrement pour allez ce laver. Moi je pars ranger la trousse de soin.

Je met les couverts sur la table, puis je pose la nourriture à table.

Environ 5 minutes après, tout les garçons descendent les escaliers. Tous en pyjama, comme d'habitude, un simple short.

Nous nous installons à table, nous mangeons et les discussions commence :

-Vous vous êtes remis ensemble du coup ? Demande mon grand frère.

-Oui, cet après-midi, répond Rafaël.

-Et comment c'est arrivé ? D'un coup vous visu êtes remis ensemble ? Demande Maël.

-On ce tourner autour, c'était plus du flirt, répondais-je.

-Le temps, c'est que vous soyez heureux sur cette décision, ajoute Sergio.

-À Rafe et Alisson ! Dit Noah.

En rigolant nous faisant claquer nos verres de coca. Et il n'y a plus eu de questions sur ça. On a simplement parler et rigoler, comme chaque soir.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant