Chapitre 113 :

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La table est grande pour accueillir beaucoup de personne, c'est la meilleure chose. Habiter tous ensembles c'est vraiment trop bien.

Après le repas, nous avons directement débarrassés. Puis je décide de descendre à la cave en demandant à tout le monde de me laisser y aller seule pour la première fois. Au moins juste pour cette fois faire un face à face.

Je prends les clés et entre dans la cellule en fermant derrière moi. Nous n'avons pas nettoyé le sang de l'ancien meurtre dans la cellule, c'était fait exprès. Pour que Ludo est un mauvais endroit avec une mauvaise odeur de cadavre. Encore il a de la chance qu'on a retirer le corps.

Ça pue vraiment le cadavre par contre.

Un rire pervers sort de sa bouche, quesque je le déteste.

-Tu sait ce qui me fait rire ?

Je le fixe, croisant les bras sans demander la réponse.

-C'est de savoir que vous avez dû me ligoter et m'enfermer.

-C'est simplement pour t'avoir plus proche de nous, n'est-ce pas gentil de notre part ?

-Si très. Pour quel raison m'avoir plus proche ?

-La seule et unique raison, c'est pour avoir une meilleur vengeance, à éviter que tu ne tente de glisse d'entre mes mains. Dans tout les cas on t'aurait toujours rattraper, mais en ce moment on a pas le temps pour te courir après, tu ne te sens pas à ta place ici ? Tu sait, la place des ordures ?

-Je suis tellement heureux d'avoir gâcher ta vie, de t'avoir créer des traumatisme et de t'avoir marquée à vie, dit mon beau-père avec un grand sourire.

Je le fixe sans lui apporter de réponse. Je me crispe, mais je tente de le cacher.

-Et je sais que, je ne suis pas le seul à avoir jouer de ton corps.

Mes sourcils ce froncent, comment ça ?

-Une fois, j'ai trouver ton journal et je l'ai lu. J'ai garder l'information seulement pour moi.

-Fils de pute, crachais-je entre mes dents.

Mes poings se serrent violemment, ma mâchoire se contracte. La veine sur ma tempe ressors, je la sens.

-Je te déteste, du plus profond de mon être. Mais sache que ta meurtrière sera moi et personne d'autre.

Il sourit, je ne sais pas si c'est nerveux ou pervers. J'aurais dit les 2.

-Tu le sait que je ne peux pas te tuer maintenant parce que je préfère une vengeance douloureuse, et tu en joue pas vrai ?

-Sûrement, c'est bien de jouer avec tes nerfs.

Ne faisant que quelques pas, mon poing atterri violemment sur sa mâchoire.

-Je peux peut-être pas te tuer maintenant mais si l'envie me viens je peux annuler la vengeance douloureuse pour te planter une de mes balle de flingue dans ton putain de crâne, mais je peux aussi très bien être violente ou te torturer en attendant. Alors ne joue pas avec moi, parce que tu sera le seul perdant.

La rage en moi est entrain de s'accumuler. Alors qu'il s'apprêter à parler, mon poing s'abat à nouveau sur lui. Le laissant pousser des grognements de douleurs.

Et sans qu'il est le temps de réagir, ma lame de mon couteau ne se plante pas dans son bras, mais fait une entaille. En découpant la peau de son épaule.

À nouveau ce sont les bruits de douleurs qui sort de sa gorge prenant possession de cette cellule.

-Ce sujet, il te touche profondément, hein. Et si tu veut savoir, j'en prenais du plaisir. À te salir pendant que tu essayais de te débattre, dit-il avec fierté.

The FearsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant