The Fears

Chapitre 153 :

-Peut-être que tu le connaît ? Murmure mon frère.

-C'est exacte, répond l'homme masqué.

-Qui êtes vous ? Insistais-je.

-Je vous laisses découvrir de vous même, répond l'homme masqué.

Le chef des The Masked, retire sa cagoule.

Mon dieu.

Jamais. Jamais je n'aurais pensée que c'était lui qui ce cacher derrière tout ça.

Le père de Rafaël.

Et tout nos visages ce décompose.

Et nous qui croyons qu'il était mort dans ça prison comme prévu. Et bien non.

-J'ai suivis les actualités comme tout le monde à la télé. Et mon fils, j'ai aperçu que tu avait retrouvés ta mère et ta sœur. Mais que tu avait une famille, ta femme et tes enfants, et des amis, dit son père.

Lorsque il dit « ta femme » il me vise de son flingue qu'il vient de sortir. Puis lorsqu'il parle des amis il vise avec son flingue, Lorenzo et Sergio. Et il vise son flingue vers Rafaël.

-Mais ne t'avais-je pas dit toute ton existence que tu ne méritait pas l'amour ? Dit le chef des The Masked.

Lorsqu'il prononce cette phrase, il vise à nouveau son flingue sur moi.

-Et c'est pour cette raison que je vais tuer ta femme aujourd'hui et sous tes yeux, dit son père.

-Premièrement, ne m'appelle pas « mon fils ». Deuxièmement, tu n'a aucun droit de parler de MA famille. Et encore moins de cette manière, réponds Rafaël.

Le géniteur de Rafaël avance, toujours le flingue vers moi. Mais aucun de nous ne bronche d'un poils.

-Arrête toi ou il passe sous la casserole, dit Lorenzo.

Il continue de marcher vers nous. Il n'a pas le temps de réagir que je vise son ami et que mon doigt appuie sur la gâchette. Son bras doit tombe à terre. Mort.

-Pas le temps de faire de la politesse, arrête toi, dis-je froidement.

Sous ma voix, il s'arrête. Toujours en fixant Rafaël, mais en gardant son flingue vers ma direction.

Rafaël range son flingue. Et rien que quand son regard rencontre le miens, je comprends exactement ce qu'il veut faire. Le plan qu'il a établie pendant son silence. Puis il marche vers son géniteur.

-Pourquoi il le rejoint ? Me chuchote mon frère.

-Ne t'inquiète pas, laisse le faire, répondis-je.

-Si tu le dit, réponds Sergio en chuchotant.

L'avion finit par se poser pour éviter d'utiliser trop de carburant.

Les drones continuent d'être là, à écouter et filmer tout en direct.

-T'es devenus un grand garçon, mi hijo.

-Ferme t'a gueule, répond mon mari.

-Attention à ce que tu dit ou fait, ajoute son géniteur.

Un sourire provocateur se place sur les lèvres de Rafaël tout en ce positionnant devant lui. Ce qui n'est plaît pas à son géniteur visiblement.

Parce qu'il appuie sur la gâchette. Me visant à moi.

Sauf que j'ai eu la chance d'avoir plusieurs entraînements pour ça. La balle qui m'étais attitré ce retrouve entre mon index et mon pouce et non dans mon cœur. J'ai stopper la course en l'attrapant.