The Fears

Chapitre 149 :

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Équipés. Nous avons tous nos gilets par balle, avec spécialement nos prénom et nom de famille floqués à l'arrière. Pour que nous nous reconnaissons.

Par contre le gilet par balle saturera au bout de 10 balles reçue. Alors y'en fois qu'il sature, nous devons le retirer.

Nous avons également des t-shirt floqués de la même manière.

Les The Masked auront exactement la même chose, mais d'une couleur armée.

Comme ça on sait qui est qui.

Nous sommes équipés. Je suis habillée d'un short noir et d'un débardeur noir qui est floqués, avec par dessus un gilet par balle également floqués. J'ai aussi ma cagoule. Mon talkie-walkie est sur moi. Et nous sommes entrain d'enfiler nos parachutes sur nos dos.

Nous sommes armés de la tête au pieds. Sur nous, nous portons un flingue normal, une AK47, des bombes, des bombes à gaz, des bombes à fumée, des couteaux et autres.

Étant donnée que je suis en équipe avec Rafaël, on restera dans nos champs de vision. Mais si on se perds de vue, on devra rapidement ce retrouver. On peut aussi faire équipe à des moments tout les 4. Et c'est sûrement ce qu'on fera.

Le cagoule ne nous laisse seulement voir nos yeux.

-Vous êtes prêts ? Demande Rafaël.

Nous répondons tout les 3 positivement.

Nous sommes arrivés au Mexique, nous sommes au dessus de la base. On peut sauter.

L'arrière de l'avion s'ouvre. Alors on se câline tous une dernière fois.

Allez, c'est maintenant.

J'ai l'impression que je vais sauter dans le vide tellement c'est haut.

Une sangle est accrochée de moi à Rafaël, pour que nous atterrissons au même endroit. Que nous décrocherons une fois atterris.

Nous sommes tous les 4 au bords, puis après un dernier regard nous sautons dans le vide.

L'air frais se colle à nos peaux avec la forte température de septembre.

On déploie nos parachutes, tournant le regards au environ j'aperçois plusieurs, même beaucoup de drone. Et beaucoup de nos alliés en parachute qui saute des avions.

Une fois arrivé sur terre, nous décrochons nos parachutes, et nous décrocherons nos sangles l'un de l'autre.

Pour l'instant tout est calme, les ennemis attendent un bruit pour tirer. Lorenzo et Sergio sont à notre gauche.

Nos alliés ne vont pas tirés si on ne tire pas.

-Ils attendent un seul et unique bruits pour attaquer et se défendre. Je vais monter sur le grillage en fer, murmurais-je.

-Il y a de l'électricité sur le grillage à des endroits, dit Sergio.

-Je sais. Dieu merci j'ai fait de la gym petite, et grâce à ça je serais minutieuse sur les bouts d'électricité. Ça sert à rien d'éteindre le courant parce qu'ils essaieront de la rallumer, dis-je.

-Et ça servira à quoi ? Demande mon frère.

-Repérerait où les premiers ennemis se trouvent.

-Nous on la suit en montant sur le toit. Gardez l'œil partout, dit Rafaël.

-Faites le moins de bruits possible, ils doivent pas nous répéter avant nous, dit Sergio.

On se tchèque la main et les garçons partent dans une autre direction que la mienne. Ils grimpent sur le mur.

Les drones sont de partout dans les airs entrain de filmer et d'écouter.

-Fait attention à pas prendre l'électricité, dit mon mari.

-Ta déjà pas beaucoup de neurones alors si tu commence à t'en brûler.., dit Lorenzo.

-Va te faire foutre Lo', répondais-je.

Mon regard est rivé sur le grillage au quel je marche en hauteur, j'essaie de ne pas faire de bruits et de ne pas prendre de coup de jus.

J'arrête de marcher sur le grillage lorsque au loin, lorsque j'aperçois les ennemis.

-Je l'ai est en vue, dis-je au talkie-walkie pour les 3 garçons.

-Déplace toi sans faire de bruits. Et une fois déplacer tu préviens les autres, dit Rafaël au talkie-walkie.

Il y a un grand lampadaire devant moi, alors je saute du grillage en m'accrochant à ce lampadaire, puis je bascule afin d'accéder à un autre lampadaire. Encore une fois, ça c'est grâce à la gymnastique que je faisais avant quand j'étais petite.

Puis grâce à la force de mes bras, je monte en traction en posant mes pieds sur le lampadaire à la place de mes mains.

Un dernier regards vers les 3 garçons pour approuver le signal. Puis je me met à siffler fortement afin de déclarer la guerre.

Les ennemis se retrouvent automatiquement vers le sifflement, et les balles fusent direction.

-On fonce dans le tas, dis-je à Rafaël au talkie-walkie.

Alors sans hésiter, il saute du toit où il était, et je saute du lampadaire. Côte à côte, les balles passés à nos côtés.

-On va à droite, dit-il.

Nous courrons, nos AK47 en main.

Et voilà que j'utilise ma première balle, faisant tomber un ennemis à terre, mort. Entre les yeux.

Tous cagoulés, nos ennemis sont en couleurs armées et nous en noir. Eux aussi ils ont leurs vêtement floqués pour ce reconnaître.

Je viens de me prendre une balle, mais dans mon gilet par balle. Dans ça va, je n'ai rien reçu.

On continue de tirer.

Après une dizaine de balle reçu dans nos gilets par balle, ils saturent. Rafaël et Moi retirons les gilets par balle.

Maintenant, si on reçoit une balle, on la recevra belle et bien.

Une balle s'implante dans mon bras, par réflexe je mords ma lèvre inférieur en plaquant ma main contre la blessure.

Je me ressaisis en tirant.

Des bombes exploses un peu partout.

On changes d'emplacement, en triant en même temps.

Ma course se coupe brusquement lorsque on m'attrape violemment par le bras. Un couteau se plante dans mon bras. L'ennemis n'a pas eu le temps de réagir que je me libère en le frappant violemment en terminant par lui mettre une balle en le tuant.

Rafaël et Moi enchaînons les meurtres en avançant. Mais aussi, les blessures arrivent petit à petit.

Nos balles s'enchaînent, c'est violemment et rapide.

On aperçoit un peu plus loin mon frère et Sergio et cours en tuant.

D'autres se battent jusqu'à la mort. D'autres se prennent des balles. Et d'autres en meurs des balles. D'autres explosent à cause des bombes.