The Fears

Chapitre 40 :

Je pose mon livre sur le coter. Dans le silence nous nous observons, et je crois que ce n'est absolument pas gênant. On s'analyse.

Je l'avoue qu'il est beau. Des cheveux bruns, si foncée qu'on dirait du noir. En forme d'une coupe casquette accompagnée d'un dégrader espagnol. Ses yeux bleus, d'une couleur de glace, juste magnifique. Ses sourcils, dont le droit est couper d'un trait à la moitié de son sourcil. Ses lèvres, délicieuse. Ses boucles d'oreilles en diamant. Sa mâchoire parfaitement tracer. Sa pomme d'Adam qui ressors. Les veines sur ses mains et bras. Son corps musclés et tatoués. Il est juste parfait..

-Putain.. si tu me dévore encore comme sa des yeux. Je t'assure que je ne pourrai plus me retenir..

Un sourire narquois et provocateur ce dessine sur mes lèvres. J'hausse les épaules pour le provoquer un petit peu plus.

Je finis par me lever, alors que je marcher pour aller faire à manger. Mon dos fût plaquer contre ma porte.

Nos corps sont collés. Nos têtes sont proches. Alors que son pouce passe sur ma lèvre en les fixant.

Je n'ai pas eu besoin d'hurler le fait que j'ai absolument besoin de sentir ses lèvres. Qu'il dévore déjà mes lèvres.

Mes mains se pose dans sa nuque. Les siennes se pose sur mes hanches. Nos langues se mélangent. C'est comme si nos âmes étaient faites l'une par l'autre. Comme si on se compléter.

Notre petite bulle éclate lorsque des gros tambourinements ce font entendre sur la porte d'entrée.

Nous descendons les escaliers. Puis nous partons ouvrir. Ce sont Sergio, Noah et Maël.

Bien trop excité, ils vont me faire l'enfer si ils continuent dans ce rythme. C'est sur !

Je laisse les 4 garçons ensembles. Pour que j'aille cuisiner, histoire qu'on manges un repas ce soir.

Alors que je commençais à faire cuire des spaghettis pour faire des spaghettis à la bolognaise. J'entends les 4 garçons arriver en hurlant dans la joie.

-DÉMONE ! J'aime ce surnom. Il t'appartient. CRIER CEST POUR LA VENGEANCE DE CE MATIN, JE CROIS ? Crie Sergio.

Je rigole pendant que les 4 garçons me font vivres l'enfer. Ils me font gigoter dans tout les sens pendant que je fais la cuisine. Vaut mieux en rire qu'en pleurer !

Sergio est celui qui me le fait le plus payer, en criant dans mes oreilles et en me faisant gigoter. Les autres font pareils mais pas dans le même rythme.

J'aime énormément mon amitié avec Sergio. J'aime Rafaël d'un autre sentiment que je n'éprouve pas avec les autres.
J'aime aussi mon amitié avec Maël et Noah.
Et j'adore mon lien avec mon frère, Lorenzo.

Les garçons décident de ce calmer après une bonne dizaine de minutes, me laissant respirer.

Je prend mon téléphone en envoyant un message à mon frère :

[Rentre manger avec nous, s'il te plaît.]

Il répond positivement. Environ 5 minutes après, il rentre. Je préfère lui parler après. Une fois le repas prêt, on passe à table. Nous remplissons parfaitement nos ventres.