《 Comment j'ai pu oublier ? 》Signée Emmy Foster.
Mardi 9 novembre.
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Ce matin, mademoiselle Johansson n'avait qu'une hâte : appeler sa bien aimée et passer toute la journée avec elle. C'était la seule chose qu'elle avait en tête et ça la rendait euphorique d'être aujourd'hui.
Cependant, tout ne c'est pas passé comme prévu. Scarlett l'avait appelée mais personne n'avait décroché, alors elle avait envoyée des messages mais toujours aucune réponse. L'actrice était donc partie chez elle, peut-être qu'elle était simplement encore endormie. Seulement, à son arrivée elle n'avait trouvée que sa collocataire Julie qui était sur le point de partir pour bosser. La chirurgienne lui avait indiquée qu'elle n'avait pas vu Emmy ce matin et ceci indiquait qu'elle était partie tôt ce matin.
Ceci était étrange mais après courte réflexion, donna une idée à Scarlett. Peut-être que la jeune femme s'était simplement levée tôt pour lui faire une surprise en lui achetant un cadeau pour ce jour si spécial, et qu'elle était en train de rouler chez l'actrice pour le lui donner. Alors Johansson était tout de suite rentré chez elle pour l'accueillir et pour qu'elle ne reste pas dehors trop longtemps dans ce froid de canard.
Mais ce fût une fausse joie, il n'y avait personne même après deux heures d'attentes. Scarlett commençait à désespérer, elle ne voulait pas que ses craintes se réalisent. Mais il fallait voir les choses telles qu'elles étaient, la fille Foster n'avait pas prévu de passer sa journée avec elle et ce par grand oublie.
L'actrice avait tout de même continuée à lui envoyer des messages pour qu'elle vienne mais c'était peine perdue. Elle s'asseya sur son canapé avec un verre de vin, ne pouvant croire que sa copine avait fait cela. Elle était affecté par le fait que la jeune femme passait ses intérêts avant ceux d'elle-même, sa partenaire. Surtout le jour d'un moment pareil. Scarlett avait accepté toutes les autres fois mais celle-là elle n'arrivait pas à la digérer. C'était la goûte d'eau qui faisa déborder le vase.
— Scarly, c'est moi. elle entenda en fin d'après-midi.
Celle-ci arriva à l'entrée en fureur, en entendant qu'Emmy faisait enfin une apparition dans sa vie.
— Ne m'appelle pas comme ça.
— Pourquoi ?
— À moi de poser les questions.
— Euh, d'accord.
— T'étais où ? Je t'ai cherché partout.
— J'étais... avec un producteur. Pourquoi ?
— Tout ça t'obsède Emmy.
— Cela ne m'obsède pas.
— Tu n'a même pas répondu à mes appels et textos.
— Désolé, j'avais pas vu.
— T'avais pas vu ou tu voulais pas voir ?
— Qu'est-ce que tu raconte ?
— Peut-être que tu préférais regarder cette productrice.
— C'est des bêtises.
— C'était un jour important aujourd'hui, Emmy. Et tu n'a même pas été foutu d'être avec moi une heure.
— On avait prévu quelque chose ?
Scarlett se mit à pleurer seulement à l'entente de cette phrase. Une question qui voulait tout dire et qui prouvait tout ce qui se passait depuis des jours.
— Pourquoi pleures-tu ?
— C'est nos un an. Mais je vois que tu n'en a rien à faire et ce depuis plusieurs jours. J'avais espérer que cela allait changer aujourd'hui mais apparemment je me suis trompé.
— Oh, Scarlett je-
— C'est trop tard pour les excuses. Une date, tu avais seulement besoin de retenir une date ! Je veux que tu sois partie d'ici à mon retour.
Furieuse et triste, l'actrice s'en alla hors de la maison pour ne pas craquer encore plus, marchant aussi loin qu'elle le pouvait dans sa grande propriété. Elle pleurait de toutes ses larmes et n'arrivait pas à s'arrêter. Scarlett avait mal au cœur, elle était amoureuse de la fille qui venait d'oublier leur un an de relation.
Tandis que Emmy ne savait pas comment réagir, cela fusait dans son cerveau, alors elle resta bouche-bé sur le pas de la porte. Elle venait de faire une grosse bêtise, peut-être celle qui allait lui coûter si chère à l'avenir.
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BREAKUP - TOME 1
फैनफिक्शनEmmy Foster souhaite devenir productrice de cinéma et une occasion en or s'offre à elle pour débuter sa grande carrière. Elle travaillera d'arrache pieds pour connaître le succès. Mais parfois quand on réalise son plus grand rêve, on ne se rend pas...