Niklaus Mikaelson retourne à la Nouvelle-Orléans pour détrôner l'un de ses anciens protégés, Marcel, qui a régné sur la ville en son absence. Il s'aperçoit que beaucoup de choses ont changé : les sorcières n'ont plus le droit de pratiquer de la magi...
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Inès entra dans la cuisine et aperçut Hayley déjà installée, en train de préparer quelque chose sur le plan de travail. Hayley leva les yeux et un sourire instantané se dessina sur son visage.
Hayley : Salut.
Inès : Hey.
Inès attrapa un bol pour prendre à manger mais poussa un soupir de douleur en mettant sa main sur son ventre.
Hayley : Ça va ?
Hayley la regarda avec inquiétude tandis qu'Inès continuait de lui frotter le ventre avec sa main.
Hayley : Ils donnent encore des coups de pied ?
Inès grimace.
Inès : Mmhmm. Ouais, juste... Aïe !
Les bébés semblaient donner des coups de pied plus forts et Inès hurla à nouveau.
Inès : Ah !
Hayley se dirigea vers elle.
Hayley : Hé, ça va ?
Inès : Ouais, je vais juste... Respirer.
Inès prit quelques respirations profondes en se tenant les côtes, mais après un moment, elle poussa d'autres cris. Hayley se précipita vers elle et l'aida à se maintenir debout.
Hayley : Oh merde !
Hayley leva la tête.
Hayley : Alaric ! Mary !
Mary et Alaric se précipitèrent dans la cuisine, leurs visages marqués par l'inquiétude. Ils trouvèrent Inès appuyée contre le comptoir, le souffle court et le visage crispé de douleur. Hayley était à ses côtés, tentant de la soutenir, ses propres traits trahissant l'angoisse.
Mary ne perdit pas une seconde. Elle s'approcha rapidement d'Inès et posa ses mains sur son ventre, une expression de concentration intense sur le visage. Elle ferma les yeux un instant, ressentant les mouvements et l'énergie qui émanaient des jumelles.
Mary : Il y a un problème avec les bébés.
Les yeux de Mary se levèrent pour rencontrer ceux d'Alaric, cherchant à évaluer la gravité de la situation.
Alaric s'approcha, son visage blême et ses mains tremblantes.
Alaric : Qu'est-ce qui se passe, Mary ?
Il regarda tour à tour Inès, qui essayait de reprendre son souffle, et Mary, attendant désespérément une réponse rassurante. Mary leva les yeux, croisant le regard de Hayley, puis celui d'Alaric.
Inès poussa un nouveau cri de douleur et une lampe explosa ; Mary hocha la tête.
Mary : Il faut qu'elle aille à l'hôpital, et tout de suite. On n'a pas le temps d'aller à la meute.
