Chapitre 67: Le paternel

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Tenue d'Inès:

Deux jours se sont écoulés depuis les derniers événements

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Deux jours se sont écoulés depuis les derniers événements. Klaus a passé du temps précieux avec sa fille, renouant des liens et profitant de chaque instant pour rattraper le temps perdu. Pendant ce temps, les autres ont fait la connaissance de deux nouvelles arrivantes : Lexi et Josie.

Lors d'une de leurs discussions, Klaus et Inès ont évoqué l'idée de se rendre à Storybrooke. Klaus, avec hésitation, semblait prêt à y aller.

Inès : Je sais ce que tu penses et je ne t'y pousse pas. Et je sais que tu viens de retrouver Hope, mais elle pourrait venir avec nous. Elle y est déjà...

Klaus : Je vais venir.

Inès fronce les sourcils et se tourne vers son frère.

Inès : Attends... Juste comme ça ? J'ai pas besoin de te convaincre ?

Klaus sourit, amusé.

Klaus : Non.

Inès : Mais qu'est-ce qui t'est arrivé, mon frère ?

Inès sourit de manière humoristique.

Klaus : Cinq ans enfermé et torturé.

Inès soupire en effaçant son sourire.

Inès : Oh...

Klaus : Ne fais pas cette tête. Vous avez réussi à me sortir de là.

Inès : Ça a quand même été long.

Klaus : Pour un humain et la vie de ma fille, oui.

Inès et Klaus se regardent pendant un instant et s'approchent naturellement l'un de l'autre. Elle pose sa tête sur son épaule et son bras l'entoure dans un geste fraternel. Elle soupire en fermant les yeux, c'est ce qui lui manquait dans sa vie : le reste de sa famille.

Inès : Avec un peu de chance, tout est terminé.

Klaus : Nous sommes maudits, tu devrais le savoir.

Inès sourit.

Klaus : Est-ce que Hope l'a rencontrée ?

Inès grimace et regarde Klaus un moment.

Inès : Elle l'a... entre-aperçue. Tout comme Josie et Lexie, d'ailleurs.

Klaus hoche la tête et sourit. Sa sœur avait eu la chance qu'il avait eue, mais de manière moins chaotique, et elle l'avait mérité.

Klaus et Inès prirent la route en voiture, accompagnés de Lexie et Josie, mais sans Hope. Klaus était déterminé à ne pas la faire rencontrer leur père tant qu'elle n'aurait pas une véritable compréhension de qui il était. L'idée de cette rencontre le préoccupait profondément.

Inès, au volant, sentait la tension palpable qui régnait dans l'habitacle. Le silence pesant de Klaus ne lui échappait pas. Les paysages défilaient à travers la vitre, mais l'esprit de Klaus semblait ailleurs, englué dans des pensées sombres.

La véritable histoire d'Inès Mikaelson TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant