Chapitre 8

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Voilà le prochain chapitre. Je suis vraiment désolée pour mon retard, mais mon ordinateur est vraiment mort, alors j'ai fait comme j'ai pu. Je m'excuse également pour ce qui va suivre, ceci n'est pas mon meilleur chapitre... Bonne lecture !
PS: désolée (encore) pour les éventuelles fautes. Je me relirai lorsque j'aurai un peu de temps. Des bisous!

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Le vendredi tant attendu arriva enfin, et j'en fus plus qu'heureuse. Dès la sortie de cours, je filai chez moi après avoir bien évidemment embrassé très fort ma meilleure amie. Une fois arrivée, je fis ma valise, enfin mes valises plutôt. Dans la soirée, je prendrais l'avion en direction de l'Afrique, l'Égypte plus précisément, afin de voir ma mère, puis la deuxième semaine j'irais aux États-Unis voir mon père. Aucun de mes deux parents n'avaient réussi à se libérer pour que nous passions un peu de temps tous les trois, et cela me faisait beaucoup de peine, mais au moins j'allais les voir tous les deux, ce qui était mieux que rien. Et je savais qu'eux aussi arrivaient à se voir de temps en temps, donc ce n'était pas le bout du monde si nous n'étions pas tous les trois réunis pour les vacances


- « Bonjour. » dis-je en entrant dans le taxi, quelques heures plus tard. « A l'aéroport s'il vous plaît.

- « Bonjour Mademoiselle. C'est parti pour l'aéroport. »


Durant le trajet, le chauffeur, qui se révéla être adorable, me posa des questions sur ma destination, et me fit remarquer que j'avais beaucoup de chance.


- « Et voilà. » dit-il en se garant.


Je sortis de mon sac à main mon portefeuille en cuir noir d'un grand couturier et j'y pris de quoi lui payer la course et lui laisser un gros pourboire.


- « Merci beaucoup Mademoiselle. » s'exclama-t-il en sortant afin de m'ouvrir la portière et vider la coffre.

- « De rien. » lui répondis-je avec un grand sourire, avant de rentrer dans l'immense bâtiment, toute excitée.




Je passai deux merveilleuses semaines avec mes parents. Avec ma mère, nous avions été dans des endroits absolument uniques et superbes, et nous avions vu tous les monuments à voir là-bas, comme les pyramides ou le sphinx. Heureusement que j'avais pensé à emmener mon appareil photo ! Puis, avec mon père, nous avions visiter une partie des lieux à voir aux États-Unis grâce aux nombreux vols internes. J'avais également pu voir ma grand-mère. J'avais de merveilleux souvenirs plein la tête, et ce fut complètement ressourcée que je poussai la porte de chez moi en ce dimanche. Le seul gros point négatif était qu'il faisait beaucoup plus froid qu'en Afrique. Sitôt arrivée, je montai le chauffage dans la plupart des pièces de la maison et je consultai mon ordinateur et mon téléphone qui venait tout juste de se recaler. En Afrique, je n'y avais pas eu accès. J'avais été envahie de message d'Alexandre. Puis, lorsque j'étais aux États-Unis, ce dernier n'avait cessé de me demander pourquoi je l'ignorais. J'avais fini par l'insulter en lui disant de me laisser tranquille et de m'oublier ! J'avais ensuite cesser de consulter mes mails. Aujourd'hui, je me dis donc qu'il était grand temps que je les lise. Tous ces messages non lus me disaient qu'il était heureux, qu'il aimait sa potiche, puis il m'avait harcelée pour me redemander pourquoi je ne lui répondais pas. Je soupirai et pris mon téléphone.


- « Écoute, je sais que tu sors avec elle juste pour me rendre jalouse. » écrivis-je énervée, puis je balançai mon portable sur le lit.

Une histoire impossibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant