Chapitre XXIX

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Elle était sublime bordel. Elle avait passé un petit bikini vert qui mettait en valeur sa peau mâte et ses sublimes yeux. Elle était plus que canon, et elle ne semblait même pas en avoir conscience.


- « Suivez moi. » me lança-t-elle, coupant court à ma petite inspection.


Il ne fallait pas qu'elle me surprenne en train de la mater, sinon j'allais vraiment passer pour un gros pervers. Mais lorsqu'elle me précéda dans son jardin, je ne pus m'empêcher de mater son cul de déesse très bien mis en valeur dans sa ... culotte qui n'en était pas vraiment une, vu le peu qu'elle cachait. Mais où est-ce qu'elle m'emmenait bordel ? Je n'allais pas supporter le spectacle de son corps de rêve devant mes yeux encore longtemps. Elle s'arrêta soudain devant un petit portail ... Je compris à l'instant où j'aperçus les escaliers derrière.


- « Une plage privée ? Rien que ça ? »

- « Oui, rien que ça. »

- « C'est à tomber. Tu as énormément de chance. »

- « Je sais. Et aujourd'hui, comme vous n'êtes pas au mieux de votre forme, je vais vous faire partager ma chance. »

- « C'est très gentil de ta part. » fis-je remarquer.

- « On va sa baigner ? »

- « L'eau ne va pas être froide ? » demandai-je plus pour elle que pour moi, puisque j'adorais l'eau glacée.

- « Vous vous dégonflez Monsieur Ramos ? » rit-elle en se dirigeant vers la mer à reculons, un grand sourire étirant ses lèvres pulpeuses.


Je ne saurais dire ce qui fut l'élément déclencheur, mais je jetai ma serviette et la rejoignis en courant, la pris dans mes bras et me jetai dans l'eau avec elle. Lorsqu'elle remonta à la surface, ses longs cheveux blonds plaqués sur sa tête, plus sexy que jamais, je pris soudainement conscience de ce que je venais faire.


- « Pardon, je n'aurais peut-être pas du faire ça ... »

- « Faire quoi ? »

- « T'attraper comme ça. J'ai tendance à oublier que je suis ton prof. »

- « S'il vous plaît, oubliez, au moins l'espace de quelques heures. »

- « Avec grand plaisir. » lui répondis-je, soulagé. « Au fait, elle est vraiment très froide. »

- « L'eau froide raffermit. C'est pour ça que nous, les filles, nous ne craignions pas l'eau aussi gelée ! »

- « Raffermit quoi ? » ris-je. « Si je peux me permettre, il n'y a absolument rien à raffermir sur toi, et je parle en tant qu'homme, pas en tant que prof. »

- « C'est très gentil, et je suis heureuse que vous ne soyez qu'un homme. Bon aller, vous allez geler sur place, remontons à la piscine. Elle est à 30°C, j'espère que ça ira. »

- « Parfait ! »


Nous sortîmes de l'eau en courant comme des fous et nous précipitâmes dans la piscine où l'eau était à une température bien plus agréable.


- « On est quand même mieux ici. » m'exclamai-je en sentant tous mes muscles se détendre au contact de l'eau brûlante.

- « C'est tout de suite moins froid. »

- « Je peux te poser une question indiscrète ? »

- « Je vous en prie. »

- « Qu'est-ce qu'il se passe avec Alexandre ? » ne pus-je m'empêche de lui demander.


Une histoire impossibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant