Chapitre 8

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Au bout de ce qui me parai une éternité, quelqu'un ouvra la porte.
Je suis recroquevillée sur moi-même, le visage encore plein de larmes. Je tremble. Je ne veux pas qu'on me voit dans cet état. On verrait que je suis faible. Mais je ne peux pas m'empêcher de pleurer encore plus. J'espère juste que la personne qui entre dans la pièce n'est pas Louis. Il me fait peur.

" Mais qu'est ce qui c'est passé ici?! cria une voix que je reconnais bien, c'est celle d'Ethan.

- En-enlève ce co-corps de là... bredouillais-je entre mes larmes.
Je t'en prie, enlève- le...

Je tremble encore et reste recroquevillée. Je ne veux pas revoir le corps sans vie de la jeune femme. Je crois qu'Ethan est en train de l'éloigner de moi car j'entends un glissement sur le sol. Et puis je sens qu'on s'approche de moi. Et je sens ce parfum; son parfum. Il me prend dans ses bras. Ça me fait du bien, ça m'apaise. Mais il faut que je me ressaisisse. Je me retourne vers lui, en essayant de le regarder dans les yeux.

- Dégage! T'es qu'un monstre! Comme ton frère! Non, comme tes frères! criais-je.

Ethan se releva doucement et s'avança vers la porte.

- Je suis désolé ... chuchote t-il"

Il part. Je le haie. Il essaie d'être un peu "gentil" avec moi pour essayé de soulager sa conscience ou quoi ?!
J'essaie de me calmer comme je peux, mais la haine à pris place en moi. Je les détestes. Je les détestes tous.
Mes parents doivent s'inquiéter pour moi. La police ne sers à rien et je le sais. On ne me retrouvera pas. Je vais mourir bientôt. Dans quelques jours, même peut-être quelques heures, je ne sais pas. Si faut je vais mourir d'une crise cardiaque si on continu à tuer des gens devant moi. La porte s'ouvre. Encore. C'est Louis. Je le déteste plus que tous celui-là. Il est malsain. Il prend un plaisir à torturer les gens c'est abominable. Il s'avance vers moi, une seringue à la main. Je panique. Il veut me tuer ? Me droguer ? J'essaie de lui montrer qu'il ne m'impressionne pas, mais c'est dure. Il s'approche mais je lui donne un coup de genou là où il faut pas (si vous voyez ce que je veux dire...). Il émet une grimace mais rien de plus. J'ai pas taper assez fort. Je m'apprête à recommencer quand il m'attrape la tête et enfonce la seringue dans ma nuque.
Je sombre.

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