Chapitre 33

1.1K 74 0
                                    

Il fait sombre. Il fait presque noir. Il y a juste une toute petite lumière, loin, très loin, très haut.
Mais ou suis-je? Qu'est ce que je fait ici?
Il y a une corde. Un corde qui monte jusqu'a la lumière. Est ce que je suis sensé monter? Je n'en ai aucune idée.
Je suis perdu, totalement perdu. Je ne me souvient plus de rien. Ni même qui je suis. Mais je sais que je ne peux pas rester là. Je le ressens.
Alors, j'attrape la corde. Et le sol qui était sous mes pieds disparait. Je suis dans un puits sombre, et sans fond. Il ne faut pas que je tombe. Je ne dois pas tomber. Alors je commence a essayé de grimpé grâce à la corde. Mais c'est dure. J'ai mal au bras gauche. Je suis pied nue et ça m'arrache la peau. J'ai mal. Mais la douleur est dans la tête, je me répète a voix haute que la douleur est dans la tête. La douleur est dans la tête. La douleur est dans la tête. Je me concentre pour ne pas lâcher. Il faut que j'atteigne cette lumière. Il le faut. La douleur est dans la tête. La douleur est dans la tête. La douleur est dans la tête. J'ai peur. Je me sens observé, comme si c'était une épreuve. J'ai une boule au ventre. J'ai les mains en sang. Il faut que je grimpe. J'entend un tissus se déchiré. C'est certainement l'étrange robe que je porte qui a dut se déchiré a cause du frottement contre les pierres qui constituent la parois de ce puits. Ma vue se brouille. J'y vois floue. Je pleure, j'ai mal, je saigne. Je suis angoissé, j'ai peur. Je sens quelque chose me frôlé la jambe. Je ne vois pas ce que c'est. J'essaie d'aller vite. Je me rapproche de plus en plus de la lumière. Il faut que j'y arrive. J'arrive a distingué la couleur de mes mains, mes cheveux qui tombent sur mes épaules et la robe pale que j'ai sur moi. La lumière s'agrandie. J'y suis presque! Je sens quelque chose de froid m'attrapé le pieds. Je crie, j'ai peur. On me tire vers le bas. J'essaie de me retourné pour voir ce qui m'agrippe la jambe, mais on me tire tellement fort que mes bras lâchent. Je crie. Je hurle. Mais j'arrive a me rattrapé à la corde quelques mètre plus bas. Je me retourne comme je peux. Et je vois une maigre main, presque squelettique, blanche. Je bouge mon pieds pour essayé de m'en débarrassé, mais je n'y arrive pas. Et puis je vois une tête, un visage sombre. C'est une femme, avec des yeux noir, même la sclère est noir. Elle n'a pas de dents appart deux grande canine. Elle fait peur. Je crie. Je pleure. Je ne peux plus. J'essaie de crier à l'aide, mais j'ai peur que personne ne m'entende. Les ongles de cette horrible femme (si on peut appeler ça une femme) rentrent dans ma peau. Je continu de hurler. Et puis, je vois, en train de me regarder me débattre comme je peux, Ethan. Il ne bouge pas il m'observe. Il reste là sans rien faire, en ignorant mes implorations pour qu'il vienne m'aider. Je crie son nom en pleurant. Je le supplie de venir m'aider. Mais rien n'y fait. Mes bras ne tiendrons pas longtemps la corde. Et la femme (qui ressemble plus a un monstre) me tire de plus en plus fort.
Je hurle de toute mes forces quand mes mains lâchent la corde. Je tombe. La vitesse est tellement puissante que je crois que mon estomac n'a pas tenu le choc. Je tombe, dans le noir. Seule. Je continue d'hurler. Mais rien.

« Katherine! Khaterine! me secoua Ethan.

Je me reveille en sueur. Je claque Ethan.

- Aïe ! cria t-il en portant sa main à sa joue. Pourquoi tu as fait ça ?!

- Désolé... dis-je. J'ai fait un cauchemars...

Pour pas dire que dans mon cauchemar tu m'avais laisser tomber (c'est le cas de le dire) . Tu m'avais abandonné.

- Ah ça j'avais remarquer! Tu as hurler mon prénom dans tout le manoir! J'ai cru que t'étais en train de mourir.

- C'étais le cas... soupirais-je

Il hausse un sourcil, l'air dubitatif.

- Dans mon cauchemars. précisais-je

- Tu veux en parler? demanda t-il tel un psy. Ou me raconter ?

- Non, c'est bon.

Je m'essuie le front où perle des gouttes de sueur.

- Je vais prendre une douche, si tu permets. dis-je en me levant.

- En sortant, c'est la porte du fond. m'indiqua Ethan. Il y a déjà des fringues pour toi. »

Je le regarde d'un air interrogatif. Et je lis dans sont regard quelque chose comme "Et oui, j'ai tout prévu".

AttractionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant