Mon Roi [EN CORRECTION]

Chapitre 89

Bonsoir petit message avant que vous ne commenciez la lecture du chapitre, je n'aime pas particulièrement intervenir comme ça au beau milieu de l'histoire mais je commence à en avoir assez. Je suis désolé d'avance d'embêtez certain qui non rien demander avec ce petit paragraphe. Beaucoup d'entre vous vote, commente à chaque chapitre, m'encourage et pour ça je tiens a vous remerciez mille fois, je ne citerais pas de nom pour être sûr de n'oubliez personne mais vous vous reconnaîtrez j'en suis sûr ! Malheureusement certains ne sont pas aussi sympathiques. Vous avez totalement le droit de critiquez loin de là mon problème mais venir me dire que c'est dommage que j'arrête mon histoire où me relançant parce que oui, je n'ai pas écrit depuis deux semaines c'est très lourd. Je pense qu'on a tous une vie privé et la mienne passe avant l'écriture de « Mon Roi ». Je sais que ça peut être frustrant de devoir attendre la suite d'une histoire, je lis aussi des romans sur wattpad et j'attends comme tout le monde. Je suis flattée que vous soyez si absorbé par mon histoire mais bon sang un peu de patience. Vous pouvez me relancez si ça fait longtemps que vous n'avez pas vu de nouveau chapitre mais par pitié soyez un minimum poli et correct envers moi (je ne suis pas une machine à écrire). Sinon je mets souvent des nouvelles concernant l'avancé des chapitre ou d'éventuel retard sur mon profil passer jeter un coup d'œil ça pourrai parfois répondre à vos questions. Voila je ne pensais pas que le paragraphe serais si long, désolé pour ceux et celles qui n'ont rien à voir avec tout ça et bonne lecture !

Daeaye ♥

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Le couple royale se dirigeait vers la salle du trône où ils annonceraient l'ouverture des festivités. Adélie marchait d'un pas moins assuré que son époux, allait-elle réussir à faire face à tout ce monde sans perdre pied ? Ce soir, la cour et les monarques la verraient sous son meilleur jour pour finalement apprendre dès le lendemain la rupture de leur union. Elle ne deviendrait non pas la risée du pays, mais la risée du continent.

Sidonie se tenait en retrait des duchesses avec qui, elle jasait habituellement. Elle observait la salle, réfléchissant à une manière d'approche discrète et efficace. La jeune femme devait verser le contenu de la fiole quand Adélie sera déjà servit en vin, sinon le poison ira directement dans l'estomac des gouteurs.

Les clairons sonnèrent l'arrivé du Roi et à son bras, de la Reine. Tous s'inclinèrent, plus ou moins en fonction de leur rang, au passage du grand Souverain. Gustave souriait chaleureusement à ses collègues. Depuis son passage sur le trône, il n'avait pas revu bon nombre d'empereur. Sa mère restait, elle aussi, en retrait afin de ne pas agacer son fils, néanmoins, elle ne restait pas près de Sidonie de peur d'éveiller les soupçons. Subitement, la vieille dame se rendit compte que sa fille lui manquait.

Isadora avait toujours été là à chaque occasion de fête et elle servait de divertissement à l'ancienne Reine afin de ne pas passer pour une recluse auprès de la cour. Aujourd'hui, elle était morte et Victoria n'avait plus personne à qui parler. Un brin de nostalgie envahit la mère du Roi, mais elle n'était pas triste, on contraire, elle allait enfin pouvoir parler à d'autres hautes personnalité sans être obliger de passer pour la femme désespéré à faire marier sa fille.

Gustave ne remarqua pas l'absence de deux convives parmi la foule. L'empereur et la princesse croate.

Petra avait empêché sa fille de descendre dans la salle du trône et d'assister à l'ouverture de la cérémonie. Il devait lui parler de son futur. Ainsi, il s'était discrètement glissé dans les appartements sans que quiconque ne s'enquière de son absence dans la salle du trône.

« Ma fille, je dois absolument te mettre au courant de la décision que ta mère et moi avons pris »

La jeune fille fronça les sourcils devant la mine sévère de son père. Elle était petite de taille, le visage et le nez fin recouvert de quelques tâches de rousseurs. Ses cheveux était blond cendré et sa mère lui avait fait porter une robe classique vermeille. Katarina avait 14 ans et était la cadette de sa famille. Ses parents avaient toujours tout décidé pour elle depuis son plus jeune âge jusqu'à maintenant. La pauvre enfant atteinte d'une timidité maladive, rougissait à la moindre conversation avec un inconnu. Ainsi, elle passait ses journées enfermées dans le palais royal de Croatie.