Ma vie d'avant

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Je me souviens encore de l'air frais qui effleurait mon visage à mes joggings matinaux et revenant pour le petit déjeuner retrouver mon frère Jason et mes parents pour manger des bonnes crêpes en racontant les anecdotes de la famille. Je me souviens des soirs où je partais secrètement faire la fête avec ma meilleure amie Léna auquel nos soirées étaient regorgé de tant de plaisir. Je me souviens du secondaire où tout adolescents se disant que ça ne servirait jamais de la vie et qui ne pensaient qu'au plaisir que la vie leurs offraient à faire la fête tous les jours. Je me souviens. Je me souviens de tous ces moments. J'étais une fille pas très sociable mais quand même avec un petit cercle d'ami . Je trainais avec mon frère Jason et sa copine Mia . Et il y avait Lena ma meilleure amie. On se faisait toujours des soirées où on se racontait des histoires de peur. C'était le bon temps. J'écoutais toujours mes parents , l'enfant modèle de la famille. Je ne fesait pas trop de conneries. L'élève qui ne s'impliquait pas, même voir pas du tout que même si j'étais absente , personne l'aurait remarqué. Mais tout ça c'est terminé . Ça fait deux ans de ça . Maintenant je n'est que ce journal pour me donner compagnie. Je suis complètement seule.

Tout ça à commencé ou une nouvelle vague de maladie arriva. Une sorte de grippe. Au nouvelles on disait que ça passera que c'était qu'une maladie saisonnière comme il y avait chaque année.  Personne ne s'en souciait. Même pas moi. Je me rappelle de ce jour où je me réveilla et que je descendit ou ma mère se tenait main sur l'épaule de mon père tous les deux fixant un bout de papier. Le journal . Cela disait que cette simple grippe s'avéra à être une vraie tragédie pour la population. Une maladie qui ravagera des milliers de personnes. Et ça c'est arriver vrai. Deux semaines plus tard , les médias annoncèrent 2 millions de morts en seulement quatorze jours. Les gens devenaient de plus en plus paranoïaques. Et ils avaient raison. Cette maladie allait nous détruire. Les scientifiques l'ont nommé le Z-Virus. La panique regorgeait dans toute la ville. Les magasins bientôt vides. Les provisions alimentaires bientôt en rupture. Quelque jours après l'annonce du Z-Virus, l'armée arriva dans toute les villes et ordonna à tous les civils de rester en quarantaine. Rien ne marchait. Les boulots,les écoles et les services essentiels n'existaient plus. Il ne restait que le gouvernement et l'armée. Les soldats distribuaient des rations pour chaque maisons des quartiers. 4 litres d'eau , des pâtes et des conserves et ça se répétait toute les semaines. Souvent on manquait de nourriture. Mes parents se privèrent de manger pour nous les offrir à moi et à mon frère . Tous les habitants scotchés à leurs écrans , le virus décimait la population. Les signes du virus étaient des températures élevés , des difficultés respiratoires et des taches foncés apparaissant sur notre corps. Un peu comme la peste noir. Je me demandais comment ça allait finir. Rien n'existerait . L'armée nous laissera bien à un moment ou l'autre . Et j'avais raison. Les semaines passèrent , les rations donnés par les soldats diminués, les corps morts des infectés empilés dans les rues. Laissés, abandonnés. L'humanité n'existait plus à présent . Les habitants très inquiets , et certainement, une révolte explosera. Les gens ont commencé à s'impatienter. Ils ont commencé à sortir même sur l'ordonnance de l'armée de rester confinés . Mais les habitants gagnèrent . Le gouvernement décida d'abandonner avec l'armée avec, maintenant c'était chacun pour soi. L'apocalypse commença ...

Patient 715Où les histoires vivent. Découvrez maintenant