Survivre

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Aujourd'hui je ne sais pas combien de temps je suis rester éveillée. Je suis rester dans ma cellule plus que d'habitude. Je n'est rien manger depuis un bon moment. Mon ventre gargouillait tellement fort que j'en avait mal. J'ai mal. J'ai juste faim. C'est quand que ces horribles monstres me donneraient à manger ? Je crève de faim. S'il vous plaît...

Le soleil c'était déjà coucher fesant place au ciel étoilé. Je marchais. Et marchais dans lac pénombre. Il y avait des arbres partout. Il fesait tellement noir qu'on aurait dit un enfant apeuré qui aurait peur que des monstres seraient prêts à bondir pour l'attaquer. Cette noirceur fesait vraiment peur. Ce sentiment était vraiment présent dans cette atmosphère. Je savais pas trop ce que j'allais faire. J'en n'avais plus de famille. Plus rien. Tout le monde m'avait abandonnée et même ça je le méritais. Il ne me restait que la vie à mes côtés.

Quand cette femme m'avait rejetée de sa ferme , elle ne m'avait rien laissé. Rien. Pas de provisions,pas de matériel rien. Donc c'est comme ça que je m'avançai dans le noir. Je sentais les branches craquer sous mon poids et c'est là que je m'assieds. En plein milieu du chemin où se trouvait que des arbres. Je mens foutais de ce qui pourrait m'arriver . J'étais tellement remplie de cet affreux sentiment , la culpabilité que je mens fichait si ce soir là je me fesait bouffer par ces cannibales. Je restais là toute la nuit regardant le sol et ce n'était pas cette nuit là que j'allais mourir. Comment la vie m'avait donné cette chance ? Je n'avais plus rien à faire maintenant. Ce monde ne méritait plus ce monstre. Certainement, l'univers m'aurait tué pour tous les châtiments que j'ai fait mais non. Cette nuit là, aucun cannibales n'avaient croisés mon chemin. Quelle chance me diriez-vous ? Non. Je veux juste mourir.

Le Soleil commençait à montrer ces premiers rayons et c'est là que je décida de me lever et de sortir de cette forêt pour retrouver la route. Les derniers arbres se voyait et je commençais à voir l'asphalte. Tassant la dernière branche sur mon chemin, je m'arrêterai là sur cette route de campagne où il n'y avait aucun automobilistes parce que la civilisation n'existait plus. Tournant la tête vers l'inconnu je vit un panneau qui indiquait « station essence dans 2 kilomètres » Super, il y aurait peu être de quoi manger pour nourrir mon pauvre ventre qui criait famine depuis plusieurs heures.

La station essence se trouvait devant mes yeux. Elle semblait inoccupé , donc avec confiance je m'avançait pour pouvoir y entrer. La porte était brisé lessant les vers brisés sous mes pieds . Je rentrais et tout avait presque été pilié lessant que peu d'articles. Ça puait aussi. A deux mètres de moi, ce trouvait un cannibale mort certainement tué avec un couteau laissant un trou sur son crâne . J'attendais du bruit. Je m'avançai doucement et je vis des jambes difficilement bouger s'avança vers moi. C'était un cannibale. Il voulait me bouffer et je voulais défouler toute cette colère qui était en moi. Je regardais autour de moi tout en vérifiant qu'il ne s'approchait trop vite de moi et je prit un morceau de vitre et m'avança vers le déambulant et planta ce morceau dans son crâne le lessant tomber sur le sol. Et je me mît de dos du corps en disant;

- Connard. Dis-je, ça m'avait fait du bien. Je prit le sac de chips qui avait été laissé sur le comptoir à côté de moi en me dépêchant de quitter cette piaule de merde.

Je me retrouvai dans la forêt proche de l'autoroute en m'assoiyant proche d'un ruisseau où jouvris le sac de chips au ketchup. C'était pas trop mauvais. Mais peu importe ce que j'aurais mangé , ça fesait mon bonheur. Finissant les derniers chips , je m'avançai a quatre pattes proches du ruisseau mettant mes deux mains lessant l'eau dans mes mains pour après la boire. Je m'en foutais si elle était pleines de bactéries. Vous voyez, quand on meurt de soif en pleine apocalypse auquel on a marcher pendant plusieurs heures , croyez moi, vous serez prêt à boire n'importe quoi pour combler ce manque. En finissant de boire essuyant mes mains trempées sur mon jeans, je levit la tête dans les air et vit ce gigantesque arbre. Regardant Le Soleil se coucher peu à peu , je prit plusieurs branches souples et commença à grimper à cette arbre en montant juste à un niveau d'une grande branche assez solide et assez haute pour que aucuns cannibales vienne me bouffer. Avec les branches souples , je les enroulait autour de ma taille jusqu'àu tronc de la branche et m'attachère solidement.

Regardant Le Soleil presque coucher regardant l'horizon, je pensais à ma mère . Elle attendait tellement de moi mais je l'ai laisser mourir car je criais. Je l'ai tuée. Elle comptait sur moi, mais je l'ai trahie. Mon père et mon frère m'avait abandonnée car j'avais tué un innocent l'es trahissant eux aussi en devenant un monstre. Je les avait tous perdus par ma faute. Et c'est sûr ces pensées que je m'endormis sur le ciel devenu de plus en plus sombre.

Patient 715Où les histoires vivent. Découvrez maintenant