Mais avant que le gouvernement nous lâche , quelques jours avant que l'armée nous laissent à nous mêmes , l'armée ainsi que le gouvernement ordonna à tous civils d'assister à une conférence d'urgence avant que ça soit chacun pour soi. Tous les habitants attendant le moment d'impatience avant que cette conférence commence. Et on le vit. Le président était là, l'air inquiet. En provocants ces mots , dans sa voix tremblantes, les paroles nous sortirent de la bouche. Le président annonça que le Z-Virus avait fait une mutation à laquelle tous les infectés morts laissés , abandonnés dans les rues de nos villes, revenaient a la vie, cannibales pour unique but de nous dévorer . C'est à ce moment là que la télé ferma et que internet, le wifi et l'électricité disparurent pour laisser faire face à la terreur . Moi à ce moment là, je vis Jason et mes parents enlacés ensemble pleurant de peur. En détournant le regard de ma famille triste, j'avançais vers la fenêtres relevant légèrement les rideaux me laissant voir l'horreur. Les gros camions de l'armée avancèrent vers les sorties de la ville, les coups de feu par ci par là, les voitures de nos voisins disparaissent dans les rues sombres pour rouler ailleurs que cette terrible tragédie. Et c'est à ce moment là que je vis pour la première fois, un cannibale avançait vers les soldats sûrement abandonné, terrifiés signant leurs arrêt de la mort. Ce monstre, s'avancèrent vers ce pauvre soldat pétrifié, ne bougeant plus, je le vis se faire dévorer sans regret par cette personne maintenant devenu un monstre. Je fit un saut. Mon père me prit le bras et m'élança hors de vue de cette fenêtre . C'est avec horreur que je découvrit maintenant la réalité, notre quotidien à présent .
Ne savant pas quoi faire, nous nous réfugions au sous-sol avec des couvertures et des « armes » pour nous protéger de ces cannibales qui n'hésiterai pas à nous dévorer. Nous étions morts de peur. Nous, au lieu de s'enfuir de cette horreur , comme le fesait nos voisins,on restait cachés dans notre sous-sol immobiles trop terrifiés , un vrai choc.
Deux jours plus tard, la ville était devenue silencieuse. C'est avec mépris que mon père sortit la dernière conserve tout en soupirant de douleur . Je m'avançai devant mon frère et mes parents m'éloignant de cette maudite fenêtre .
- Nous devons sortir d'ici. On ne devrait pas rester ici. Dis-je
J'avais peu être oublié de le mentionner, je m'appelle Leila.
- Non, c'est trop risqué , je ne veux pas que mes enfants et ma femme m'eurent dit mon père d'un ton ferme .
- Papa, on ne peut pas rester ici. Il n'y a plus rien. Nous devrions faire comme les autres . Fuire. Il y a peu être des camps de réfugiés qui sait ? Dit Jason en posant son poing sur le comptoir.
- Jason a raison. On a plus rien na faire maintenant. On a tous perdus. Ils nous faudra bien quelque chose pour nous nourrir dis-je. - Un abri, on essaie de ne pas faire de bruit pour ne pas que ces cannibales nous attendent , mais on ne pourra pas rester ici indéfiniment. Ils vont bien réussir par rentrer. Jason a peu être raison, il y a peu être un camp de réfugiés. Dis-je d'un ton assuré .
- OK dit ma mère en regardant désespérément mon père .
J'aurais du mieux me comporter avec ma famille. Après tout, il ne me restait plus que eux. Mais je n'est pas réalisé cette chance. Maintenant je suis désespérément seule. Je ne suis qu'un rat de laboratoire face aux égoïstes scientifiques qui font leurs œuvres sur mon corps pour essayer de sauver le reste de l'humanité, du moins, de ce qui en reste.
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Patient 715
Science FictionIci, monde sans humanité, les scientifiques utilisent le patient 715 pour le Z-Virus qui a éradiqué presque toute la population. Leila patient 715 mène une vie de souffrance utilisée comme un rat de laboratoire pour trouver le vaccin qui sauvera l'h...