Vérité ou pas ?

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Et c'est alors que nous courions avec une inconnue. Sans savoir si elle aussi était une psychopathe. Et c'est là, que je cria pour avertir que nous devions nous arrêter . Tous ont arrêtés de courir. Moi, Léna etÉlise étions à deux mètres de distance de cette étrange dame. Et je dis:
- Restez là, et surtout,ne bougez pas.
Elle nous regarda perplexe, mais obéisa a ce que je lui avait dit.

Tout de suite, Léna parla:
- Je suis désolée que tu aies dû tuer ce gars. Je comprends si tu es sur le choc. Dit t'elle avec compassion.
- Ah oui, merci. Dis -je . Je ne m'attendais vraiment pas à ça. Je continua:
- Après ce type, on devrait se méfier , on ne sait pas c'est qui. Chutais-je.
- Oui t'as raison , dit Élise.
- Merde, après ce qui es arrivé, elle serait probablement elle aussi, une psychopathe. Dis -je
-C'était Martin, c'était un vrai connard. On l'a exclus de notre groupe. Cria la dame.

Je la regardais, je n'y croyais pas. Ils étaient sûrement complices. A t'elle entendu ce qu'on a dit ?

- On venait de l'exclure, c'est peu être pour ça qu'il a essayé de vous attaquer. Je suis désolée.
- Tais-toi, tu veux ? Dis-je.
- On ne peux pas lui faire confiance! Continuai-je .
- On l'a exclu parce que c'était un homme violent,sans pitié. Maintenant, notre communauté est sure. Croyez-moi. Dit t'elle de plus belle.

Putain elle avait quoi cette garce ? Elle n'écoute pas où quoi ?
- Peu être qu'elle dit la vérité, non ? Dit Élise.
- Ouais, et si ça serait le cas, et que nous ne faites pas confiance à cette dame, on manquera cette occasion . Dit Léna ,

Ehh merde, on va encore se retrouver dans un océan pleins de merdes puante. Mais sur ce point , elle a raison. J'ai une idée;
- Bon, ok, mais... dis-je
Cette garce me regardait un peu fière , fin bref, jtrouvais ça drôle. Bah quoi ? Mdr ut elle savait.
-A seulement quelques conditions,continuai-je
- On la désarme, on l'attache et nous on marche derrière elle, tout en la tenant. Ça me semble bon ça. Dit-jeu

Elle avait changée d'expression du visage, comme si c'était une blague.

- Ouais ça peut faire, dit Léna

C'est alors que Léna prit la dame par le bras et l'amena face à Leila.

Je m'avancit et lui ordonna de s'écarter . Je la fouilla un peu partout et elle n'avait qu'un couteau. Élise s'avançait vers moi et prit le couteau et elle m'échangea avec une corde. Je pris celle-ci en l'enroulant autour des poignets de cette étrange madame et serra fort. Elle était maintenant attachée.

- Vous avez vraiment besoin de ça? Dit t'elle.
- On te fait pas confiance, dit-je d'un ton sec.
- Cest bon, on y va , continuai-je.

Toujours en la tenant, elle marchait vers sa communauté, et Léna et Élise étaient derrière moi.

J'espérais que ce plan allait fonctionné. Ai pris des précautions et c'était bien. Si elle voulait se débattre, elle ne pouvait pas car je la tenais et les filles étaient derrière moi. Et si des membres de son groupe voulaient attaquer, nous on avait elle. J'espérais que c'était assez sécuritaire.

En chemin, nous avions tuer environ quelques cannibales mais ça faisait longtemps qu'on marchait. Ça faisa environ une heure qu'on marchait toujours sur nos gardes, ça fatiguait.
- Alors, on arrive bientôt, la mystérieuse? Dis-je en m'adressant à notre prisonnière.
- Mouais, bientôt, très bientôt. Dit t'elle.

Et si c'était un piège? Et si, il y avait une vingtaine de malades qui nous attendaient?

Et soudain, j'aperçus une grande clôture. Elle m'indiqua de l'ouvrir et deux personnes y étaient là une dizaine de mètres de notre petit groupe.

- Marie! On ne pensait pas que tu arriverais comme ça? T'as besoin d'aide ? Dit un des hommes.ll
Nous tous les trois on regardait autour de nous. Il y avait une grande clôture qui abritait un large terrain qui accueillait deux gigantesques maisons. Nous étions stupéfaites de cet endroit.

Toujen tenant fermement « Marie » une autre dame arriva . Elle avait un chemisier et ces cheveux gris attachés logeait sur ces épaules , et commença ;
- Alors Marie, tu nous amène de nouvelles compagnies? Dit t'elle en souriant.
- Ça va ? Pourquoi es-tu attachée ? Continua - t'elle.
- Simple précaution dit Léna fermement en s'avançant.
- Et bien, nous vous accueillons. Il n'y a qu'une seule condition. Rendez- nous vos armes, simple sécurité au sain de notre communauté , dit la femme aux côtés des hommes.
- Hors de question, simple sécurité au sain de MON groupe dis-je d'un ton fort et strict tout en détachant les cordes de l'emprise des poignets de cette femme.
Celle-ci se frotta les poignets, remontant la tête en s'adressant certainement à sa leader;
- Elles ont besoin d'obtenir notre confiance. Dit t'elle.
- Et bien, allons-ya mesdames. Dit la vieille dame tout en nous accueillant dans sa « communauté ».
Nous nous avançons l'a suivant, quittant l'entrée en voyant de plus en plus près le terrain et les deux grandes maisons.

Patient 715Où les histoires vivent. Découvrez maintenant