Culpabilisation

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Aujourd'hui, en ce moment, où j'écris dans ce journal, je suis exploitée par des scientifiques qui n'ont rien à foutre de ma santé tant que ça peut sauver l'humanité. Ça fait deux ans que l'apocalypse a commencé mais cela ne fait que un an que je vis cet enfer entourés de gens malhonnêtes et prétentieux. J'aurais aimée en faire plus, m'avoir plus battue car aujourd'hui j'ai perdue toute personnes qui m'était cher. Mais, autre fois, quand l'humanité existait, les gens m'auraient dit de ne pas culpabiliser et que ce n'était pas de ma faute mais aujourd'hui, le monde a changé . Les humains sont les vrais monstres dans cette pitoyable vie que Dieu aurait créé.

Je me fait torturée, mutiler, agresser par ces « scientifiques » je suis tellement maigre que mes os y sont visibles, et j'en est maintenant l'habitude que j'en est plus honte maintenant . Pareil pour ma dignité. Les seuls vêtements que je porte sont en fait des sous-vêtements. Ces personnes qui expérimentent leurs vaccin contre ce Z-Virus n'hésitent pas à rabaisser un être vivant,moi pour faire leurs expériences expérimentales. J'aurais eu besoin du soutien de ma famille, mais c'est trop tard maintenant.

Ma mère tournait en boucle dans la maison en pensant au choix qu'elle venait de faire. De quitter le foyer familial, et de trouver ce fameux camp de réfugiés mais elle avait le doute à présent avec elle. Mais moi, mon avis n'avait pas changer. Il fallait à tout prit qu'on quitte cette maison car à un moment où un autre quand on aura plus de provisions,il faudra nous approvisionner et nous serons tous piégés par ces affreux cannibales qui n'attendent que notre mort pour leurs faim. Et heureusement que Jason était du même avis que moi.

Mon père prit soigneusement le temps de remplir la voiture d'essence . Pour un trajet indéterminé car il faut s'y attendre, à un moment il n'y aura plus d'essence et nous devrions marcher. Marcher loin de cette horreur. Pendant ce trajet, les rues étaient vides car les habitants avaient décidé de fuirent pour assurer leurs survie pour ne pas que les cannibales leurs prennent la vie. Nous étions les seuls en ville. Les seuls crétins qui ont décider de rester cause par la peur. Quel égoïsme. Des cannibales un peu par là mais rien d'inquiétant pour que nous fuiyons comme des malades. Mais il fallait si attendre, les cannibales ont maintenant le contrôle sur la population et il fallait s'y attendre qu'il y aurait s'en doute des hordes. Et il y en avait une grosse devant nous. Des trentaines de morts embulants nous attendaient vers la mort pour enfin bouffer notre âme .

- Papa,recule. Il n'y a pas de sorties possible . Nous abandonnerons la voiture. On a pas vraiment le choix, de toute façon il ne reste que dix kilomètres avant que nous tombons en panne . Dis-je.

Mon père s'en broncher la peur dans son regard, enfonça son pied dans la pédale et la voiture recula en fesant un bruit étrange et strident et cela ,attira bien sûr nos chers compagnons. La voiture s'arrêta brusquement et nous sortîmes et commençons à courir vers le boisé. Ces cannibales pensent sûrement trouver leur faim en ville du moins, ce que j'en croyais. Nous n'arrêtons pas de courir , face à la peur qui nous occupaient en nous et c'est mon père qui nous firent arrêter . Nous arrêtons nous reposer dans un coin qui nous paraissait sécuritaire pour boire notre eau qu'on avait soigneusement rationné quand l'armée avait commencé en nous en offrant moins. Et je ne doutais pas qu'à ce moment là, j'allais culpabiliser pour ce qui allait se passer. Et même aujourd'hui, vu ma situation de patiente 715 attribuer par ces « scientifiques » je culpabilise même pas pour la même chose qui c'était passé ce jour-là.

Patient 715Où les histoires vivent. Découvrez maintenant