~Tu es mon autre~ {Serquel-La Casa De Papel}

Chapitre 42

{point de vue Sergio}

J'observe Amaro qui s'amuse avec ses voitures et ses playmobil.

Moi : « Pourquoi t'as tout balancée à Tamayo sur le p'tit ?! »

Raquel : « tu voulais que je fasse quoi?! Amaro est venu  en criant ! Tamayo l'a entendu! Et le reste des flics aussi! »

Moi : « Et ?! Putain! Il faut que tu avoues ? Maintenant qu'ils le savent, ils vont jouer sur ça ! »

Raquel : « Sergio?! Tu me fatigues ! Ils auraient quand même joués sur le fait de ma mère et de Paula! »

Moi : « Peut-être. Mais cela m'aurai moins déstabilisé putain! »

Raquel : « Pardon? Je ne suis pas sûre de comprendre. Ça veut dire quoi? Que t'en a rien à foutre de Paula et ma mère ?! »

Moi : « NON! J'ai pas dis ça! »

Raquel : « Peut-être mais tu l'as fais comprendre ! »

Je souffle.

Moi : « PUTAIN! Mais ce n'est pas du tout ce que j'ai dis ! Ce que je voulais dire... c'est que ta mère et Paula sont en sécurité... alors que Amaro est avec nous! »

Raquel mordille ses lèvres.

Raquel : « Hé bah je suis désolé de foutre ton plan dans la merde! »
Dit-elle en partant au volant du camping-car.

Je me rends compte que je suis aller un peu trop loin avec elle... elle n'avait pas d'autre choix que de dire aux flics qu'on a eu un petit garçon.

Moi : « Raquel.... je n'ai jamais dis que tu foutais mon plan en l'air... je suis... je suis même content de t'avoir à mes côtés... ça me rassure un peu... même si te savoir en danger toi et notre fils me fait peur... c'est rassurant d'être avec toi... »
Dis-je en m'asseyant sur le siège côté passager.

Je pose délicatement ma main sur sa cuisse.
Raquel a une larme qui coule sur sa joue.

Je l'essuie avec mon pouce puis la prend dans mes bras.

Moi : « Pardon... »

Raquel : « Non... non c'est moi Sergio... »

Raquel se gare.

Moi : « Que fais-tu ? »

Raquel : « La bande a besoin de nous si ils entrent... »

Moi : « On les a prévenus... ils ont le gouverneur, ils vont le faire aller chercher les boîtes rouge ! Ils ne rentreront pas. »

Raquel : « Oui mais bon... »

Je me lève et attrape sa main, je la fais se lever et l'emmène dans la chambre rejoindre Amaro.

Moi : « Repose-toi... tu es crevée Raquel... »

Amaro : « Je t'aime maman. »
Dit-il en se blottissant dans les bras de sa mère.

Je souris légèrement.

Raquel : « Je t'aime aussi mon fils. »

Amaro se relève et me tend les bras.

Amaro : « Viens papa avec nous! »