Chapitre 50

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{point de vue Sergio}

Martin : « Rio avait un micro et un GPS. Tout a extrait sans problème. »
Dis-je au micro à Sergio.

Moi : « vous avez réussi a isolé les puces ? »

Martin : « Bien évidemment mon p'tit chat! Elles sont dans la boîte, elles diffusent le doux son du sommeil. La police se tape des ronflements depuis un bon moment. »

Moi : « Il est temps de leur donner un peu plus. Palerme ? On se prépare pour déclencher le plan Alcatraz! Le plus vite possible! »

Martin : « Comment ça le plan Alcatraz ? Pourquoi? Il se passe quoi dehors Sergio?! »

Moi : « On est en mauvaise posture.... on est très mal. »

{point de vue Raquel}

Paysan : « Vous faisiez quoi ici? »

Moi : « Je faisais une randonnée... je me suis perdu monsieur... Je pensais me reposer un peu je m'excuse... »

Paysan : « Vous vous reposez dans un poulailler ? »

Moi : « J'ai frappé à la porte mais personne n'a répondu.. je suis vraiment désolée excusez-moi... »

Paysan : « C'est pour quoi les crampons? »

Moi : « L'escalade ... »

Paysan : « Il y'a aucune montagne ici. Aucune. T'essayes de me prendre pour un con? »
Dit-il le fusil pointé sur moi.

Paysan : « Je sais qui t'es ! T'es Raquel Murillo! L'ancienne inspectrice ! La copine du professeur !»

Mon espoir s'évapore.

Moi : « Très bien..je vais vous dire la vérité... »

Je sors de fusil et les pointent sur le paysan.

Paysan : « Ne me visez pas! »

Moi : « Du calme! Baissez votre arme ! Comment tu t'appelles ? Hein? C'est quoi ton prénom?! »

Paysan : « Justino. »

Moi : « Justino? Du calme! »

Paysan : « Pas un geste! »

Moi : « Justino? Regardes moi! »

Moi : « Tu vois? Tu as deux pistolets pointés sur toi et toi... ce que tu as c'est.. une carabine... pour tuer les oiseaux. Tu peux me blesser, mais je te tirerais dessus aussi. Je suis... je suis enceinte... ce pauvre bébé n'a rien demandé... alors si tu me tire dessus, tu mettras sa vie en danger..j'ai deux autres enfants... une fille et un garçon... si tu tires tu les rendra peut-être orphelins... alors.., Poses ton arme. Pose la. Justino. Vas y.. doucement.»

Le paysan baisse son arme puis la relève.

Paysan : « ILS ONT DEMANDÉS LA COOPÉRATION DE TOUS LES CITOYENS ! »

Une arme me touche le dos.

... : « Et ils offrent aussi dix millions d'euros en récompenses. Lâchez vos flingues ! »

Moi : « D'accord... tout va bien... tout va bien... »

Je me tourne face aux deux et les pointe avec mes armes. Si Justino demande que sa femme baisse son arme, celle-ci n'est pas du même avis.

Femme : « Cette carabine que j'ai là, n'est pas pour les oiseaux. Mais pour des sangliers. Si vous ne baissez pas vos flingues, je vous tire dessus, et j'en ai rien à foutre de vos gosses! Quoi que... je leur rendrai bien service à vos ! D'éviter de grandir avec des parents mafieux ! »

~Tu es mon autre~ {Serquel-La Casa De Papel}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant